Post-progressisme et néo-urbaphobie. Le crépuscule de la ville radieuse ?
Résumé
L’urbaphilie a longtemps constitué l’expression d’un idéal progressiste post-marxiste, tandis que l’urbaphobie relevait d’une pensée réactionnaire. Or, ces dernières années (écologie radicale, mouvement des Gilets jaunes, crise sanitaire), ces idéaux ont été remis en question : les métropoles sont alors contestées, voire fuies. Dès lors émerge une néo-urbaphobie dont nous présentons les différentes formulations que nous avons observées dans la presse écrite.