Covariance relativiste à la base de la mécanique quantique, II
Résumé
Suite à notre précédent article [7]. On introduit le projecteur projetant toute solution de l'équation de Gordon suivant une solution de l'équation de la particule libre à spin pour condenser nos précédentes formules. Dans le cas de la particule plongée dans un champ, l'on précise la relation entre deux définitions de l'orthogonalité des solutions : classique, par une intégrale triple, ou adaptée aux transformations de Fourier, par une intégrale quadruple.
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