Quand les artistes déjouent la stigmatisation sociale. Les cas du film "Je suis Gong" de Laurie Lassalle et de la série de portraits "Prisonniers : des visages libérés" de Sylvain Gouraud  - Archive ouverte HAL Accéder directement au contenu
Chapitre D'ouvrage Année : 2020

Quand les artistes déjouent la stigmatisation sociale. Les cas du film "Je suis Gong" de Laurie Lassalle et de la série de portraits "Prisonniers : des visages libérés" de Sylvain Gouraud 

Résumé

Dans ce texte, ce sont les dispositifs esthétiques par lesquels les artistes parviennent à mettre en lumière des processus de marginalisation sociale, culturelle, économique que nous analysons. Pour ce faire, nous proposons une étude autour des travaux de deux artistes français, le photographe Sylvain Gouraud et la cinéaste Laurie Lasalle, qui se sont tous deux saisis d’une problématique d’exclusion sociale et de stigmatisation de groupes constitués dans les représentations médiatiques : des détenus pour le premier, des « jeunes de banlieue » pour la seconde.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-03938208 , version 1 (13-01-2023)

Identifiants

  • HAL Id : hal-03938208 , version 1

Citer

Lucie Alexis, Flore Di Sciullo. Quand les artistes déjouent la stigmatisation sociale. Les cas du film "Je suis Gong" de Laurie Lassalle et de la série de portraits "Prisonniers : des visages libérés" de Sylvain Gouraud . Maëlle Bazin; Frédéric Lambert; Giuseppina Sapio. Stigmatiser discours médiatiques et normes sociales, Editions Le Bord de l'eau, pp.287-300, 2020, 9782356876683. ⟨hal-03938208⟩
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