« Calembour »
Résumé
"La dimension comique de l’œuvre balzacienne a pendant longtemps été occultée par les lecteurs et les critiques. Il a fallu attendre 1983 pour que paraisse une véritable synthèse sur ce sujet, la thèse d’État de M. Ménard Balzac et le comique dans « La Comédie humaine » explicitement dirigée contre la doxa qui voudrait que l’œuvre de Balzac ne soit vue que comme une « Somme, imposante, pesante, sérieuse » (Ménard, 1983 : 13). Depuis, la question du comique a été abordée, mais plus incidemment, par des études portant sur la blague (Preiss, 2002), et l’ironie (Bordas, 2003)."