Sur les limites d'application du modèle de Stephens
Résumé
Les conséquences de l'hypothèse de la conservation de j dans le modèle de Stephens sont analysées. Les conditions de l'applicabilité de cette hypothèse dans le cas des sous-couches isolées (l'extension est faite à N = 4 et N = 3) sont discutées et des explications en sont données. Dans les autres cas, un traitement exact des états propres du mouvement intrinsèque permet néanmoins l'extension du modèle de Stephens sans élargissement de la base de diagonalisation.
Origine : Accord explicite pour ce dépôt