Le laboratoire de Chrono-écologie : implications archéologiques récentes
Résumé
Créé en 1982, le laboratoire de Chrono-écologie a acquis le statut d’UMR en 1994 en associant des spécialistes du paléoenvironnement (dendrochronologie, sédimentologie, palynologie, paléobotanique et archéozoologie) et des archéologues (directement impliqués dans l’étude des rapports entre les sociétés, les techniques et les formes d’exploitation du milieu).
Un investissement important a également été fait en direction de l’enseignement, l’UMR apportant sa spécificité aux enseignements dispensés localement. Les enseignants-chercheurs de notre unité effectuent leurs enseignements statutaires dans les filières des Sciences de l’Homme (Archéologie, Histoire ancienne…) et des Sciences de la Vie (Écologie, Botanique…). De nombreuses heures sont également effectuées par les chercheurs et ITA/IATOS.
L’unité est plus directement impliquée dans : les licences d’Archéologie de Besançon et de Dijon, le master d’Archéologie co-habilité (depuis sept. 2007) entre les universités de Franche-Comté et de Bourgogne, l’IUP « Génie des territoires et de l’environnement », la licence de Biologie des Organismes, le master Environnement, Santé, Société, le master Pro «Archéosciences» de Dijon…
Les thèmes de recherche abordés ces dix dernières années ont beaucoup évolué en fonction des sites étudiés et des spécialités nouvelles intégrées à nos programmes. Il serait trop long et hors de propos de les décliner tous ici, un simple rappel des problématiques sera donc fait pour les thématiques qui ne concernent pas directement les relations sociétés-milieux et l’archéologie. En revanche, des exemples seront plus développés lorsqu’ils touchent ces problématiques, développement retrouvés par ailleurs dans ce volume.