. Avec-la-marque-de-ton-Époux, est-à-dire, la façon dont il t'a créée, la façon dont il t'a rachetée, la façon dont il t'a nourrie et t'a amenée dans son esprit et a ouvert tes yeux spirituels, La broche est la considération de sa passion (?)

. Sur-ta-tête, qu'il y soit placé une couronne, je veux dire, la chasteté dans tes affects (?)

. Quand-il-est-tien, Parée de cette façon, tu attendras ton Époux » 140 . into the Uses of the Revelations of St Bridget of Sweden in Fifteenth Century England », Medium Aevum, n° 51 André Vauchez, « La diffusion des « Révélations » de sainte Brigitte dans l'espace français à la fin du Moyen Âge », dans Santa Brigida profeta dei tempi nuovi, The translation of the works of st Birgitta of Sweden into the medieval european vernacular, pp.136-186, 1982.

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. Extrav and . Rév, « Maria loquitur : « Ego sum regina celi et mater miserorum, ego tibi ostendere volo, qualis filius meus erat in humanitate sua et qualis, quando paciebatur in cruce, et hoc erit tibi signum, quia venies ad loca, in quibus ego corporaliter conversabar, et ibi videbis spiritualibus oculis tuis filium meum, 330 Une autre révélation mentionne les « yeux spirituels » : Liv. I, Rév. 7

C. Silfverstolpe, . Klosterfolket, and . Vadstena, Personhistoriska anteckningar, Stockholm, 1898, p. 30, n° 41. 20 Par exemple, pour les donations avant 1420, SDHK 10579 (DS 8645), pp.18417-19257, 1698.

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. Ibid, 71 : « Oc systrana haffua lyktat sith noon litla stund ther äpther skal priorissan ringhia bordh klokkone swa länge man maa läsa Miserere mei Deus

K. A. Stockholm, Les statuts ont aussi été édités d'après d'autres documents au XVIII e siècle, Vörlaufige kurzgefasste Nachricht von einigen Klöstern der H

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C. 'est-un-texte-répandu-en-suède, transmis par plusieurs manuscrits Une liste en est proposée, ainsi qu'une biographie de Laurent, dans la notice rédigée par Olle Ferm sur le site de l'université de Bergen : https

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?. Et-sola-cunctas-hereses-interemit, Bullarium Magnum Romanum, op. cit., p. 294. 380 CAO 2924. L'évêque de Mende Guillaume Durand, dans son commentaire sur la Purification, mentionne aussi la Vierge qui extermine les hérésies, Marie destructrice de toutes les hérésies et la belle légende du répons « Gaude Maria virgo » », Ephemerides Liturgicae, n° 62, pp.321-353, 1948.

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. Au-moins-depuis-1135, SDHK 180 (DS 33). : « Domina Malfride regina ». On retrouve l'expression en 1251 en Suède, dans SDHK 653 (DS 387) : « ac illustrem Reginam dominam Katerinam ». Il ne s'agit cependant pas de reines régnantes, mais d'épouses de rois, Sur les reines scandinaves à la fin du Moyen Âge, voir Steinar Imsen, « Late Medieval Scandinavian Queenship Queens and Queenship in Medieval Europe, pp.53-74, 1997.

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A. De and L. , Roche lui-même n'utilise pas le mot « rosaire

. Plusieurs-textes-circulent-sous-le-nom-d-'alain-de-la-roche, Avant l'édition suédoise de 1498, qui les rassemblent dans une même anthologie, on distingue surtout le Compendium psalterii Trinitatis, ou Van die nutticheyt ende edelheit des Vrouwen Souter, imprimé en néerlandais à Utrecht en 1480 (ISTC ir00360500) ; l' Apologeticus, sive tractatus responsorius de Psalterio Beatae Virginis Mariae, imprimé en latin à Lübeck vers 1480 (ISTC ir00359000) ; le Psalterium Virginis Mariae, ou Unser Lieben Frauen Psalter, imprimé en allemand à Ulm en 1483 (ISTC ir00361600) et réimprimé 7 fois avant 1500

A. De and L. Roche, De immensis et ineffabili dignitate et utilitate psalterii precelse ac intemerate semper virginis Marie, Gripsholm (Mariefred), vol.00361000, pp.1498-39205

A. Duval and «. La, dévotion mariale dans l'ordre des Frères prêcheurs, p.773

L. Confraternites, M. Et, L. Diffusion, and . Rosaire, On n'a pas conservé les statuts de cette première confrérie, à Douai. 1.2

. Avant-que-n, apparaissent les premières confréries du rosaire, il y existe en Suède d'autres confraternités dédiées à la Vierge. Les recherches sur les guildes et les confréries en Suède ne se sont pas intéressées aux institutions mariales en particulier. Les études concernent bien souvent l'ensemble des institutions confraternelles, c'est-à-dire aussi bien les confréries de 169

H. Jørgensen and . Danmark, Studier over kirkekultur og kirkeligt liv fra det 11 Aarhundredes midte til Reformationen Gottfrid Carlsson, « Jungfru Marie psaltares brödraskap i Sverige. En studie i senmedeltida fromhetsliv och gilleväsen », Kyrkohistorisk Årsskrift, pp.98-99, 1909.

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E. Suède and . Comme-le-rapporte-gottfrid-carlsson, Il est difficile de dater avec précision l'introduction du rosaire, que l'on s'intéresse à la confrérie ou à la pratique. C'est dans la décennie 1490 que les sources suédoises commencent à mentionner l'une ou l'autre. Selon Carlsson, il semble que ce soit l'impression de l'ouvrage d'Alain de la Roche, en 1498, qui constitue le point de départ de la diffusion du rosaire en Suède 216, Le livre d'Alain de la Roche, De dignitate et utilitate psalerii BMV, a été imprimé pour la première fois à Lübeck vers 1478-1480 en latin 217

. La-chartreuse-de-mariefred-est-une-création-tardive, elle est implantée en 1493 dans le diocèse de Strängnäs, grâce aux efforts de l'archevêque d'Uppsala Jakob Ulvsson et de l'évêque de Strängnäs Kort Rogge 220 . Les prélats ont persuadé le régent suédois

P. Rostock and . Qu, En 1498, les pères disposent d'une presse à imprimer, sur laquelle ils produisent trois versions du livre d'Alain de la Roche 222 . C'est le seul ouvrage qui est imprimé à Mariefred. L'impression est financée par Sten Sture l'Ancien et par sa femme Ingeborg Åkesdotter Tott 223 . Gottfrid Carlsson, et à sa suite Sven-Erik Pernler, tendent à penser que cette impression signale l'existence d'une confrérie du rosaire à la chartreuse de Mariefred 224, Mais rien ne permet de l'affirmer, car la confrérie qui est mentionnée dans le livre est celle qui a été fondée à Cologne en 1475. L'impression de 1498 à

. Mariefred, ont ceci de particulier qu'elles sont financées par le 216 Gottfrid Carlsson, « Jungfru Marie psaltares brödraskap?, M39197 ; ISTC ir00361600), au moins huit impressions avant 1500

. Selon-isak-collijn, la presse à imprimer est celle qui provient de l'imprimerie de Johannes Fabri, imprimeur à Stockholm qui meurt en 1496, Isak Collijn

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. Geete, Svenska böner, op. cit., p. 241, n° 121 : « Item sagde Iomffru Maria til thän samma brodher thänna läsningh skalt du gärna androm lära för thy at mange skulu komma til himerike för the läsningh

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S. Helander and D. Medeltida, reconnaît avec raison la charte comme le premier document à citer la fête de la Conception, mais il se trompe d'archevêque en attribuant la lettre à l'archevêque Nils Allesson (1292-1305), alors qu'elle est de son successeur, Nils Kettilsson (1308-1314) Avant Helander, plusieurs documents ont été proposés, de manière erronée, comme contenant les premières traces de la fête. Par exemple, mentionne une lettre aux Dominicains de Sigtuna (SDHK 2434), qui en fait ne contient aucune mention de la fête. En revanche Franziskanische Elemente im mittelalterlichen Kult Schwedens. Teil II », Franziskanische Studien, pp.161-182, 1923.

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. Ibid, 14 Martina Wehrli-Johns, « L'Immaculée Conception après le concile?, p.628

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. La-fête-de-la, Conception est ainsi mentionée comme marqueur de temps dans SDHK 6808, necnon in quatuor principalibus beate Marie virginis, pp.37-6645, 10101.

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«. Diffusa-est and ». Ps, 44:3) 69 , soit « Beata viscera », un chant qui vient originellement d'un formulaire

. Dans-la-collecte-«-les-fidèles-demandent-À-dieu-d, être mis sous la protection de Marie » 77 . La collecte « Deus qui beate Mariae virginis conceptionem angelico » est donc l'une des premières composées spécialement pour

Q. Deus and . Beatae, Mariae virginis conceptionem angelico vaticinio parentibus praedixisti, praesta huic praesenti familiae tuae eiusdem praesidiis muniri, cuius conceptionis sacra sollemnia congrua frequentatione veneratur », CO II

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. Sanctificata-quesumus-domine-muneris-oblati-libamina, Et beate Dei genitricis Marie saluberima interventione cuius conceptionem celebramus nobis salutaria fore concede », CO VIII, n° 5370 modifiée comme selon le Missale Strengnense. Les fragments qui la présentent sont : MPO Fr 4800

M. Dary, «. Aux-origines?, ». , O. Cit, and C. , 84 Uppsala, UB C 428, C 439. 85 La prière est la même que celle utilisée dans le Missale Lundense, et on la trouve aussi dans MPO Fr 4044, p.88551

C. Répond, soit directement soit par l'intermédiaire d'un ange

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. Le-manuscrit-vatican and . Lat, un bréviaire de poche richement illustré à l'usage des Mineurs contient l'office de Leonardo Nogarolo aux fol. 538 et suiv Le bréviaire romain imprimé à Venise en 1489 (GW 5159) et conservé sous la cote Vatican, BAV Inc. V. 22 est aussi à l'usage des Mineurs. Cependant, il contient deux offices de la Conception, office de Leonardo Nogarolo pour l'Immaculée Conception

. Ibid, . Sur-bernardin-de-busti, . Voir-la-notice-bibliographique-rédigée-par-antonio-alecci, . Busti, ». Bernardino et al., Cette notice est disponible en ligne : http://www.treccani.it/enciclopedia/bernardino-busti_%28Dizionario_Biografico%29/ . 230 Bernardin de Busti, Mariale, Milan, 1492, ISTC ib01332500, GW 5803. L'ouvrage est réédité l'année suivante, toujours à Milan, puis en 1496 et en 1498 à Strasbourg The revelations of St, Une édition du texte est proposée dans Bernardin de Busti mais sans mentionner Liv. V, Rév. 13, pp.15-269, 1966.

. La-liste-inclut, 13 ; Liv.VI, Rév. 49 ; Liv. VI, Rév. 55 ; Liv. VI, Rév. 56 ; Sermo Angelicus § 10-12 ; Orationes I, Liv. IV, Rév. Liv. IV , Rév. Liv. V, Rév, vol.108, issue.8, p.94

A. Nilsén, ». Marie-obefläckade-avlelse-i-kult-och-konst, K. , K. E. Børresen, and . Birgitta, s Godlanguage : Exemplary intention, inapplicable content The revelations of St, Birgitta, hendes vaerk og hendes klostre i NordenLiber Caelestis, Books I-VII, pp.6-15, 1987.

V. Nixon, Mary's mother. Saint Anne in Late Medieval Europe, 1999.

M. Lamy and L. 'immaculée-conception, La notice propose plusieurs autres sens, dont « aussitôt, à l'instant, tout de suite », ce qui induit l'idée d'immédiateté, mais aussi « Aussitôt que », qui la contredit. Le sens principal semble toutefois bien indiquer une action immédiatement postérieure à une autre. La même orientation est choisie dans Félix Gaffiot, Bientôt, dans peu de temps » ou « Bientôt après, 1934.

B. Dictionnaire-latin-français, W. Merrilees, and . Edwards, Les dictionnaires anglophones proposent les mêmes termes et soulignent de fait aussi l'ambiguïté de « mox, 1994.

M. Cette-argumentation-déroutante-explique-que-virginia-nixon, identifie correctement la révélation comme maculiste, mais attribue de façon erronée l'information à Nilsén : « For as Anna Nilsen points out, in referring to God's sanctifying Mary's body after her conception at the time of the insertion of her soul, Birgitta is actually describing a maculate, not an immaculate, conception » alors que Nilsén dit seulement : « ? Mary was conceived without lust and (?) God subsequently inserted the soul in her body and at the same instant sanctified both, This version comes closer to the Dominican perception, p.75

L. Avisamentum, ». Est-présent-dans-uppsala, and U. C. , 216-218 ; il à été édité par Carl Silfverstolpe, Om kyrkans angrepp, op. cit., Annexe I, pp.191-202

C. Dans, Son incipit est : « Karissimi sicut dicitur Mat

U. C. Uppsala, 326 et C 392. L'incipit du sermon concerné est : « Karissimi quid de immaculate virginis Dei genitricis conceptione dignum

G. Sur and . Charlier, Le métier de prédicateur à la fin du Moyen Âge (1350-1520), Le métier de prédicateur à la fin du Moyen Âge », Revue Belge de Philologie et d'Histoire, pp.2-479, 1988.

. Pierre, Immaculée Conception ; il est l'un des principaux adversaires du Dominicain Jean de Monzon, à l'origine d'un nouvel épisode de la controverse Voir Marielle Lamy, L'immaculée conception, op. cit Disponible sur, Dévotions et représentations de l'Immaculée Conception dans les cours royales et princières du Nord de l'Europe (1380-1420) », L'Atelier du Centre de recherches historiques, pp.569-571, 2012.

. Ibidem, Tercio fuit hec herba scilicet beata Virgo virens et pulcra in suo egressu ab hoc erumpnali seculo. Per ipsam enim natura angelica et humana decorem et perfeccionem consumatam accepit. Nam secundum Bernardum: Eius est tanta glorie pulcritudo, ut non solum mundum, sed et illuminet paradysum, Ipsa est enim pulcritudo celi, corona et gloria sanctorum omnium

J. Gerson, O. Complètes, P. Glorieuxéd, /. Paris, /. Tournai et al., UB C 15, fol. 1-13v ; C 326, fol. 314-327 ; et une reportatio dans C 392, fol. 160v-161. 325 Pseudo-Jean Gerson, Sermo de conceptione virginis Marie 1480 (ISTC ig00201000). L'exemplaire consulté est celui de Munich, 314 : « ? ita quatuor articulos presenti dividia sermone ita primo agantur de prima via, ita secundo de secunda, ita tertio de tertia, ita quarto de quarta, p.324, 0198.

. Pro-quo-sciendum-beata-virgo-merito-conservata-ab-originali-peccato, R. Dicit-allexander-super-cantica, . De-sancto-victore, T. D. Hugo, and A. , Petrus De candia. Nam Deus potuit matrem suam a peccato originali preseruare Similiter et decuit racione matris et filii. Dixi primo Deus potuit matrem a peccato originali preseruare, quia princeps statuens legem auctoritate sua eadem auctoritate potest legem eandem renovare, quia lex ista habet vim ex eius institucione (?) ». 353 Sur cet argument, voir Marielle Lamy, L'immaculée conception, op. cit, p.469

A. Franciscus-de, 358 : « Tertio, etiam conruum erat, ut beata Virgo Maria, per quam aufertur nobis opprobrium, vinceret diabolum, ut nec ei succumberet in aliqua morula, Unde de ipsa exponit beatus Augustinus, p.15

. Ibid, ou Uppsala, UB C 215, fol. 3v : « Septima et ultima veritas est, quod peccatum originale non est aliqua infectio morbida in carne formaliter, sicut dicunt aliqui; quia omne peccatum formaliter est in anima, p.361

. Ibid, 362 : « Aliter dicit Scotus, libro II, dist. 32, quest. ultima, quod peecatum originale formaliter loquendo est carentia justitie originalis cum debito habendi eam

. Ibid, 363 : « sicut fuit congruum ut Dei Filius a tali lege esset liber, sic fuit congruum ut Reparatrix nostra, que est Dei Mater, a tali lege et ab illa pena esset libera

. Ibid, 364 : « Queritur ergo de facto, utrum Virgo benedicta ab originali macula fuerit preservata

H. Lindkvist and R. Rolle, s Meditatio de Passione Domini according to Ms Uppsala C 494, p.22, 1917.

U. C. Uppsala, fol. 94v : « ? et in constat Jeremiam et Johannem baptistam sanctificatos in uteris matrum ita quod ante conceptioni? » et Pedro de Alva y Astorga, Radii solis zeli seraphici coeli veritatis pro Immaculatae Conceptionis mysterio, 1054 : « Quia ex quo Ioannes et Hieremias de quibus minus videtur quam de Matre Christi, ante nativitatem ex utero sanctificati sunt?

«. Richard-l, Anglais » sont mentionnés dans les écrits sur la controverse, mais il est difficile de les identifier avec précision, comme l'explique Pedro de Alva y Astorga

U. C. Uppsala, 94 : « Item exchidentes eam a peccato originali eam dampnant quem si non fuit peccatum non indiguit redemptione et si non indiguit redempcione non fuit redempta nec salvata

A. Et, E. Iam, and . Eram-», Prov 8:24), son incipit tel que le propose le catalogue de la cote C serait : « Secundum opinionem illorum que dicunt virginem sine originali

». Conceptam, à première vue, ne permet pas de l'identifier. Cependant, une fois passée cette introduction, on découvre le véritable début du sermon, qui est : « Conceptionem beate

W. Guillaume-de, ? vers 1310) qui le cite le premier sous cette autorité

J. Baconthorpe, Le dossier contient également un extrait du Defensorium d'Adam Easton, en particulier le chapitre 23 qui concerne tout particulièrement l'Immaculée Conception, comme on l'a vu 410 Puis quelques exempla sur la fête de la Conception sont présentés 411 . Il s'agit des trois miracles ordinairement présentés pour confirmer la validité de la fête, c'est-à-dire le miracle d'Elsin, ici en deuxième position, 1346.

«. On-a-vu-que-la and . Défense, Adam était nettement en faveur de l'Immaculée Conception et qu'au contraire ces miracles ne transmettaient rien qui aille dans ce sens Que contient donc exactement le sermon qui constitue la pièce maîtresse de ce dossier ? Le sermon du Pseudo-Pierre le Mangeur commence par affirmer que la fête de la Conception est une occasion de se réjouir 413, Il le fait dans une langue plutôt lyrique, qui n'est 405 Uppsala

. Ibid, 3 : « De concepcione beate virginis secundum Ricardum ». 408 Ce sermon est édité dans Pedro de Alva y Astorga, Radii solis, op. cit., col, pp.614-621

M. Sur-ce-sermon, L. Lamy, and . 'immaculée-conception, 410 L'extrait d'Adam Easton se trouve au fol, pp.71-81

K. Copenhague and . Am, La cinquième main de ce livre de prière, la soeur de Vadstena Katarina Gudmundi, a écrit cette prière aux fol. 32-39. L'oraison commence avec la rubrique « Beati immaculati, » suivi ensuite par : « Sancta virgo Maria quesumus quem uno per partu tuo mundi, Il est difficile de considérer cela comme un témoignage d'Immaculée Conception. Voir Ingela Hedström, Medeltida svenska bönbocker

. Kvinnligt-skriftbruk-i-vadstena-kloster and . Oslo, et suiv. 431 Stockholm, KB A 81, fol. 86. 432 Réjane Gay-Canton, Entre dévotion et théologie scolastique, pp.481-179, 2009.

U. C. Uppsala, 259rv ; C 302, à la suite du sermon sur la Conception, fol, fol, vol.15, pp.476-480

T. Nyberg and «. Introduction, Birgitta of Sweden. Life and selected revelations, p.15, 1990.

. Brigitte-sur-le, autorité d'un concile qui a statué sur son orthodoxie. En dehors du cadre Brigittin et en dépit de la présence de délégués suédois au concile de Bâle, il n'y a pas réellement de traces de la controverse Comme les rapports entre les diocèses suédois avec la papauté

M. Sur-l-'affaire-bandelli and «. L. Wehrli-johns, Immaculée Conception après le concile de Bâle dans les provinces dominicaines et franciscaines de Teutonie et de Saxe : débats et iconographie », L'Atelier du Centre de recherches historiques, Sur les affaires Wigand Wirt, voir en plus du précédent article Clément Schmitt, « La controverse allemande de l'Immaculée Conception. L'intervention et le procès de Wigand Wirt, O.P. (1494-1513) », Archivum Franciscanum Historicum, pp.397-450, 1952.

H. Barré, «. Le, and ». ». Planctus-mariae, Il existe une traduction en français du traité d'Ogier, fondée sur une édition de 1873 qui est difficile à se procurer ; la traduction en français ne l'est pas moins, pp.255-256

R. Thomas, Mariale VII Ogier de Locedio, Chambarand, 1963. 14 Par exemple, Il « Planctus B. Mariae » Operetta falsamente attribuita a San Bernardo », Rivista storica benedettina, pp.56-111, 1926.

L. Jacques-de-milan, aiguillon d'amour (Stimulus amoris),Ubald d'Alençon (éd, 1910.

S. Sticca, The Latin Passion Play : its Origins and Development, 1997.

M. Schuler, The Seven Sorrows of the Virgin Mary: Popular culture and cultic imagery in Pre- Reformation Europe », Simiolus: Netherlands Quarterly for the History of Art, pp.1-2, 1992.

É. Bertaud and ». Douleurs?, Sur la dévotion aux douleurs, voir aussi Hippolyte Delehaye, La Vierge aux Sept Glaives », Analecta Bollandiana, pp.1893-333, 1693.

R. W. Pfaff, On trouvera cet office édité dans AH, The Seven Sorrows? n° 46. L'office est aussi référencé dans RH, p.100, 1970.

A. Wilmart, A. , and R. W. Pfaff, New Liturgical Feasts, op. cit., p. 100, Le statut est reproduit dans Gian Domenico Mansi (éd.), Sacrorum Conciliorum nova et amplissima collectio, pp.1785-1057

G. Frederick and . Holweck, Fasti mariani, sive calendarium festorum sanctae Mariae Virginis deiparae

. Memoriis-historicis-illustratum and . Fribourg-en-brisgau, La fête est célébrée : le 18 mars à Nidaros ; le vendredi après ou avant le dimanche de la Passion à Hamburg ; le vendredi après le dimanche de la Passion à Lausanne sous le nom de Maria de pietate, et le même jour à Besançon et chez les Dominicains ; le samedi qui suit le dimanche de la Passion chez les Chartreux, pp.3131891-1898, 1892.

U. Mai, Ascension à Halle et Magdebourg ; le jour qui suit la Fête-Dieu à Halberstadt, sous le nom de Transfixio ; le samedi après la Fête-Dieu à Goslar

. Verden, le dimanche après la Dispersion des Apôtres (15 juillet) à Schwerin ; le 18 juillet à Merseburg, p.19

G. Aimé and . Martimort, L'Église en prière. Introduction à la liturgie, p.759, 1961.

R. W. Pfaff, New Liturgical Feasts, op. cit., p. 102. 41 Historia de veneranda compassione B.V. Mariae cum Officio, pp.1478-37617

L. 'exemplaire-consulté-est-munich and B. Staatsbibliothek, Ink O-9) ; Copia indulgentiarum de institutione festorum compassionis et praesentationis beatissime virginis Mariae concessarum, pp.1479-37625

É. Bertaud and «. Douleurs?, La messe, dont l'introït est « Cumque vidisset Iesus », est éditée dans Robert Lippe (éd.), Missale romanum mediolani, 340. 44 Victor Leroquais, Les bréviaires manuscrits des bibliothèques publiques de France, p.p. CIV, 1474.

R. W. Pfaff, New Liturgical Feasts, op. cit, p.101

É. Bertaud and «. Douleurs?, Auteurs spirituels, op. cit., p. 511. 48 Breviarium ad usum Ordo Praedicatorum, Bâle, 1492, fol. CLXXX. 49 Breviarium ad usum Ordo Praedicatorum, 1694. 47 Voir la liste établie par André Wilmart, p.1485, 1477.

B. Strömberg, Missale Lundense av år 1514. Faksimiledition, Malmö, 1946.

T. Lundén and . Maria-som-corredemptrix-eller-medåterlösarinna, Framställd i liturgisk diktning och bildkonst från Sveriges medeltid », Kyrkohistorisk Årsskrift, pp.32-60, 1979.

H. Källström, ) : « ? in medio dicte ecclesie super lectorium situatas, oracionem dominicam et salutacionem angelicam in memoriam passionis eiusdem Domini nostri crucifixi quinquies et compassionis eiusdem intemerate matris totidem aut ipsas cum benigno corde et humili genuflexione tacite decantaverint?, pp.81-58, 1515.

H. Voir and . Källström, Domkyrkan som andaktsmiljö) : « amarissime passionis eiusdem filii crucifixi et acerbissime eiusdem virginis matris memoriam

. Ibid, « ante novam ymaginem beate virginis, mortuum in sinu filium suum lamentantem? ». 61 Ikonografiska Register [dactylographié], Stockholm, s. d

U. C. Uppsala, Pour la datation de ce manuscrit, voir Sven Helander (éd.), Ordinarius Lincopensis c:a 1400 och dess liturgiska förebilder, Ordinarius Lincopensis, pp.44-45, 1957.

L. Pourtant and . Deux-fragments-sont-liés, Fr 23745 contient le début de l'office et Fr 23744 la suite. Les mêmes têtes de personnages ornant les majuscules confirment la parenté de ces deux fragments. 67 Breviarium Upsalense, 1496.

». Mariae-virginis? and J. Peringskiöld, Monumenta Ullerakerensia Cum Upsalia Nova Illvstrata, Eller: Vlleråkers Häradz Minnings-Merken

J. Peringskiöld, M. Stockholm, . Kongl, H. Omkostnad-vplagde, . L. Joh et al., Antiquitets Archivi Boktryckare, Åhr 1719, pp.38-39, 2001.

. Écrit-une-lettre, 23 janvier 1444, il mentionne 6 fêtes mariales, dont la Conception et la Visitation 85 Mais il ne fait pas mention de la Compassion. Bien qu'ancien frère brigittin et prédicateur renommé, Åke Johansson n'a pas 77 Uppsala

M. Strengnense and . Stockholm, 1495, fol. iiii v : « Festum compassionis Marie virginis habeatur sabbato primo proximo dominica Quasimodogeniti, 1487.

D. Johansson, . Medeltida-liturgien-i-skara-stift, and L. Studier-i-mässa-och-helgonkult, 164 : « Compassio sancte Marie venit in sabbato propinquo post quasimodogeniti. Non est festum terre nec iussum ieiunare Tunc est simplex ». 84 Christer Pahlmblad (éd.), Breviarium Scarense (1498) Faksimil efter exemplaret i Uppsala universitetsbibliotek, Skara, 2011, fol. CLVv pour l'office. La partie contenant la messe n'est pas paginée. 85 SDHK 24452, La lettre est mentionnée par Toni Schmid, « Drag ur medeltidens fromhetsliv », dans Västerås stift i ord och bild, pp.43-70, 1951.

T. Schmid, 88 Breviarium Arosiense, Bâle, 1513, fol. 101 : « De compassione beate virginis (cuius festum semper habendum est sabbato primo post dominica Quasi modo geniti) ». 89 FMU 2393 ou Reinhold Hausen (éd.), Registrum ecclesiae Aboensis, eller Åbo domkyrkas svartbok, Helsinki, 1890, n° 496, Graduale arosiense impressum Der Heiligenkalender Finnlands. Seine Zusammensetzung und entwicklung Der Heiligenkalender, op. cit, pp.84-105, 1925.

M. Parvio, Missale Aboense secundum ordinem fratrum praedicatorum 1488, p.136, 1988.

G. Lindberg, Die schwedischen Missalien des Mittelalters Ein Beitrag zur vergleichenden Liturgik. I Kalendarium, Commune sanctorum, p.282, 1923.

. Breviarium-upsalense, fol. 276v ; Breviarium Strengnense, op. cit., fol. 163 ; Breviarium Arosiense, op. cit., fol. 101 ; Knut Peters (éd.), Breviarium Lincopense, Breviarium Scarense, pp.396-429, 1950.

. Vadstena, Mais tous ont en commun d'être relativement précoces Deux témoins contiennent le Planctus dans son entier 197 Le troisième n'en contient qu'un court extrait 198 Si les témoins contenant le Planctus d'Ogier en latin sont peu nombreux dans les collections suédoises, il est certain que ce texte a influencé la production locale en suédois. Le Planctus a suscité un intérêt qui ne se limite d'ailleurs pas à cette production, comme le suggère la présence dans les fonds de la Bibliothèque universitaire d'Uppsala d'exemplaires incunable du Planctus imprimés dans les années 1470 199 . Par exemple, on trouve une curiosité dans un manuscrit conservé à Stockholm : il contient un planctus écrit en runes, en ancien danois 200, mais ils n'ont pas été composés en Suède : un Planctus a été copié en Italie

L. Peringskiöld, au début du XVII e siècle, l'a trouvé dans l'église de Vallentuna (diocèse d'Uppsala) Peringskiöld s'est trompé sur la date de composition de ce texte : il a cru que le document datait des environs de 950 201, Klemming pense qu'un frère ou un moine (klosterbroder) a pu copier cette pièce pour son propre plaisir. Ce texte en rune mentionne

. Marie-madeleine-en-avançant and . Qu, elle a pleuré le Christ plus que n'importe qu'elle autre femme à l'exception de la Vierge. Le texte poursuit en mentionnant « l'ordre que Pilate a donné

S. Borgehammar, «. Marias-medlidande-dans, S. Brodd, and &. , Ett bidrag till studiet av birgittinsk spiritualitet Härdelin (dir.), Maria i Sverige under tusen år, pp.331-360, 1996.

R. E. Stockholm, Le texte est édité par Gustav E. Klemming (éd.), Svenska medeltids dikter och rim, pp.1881-1882

B. Avignon and . Ms, 3177 ou Londres, BM Ms. Burn. 300. 225 Uppsala, UB C 171, fol. 159 : le sermon sur STABAT IUXTA CRUCEM IHESU (Joh. 19:25) « Sicut christiane religionis deffectus » est un sermon d'Odon de Morimond, Audivimus fratres mariam ad monumentum stantem, p.506, 1972.

U. C. Uppsala, 41 : sermon sur FASCICULUS MIRRE (Cant 1:12) « Beata virgo in Christi passione multam », voir Johann-Baptist Schneyer, Repertorium, op. cit, p.419, 1978.

S. Borgehammar, «. Marias-medlidande?, and ». , Les sermons commentés dans cet article sont Uppsala, UB C 181 fol. 39 et fol. 41 ; C 386 fol, pp.482-484

U. C. Uppsala, Voir Stephan Borgehammar, « Marias medlidande? des prérogatives de la mère de Dieu, de ses joies et de ses gloires, de ses peines et de ses souffrances. Puis, après avoir sollicité des grâces multiples et diverses, celui qui la récite demande à la Vierge de lui apparaître à son lit de mort et de lui faire connaître le jour et l'heure de son trépas ». Victor Leroquais, Les livres d'heures manuscrits?, p.335

D. Ainsi and . Un, livre de prières daté vers 1520 et originaire de Rouen, pp.13-14

. Vierge-288, «. Au-magnificat, and . Nativitas-tua-»-indique-que-la-naissance-de-la-vierge-annonce-la-joie-dans-le-monde-entier-289, De même l'invitatoire témoigne de la jubilation des croyants sans attribuer d'émotions à la Vierge 290 Les autres chants présentent les mêmes caractéristiques. La joie de la naissance de Marie touche donc tout le monde, mais la Vierge ne se réjouit pas elle-même de sa naissance. L'humanité de Marie est ici mise en exergue Le Cantus Sororum aborde le thème de la naissance de la Vierge dans l'office du mercredi. En règle générale, l'office des soeurs correspond, Mat, vol.3, p.17

L. La-troisième-leçon, Cernere divinum », invite les fidèles à se réjouir à leur tour 292

. Cependant, :7) et par conséquent il ne s'applique qu'indirectement à la Vierge. Le Cantus Sororum aborde le thème de l'Assomption dans l'office du samedi, Cantique des Cantiques (Cant, vol.5

L. Vierge and . Croyants-se-réjouissent-295, L'antienne de complies « Cum jocunditate » répète cette 288 CAO 8307 ; voir la première strophe : « Gaude visceribus mater in intimis felix Ecclesia, quae sacra replicas sanctae festa Mariae, plaudent astra, solum, mare ». 289 CAO 3851 : « Nativitas tua Dei genetrix virgo gaudium annuntiavit universo mundo alleluia, Corde et voce simul Christum regem veneremur virginis et matris jubilemus nobili ortu, pp.290-1057

. Exulta-reverenda-mater-de-reverendissima-filia-tua-que-eum-virgo-genuit,-qui-omnia-creavit, ». Et-miseros, and T. Lundén, Den heliga Birgitta och den heliga Petrus av Skänninge: Officium parvum beate Marie virginis. Vår Frus tidegärd utgiven med inledning och översättning, Cernere divinum lumen gaudete fideles », Ibid., p. 18. 293 Tryggve Lundén (éd.), Officium parvum, op. cit, pp.12-292, 1976.

. Dieu and . Lorsque-le-texte-d, Ambroise Autpert se fait plus lyrique et mentionne, à deux reprises, les baisers que Marie adresse à son fils, le bréviaire d'Uppsala choisit de ne pas recopier cette partie. La série de lectures du bréviaire d'Uppsala pour la Purification est très fortement inspirée de la série sélectionnée dans la tradition dominicaine, telle qu'elle est présentée, par exemple, dans le lectionnaire d'Humbert de Romans 308 . Les mêmes textes sont utilisés, bien qu'ils soient souvent raccourcis et abrégés dans le bréviaire d'Uppsala

T. Koehler and «. Les-origines-d-'un, La maternité spirituelle de Marie dans la piété occidentale entre 750-1100, Étude historique et culturelle », De cultu mariano saeculis VI-XI, pp.347-380, 1972.

M. Ambroise-de, Expositio evangelii secundum Lucam I. Fragmenta in Esaiam IV Expositio evangelii secundum Lucam II, Breviarium Romanum, vol.14, issue.24, pp.39-315

. Christ-en-croix-À-la-«-contribution-silencieuse-»-de-la, Vierge à ses côtés 324 . L'antienne au Benedictus précise enfin que la Vierge est « flebilis », éplorée. Dans les chants, la compassion de la Vierge est particulièrement marquée par l'emploi des « termes montrant la communion 319 « Beatam igitur Maria in Domino confidens hilariter transmigravit super cacumina : sicut passer in asperitate itineris congaudebat. per viam suavitatem colloquiorum aspernebat », Knut Peters (éd.), Breviarium Lincopense, 320 Par exemple, pour la neuvième leçon : « In montana cum festinatione Virgo memor officii, pp.693-694, 1955.

C. Stabat-virgo-dolorosa-mater and . Generosa, juxta crucem fili, tristem gerens theoriam, recensendo prophetiam Simeonis gladii » et « Dolor ingens, dolor ille gene pallent et maxille, ora rigant lacrime, crux, flagella, clavi, spine, livor, tumor, plage quine gladius sunt anime, pp.150-151

. Sur-la-vierge-marie-en-temps and . Qu, exemple et médiatrice d'émotions à fins de pratiques dévotionnelles, voir Carol M. Schuler, « The Seven Sorrows of the Virgin Mary: Popular culture and cultic imagery in Pre-Reformation Europe », Simiolus: Netherlands Quarterly for the History of Art, pp.1-2, 1992.

S. Borgehammar and . Marias-medlidande, Ett bidrag till studiet av birgittinsk spiritualitet, Maria i Sverige under tusen år, p.335, 1996.

V. Katherine, Facsimile tryck av Bartholomeus Ghotans i Stockholm 1487 tryckta bok, 1981.

S. Boynton, 338 « en vandring tillsammans med Jesu moder Maria », Alf Härdelin, « I Kristi och hans moders spår. Om Stationsandakter i Vadstena », dans A. Härdelin (dir.), I Kristi och hans moders spår. Om Stationsandakter i Vadstena, pp.1000-1125, 2003.

L. Liturgie and D. , 1300-1530), PARTIE, vol.2, p.298

L. Question, D. La, . Au, and C. De-l-'anthropologie, 585 1.3.1 L'existence de biais logiques dans l'historiographie, p.585

.. La-controverse-autour-de-l, Immaculée conception : rappel historique, p.602