, une sorte de tableau intérieur des images qu'elle fait naître en lui : Forêt silencieuse, aimable solitude, Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré ! Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude ! Prestige de mon coeur ! je crois voir s'exhaler Des arbres, des gazons, une douce tristesse : Cette onde que j'entends murmure avec mollesse
, Sur un tapis de fleurs, sur l'herbe printanière, Qu'ignoré je sommeille à l'ombre des ormeaux ! Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles : Ces genêts, ornements d'un sauvage réduit, Ce chèvrefeuille atteint d'un vent léger qui fuit, Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles. Forêts, dans vos abris gardez mes voeux offerts ! A quel amant jamais serez-vous aussi chères ? D'autres vous rediront des amours étrangères
, esthétique du « tableau », qui reprend la perception globalisante de la version picturale pour retracer, par les mots, l'ensemble des caractéristiques, mais pour aussi y ajouter le panorama intérieur des sensations et des espoirs de vie meilleure loin des hommes, dans un repli post-rousseauiste. Cette analogie du vocabulaire artistique transposé sur le plan littéraire est cultivée très fréquemment par Chateaubriand, notamment avec des visées didactiques comme dans Voyage au Mont-Blanc : « Il faut une toile pour peindre : dans la nature, le ciel est la toile des paysages ; s'il manque au fond du tableau, tout est confus et sans effet. » 42 . Le peintre est explicitement le démiurge Chateaubriand, qui perçoit les paysages comme l'alliance d'une toile préexistante et d'un chaos naturel qu'il s'agit d'organiser par le regard, dont le témoin est l'oeuvre réalisée, nouveau tableau, littéraire cette fois, Lorsqu'il observe les montagnes des Alpes, il y perçoit « le cadre » d'un « tableau » 43 constitué par l'horizon des sommets : pour lui, la nature est déjà à percevoir 41 Tableaux de la Nature Cd-Rom Chateaubriand ? Les Itinéraires du Romantisme, p.117, 1999.
, Symboliquement, dans ce cadre alpestre où tout n'est perçu que dans un jeu de proportions et de disproportions, il allie à l'imaginaire pictural l'imaginaire théâtral, que l'on a vu également omniprésent dans son esthétique : « [?] le cadre du tableau s'accroît démesurément, et les rivières, les forêts, les villages, les troupeaux gardent les proportions ordinaires : alors, il n'y a plus de rapport entre le tout et la partie, pp.116-116
, 50 Une soixantaine de fois dans son oeuvre, là encore, Chateaubriand et les Arts Cd-Rom Chateaubriand, les Itinéraires du Romantisme, pp.32-56, 1999.
, Outougamiz déclare ainsi : « Quand tu pleurais sur René, tes yeux étaient comme deux perles au fond d'une source ; ton sein, p.516
, telle est ma bien-aimée entre les vierges Que vous êtes belle, ô mon amie ! votre bouche est une grenade entrouverte, et vos cheveux ressemblent aux rameaux du palmier. L'épouse s'avance comme l'aurore : elle s'élève du désert comme la fumée de l'encens ! » (Les Martyrs, p.333
, lors de la dernière assemblée secrète des guerriers dans le souterrain, évoquant le jour du massacre des colons, interpelle ainsi le « Jour sacré » qui va venir pour le triomphe de sa tribu : « Mon coeur se réjouit à tes rayons, p.555
, conformément à ses origines, des images orientales pour déclarer son amour à Blanca : « Blanca, mon amour pour toi égale l'ardeur des vents brûlants de l, Arabie, p.1398
, évoquant les « superbes forêts qui agit[ent] [leurs] lianes et [leurs] dômes comme les rideaux et le ciel de [la] couche » qu'il partage avec Atala, p.63
, Jean-Jacques Robrieux (Rhétorique et argumentation) comprend la parabole parmi les « formes littéraires qui s'apparentent à l'allégorie. On appelle par exemple apologue un récit porteur de signification morale. La forme la plus sommaire en est le proverbe, les formes les plus élaborées étant la fable et la parabole, pp.305-54, 2000.
, témoin cette sentence : « [?] le saule est agréable aux Génies des voyageurs, parce qu'il croit au bord des fleuves, emblèmes d'une vie errante. » (Les Natchez, op. cit., livre I, p.173
, « [?] l'espérance est comme la Montagne Bleue dans les Florides : de ses hauts sommets le chasseur découvre un pays enchanté, et il oublie les précipices qui l'en séparent, p.284
, « [?] les paroles du méchant sont comme le sable qu'un vent brûlant chasse au visage : il aveugle et fait pleurer le voyageur. » (Les Natchez, ibid Elle est d'ailleurs dotée de cheveux blancs, ce qui en fait une figure du sage, malgré sa jeunesse (voir note 522) ; Outougamiz confirme cela lorsqu'il déclare, Tu es sage comme une vieille matrone, pp.445-476
, De l'autre côté du fleuve, la vue est arrêtée par une chaîne de collines rougeâtres : ce sont les monts Ménélaïons Derrière ces monts s'élève la barrière des hautes montagnes qui bordent au loin le golfe d'Argos. Dans cette vue à l'est, entre la citadelle et l'Eurotas, en portant les yeux nord et sud par l'est le monument de Cadmus, les temples d'Hercule, d'Hélène, et le Plataniste J'ai compté dans ce vaste espace sept ruines debout et hors de terre, mais tout à fait informes et dégradées Comme je pouvais choisir, j'ai donné à l'un de ces débris le nom du temple d'Hélène ; à l'autre celui du tombeau d'Alcman : j'ai cru voir les monuments héroïques d'Egée et de Cadmus ; je me suis déterminé ainsi pour la fable, et n'ai reconnu pour l'histoire que le temple de Lycurgue. J'avoue que je préfère au brouet noir et à la Cryptie la mémoire du seul poète que Lacédémone ait produit, et la couronne de fleurs que les filles de Sparte cueillirent pour Hélène dans l'île du Plataniste : O ubi campi, Sperchiusque et virginibus bacchata Lacaenis, Taygeta ! En regardant maintenant vers le nord, et toujours du sommet de la citadelle, on voit une assez haute colline qui domine même celle où la citadelle est bâtie, ce qui contredit le texte de Pausanias . C'est dans la vallée que forment ces deux collines que devaient se trouver la place publique et les monuments que cette dernière renfermait, tels que le Sénat des Gérontes, le Choeur, le Portique des Perses, etc. Il n'y a aucune ruine de ce côté. Au nord-ouest s'étendait la tribu des Cynosures, par où j'étais entré à Sparte, et où j'ai remarqué le long mur. Tournons-nous à présent à l'ouest, et nous apercevrons, et aplati à sa cime, comme pour servir de stade ou d'hippodrome. Des deux côtés de ce monticule, entre deux autres monticules qui font avec le premier deux espèces de vallées parallèlement au cours du fleuve, on placera la tribu des Limnates, le temple de Lycurgue, le palais du roi Démarate, la tribu des Egides et celle des Messoates, un des Lesché sur un terrain uni, derrière et au pied du théâtre, trois ruines, dont l'une est assez haute et arrondie comme une tour : dans cette direction se trouvaient la tribu des Pitanates, le Théomélide, les tombeaux de Pausanias et de Léonidas
, un petit verger occupe aujourd'hui la maison de Cicéron
, Bruit des fontaines d'eau bouillante
, cap dessiné par la lumière du soleil couchant ; reflet de cette lumière sur le Vésuve et l'Apennin ; accord ou harmonie de ces feux et du ciel Vapeur diaphane à fleur d'eau et à mi-montagne, Blancheur des voiles des barques rentrant au port. L'île de Caprée au loin. La montagne des Camaldules avec son couvent et son bouquet d'arbres au-dessus de Naples. Contraste de tout cela avec la Solfatare. Un Français habite sur l'île où se retira Brutus
, Tombeau de Virgile, d'où l'on découvre le berceau du Tasse 40
, jusque alors peu connue dans notre histoire, formait, à l'extrémité occidentale de la France, un Etat différent du reste du royaume par le génie, les moeurs et la langue d'une partie de ses habitants. Cette longue presqu'île, d'un aspect sauvage
, les clochers et les édifices lointains paraissent comme les ébauches effacées d'un peintre, ou comme des côtes inégales vues de la mer, du bord d'un vaisseau à l'ancre. Ombre de l'obélisque : combien d'hommes ont regardé cette ombre en Egypte et à Rome ? Trinité du Mont déserte : un chien aboyant dans cette retraite des Français
, Cet astre de la nuit, ce globe que l'on suppose un monde fini et dépeuplé, promène ses pâles solitudes au-dessus des solitudes de Rome ; il éclaire des rues sans habitants, des enclos, des places, des jardins où il ne passe personne, des monastères où l'on n'entend plus la voix des cénobites, des cloîtres qui sont aussi déserts que les portiques du Coli- sée 136
, du haut de la Trinité-du-Mont, les édifices lointains paraissaient comme les ébauches d'un peintre ou comme des côtes enfumées vues de la mer, du bord d'un vaisseau. L'astre de la nuit, ce globe que l'on suppose un monde fini, promenait ses pâles déserts au-dessus des déserts de Rome ; il éclairait des rues sans habitants, des enclos, des places, des jardins où il ne passe personne, des monastères où l'on n'entend plus la voix des cénobites, des cloîtres aussi muets et aussi dépeuplés que les portiques du Colysée 137
, 137 Mémoires d'outre-tombe, op. cit, tome I, p.1457
, 669, 689 ; notes : 40, 42, 101, ECHELLES (Les), pp.39-42
, 384, 439 ; notes : 367, 384
, 495, 505 ; notes : 495, pp.505-524
, François-René (de), Mémoires d'outre-tombe, volumes I, II et III
, François-René (de), Mémoires d'outre-tombe
, Association pour la Diffusion de la Pensée Française, 2006.
, Terres et demeures d'outretemps , Saint-Jacut-de-la-mer, Bihr J. P. éditions, 1998.
, Saint-Jacut-de-la-mer, Bihr J. P. éditions, 1998.
, Mémoires d'outre-tombe, 2000.
, du roman familial à l'identité littéraire dans l'oeuvre de Chateaubriand, 1994.
, Chateaubriand's Fascination with America, Reality and Enchantement , Actes du IIIe Congrès de la FIPS, Bulletin 14-15, 1976.
, Lettre sur les paysages" », Colloque "Chateaubriand, la peinture et les peintres, Bulletin, vol.38, pp.30-34, 1995.
, Imaginaire architectural de Chateaubriand », in Chateaubriand et les arts, actes de colloque réunis par Marc Fumaroli, pp.163-179, 1999.
, Petite revue, t.II, 1er fév. ; 1er mars 1912, pp.95-100
, Le vent des amours coupables », dans Imaginaires du vent, sous la direction de Michel Viegnes, pp.42-48, 2003.
, Ancienne Amérique », in Répertoires II. L'influence de l'Amérique sur l'oeuvre de Chateaubriand, pp.152-92, 1964.
, La raison en enfer, Stanford French Review , t. XIII, pp.65-80, 1989.
, De la remémoration d'outre-tombe à propos du « Journal sans date » du Voyage en Amérique, Bulletin de la Société Chateaubriand colloque Chateaubriand historien et voyageur », La Vallée-aux-Loups, pp.102-108, 1998.
, Venise d'outre-tombe
, Venise d'outre-tombe
, Ensayos y textos de filologia moderna, 1984.
, Métamorphoses de l'image de l'Amérique chez Chateaubriand, L'Amérique des Lumières, 1977.
, intime : voyage et écriture chez Chateaubriand. », L'Information littéraire, t. XXXVII, septembre-octobre, pp.159-164, 1985.
, Pour une confrontation poétique et stylistique des descriptions de nature. », in Compar(a)ison, Paysages (I) », Pieterlen (Suisse), pp.57-78, 1998.
, Un dilemme de l'écrivain voyageur au XIXe siècle », Recherches et travaux, pp.99-119, 1997.
, « Ce monceau en ruines : sens et fonction des descriptions dans la
DOI : 10.3406/bude.1998.1901
, Orient de Chateaubriand : Florides ou Bourbonnais ? Sens et fonction des analogies dans l'Itinéraire de Paris à Jérusalem, Chateaubriand, la fabrique du texte, sous la direction de Christine Montalbetti, collection « Interférences, pp.73-88, 1999.
DOI : 10.4000/books.pur.33717
URL : http://books.openedition.org/pur/33717
, La « description de quelques sites des Florides, Bulletin de la Société Chateaubriand colloque Chateaubriand historien et voyageur », pp.109-122, 1998.
, La description dans Les Martyrs et l'Itinéraire de Paris à Jérusalem de Chateaubriand », Il confronto letterario, XIII, pp.505-521, 1996.
, Du voyage à ses récits Mettre le monde en intrigue », in Roman et récit de voyage, textes réunis par Philippe Antoine et M, pp.205-215, 2001.
, La ville dans la montagne, la montagne comme une ville : analogies architecturales et urbaines dans la repr??sentation des Alpes chez les ??crivains voyageurs aux XVIIIe et XIXe si??cles, René's volcano, Creative Center and Gendered Periphery, pp.51-60, 1999.
DOI : 10.3406/rga.1999.2918
URL : http://doi.org/10.3406/rga.1999.2918
, Homme est suspendu : Chateaubriand et Friedrich », in Chateaubriand et les arts, actes de colloque réunis par Marc Fumaroli, pp.43-56, 1999.
, vertige du temps dans les récits de voyage », in Le Bonheur en littérature. Représentations de l'Autre et de l'Ailleurs, éd, Belinda Cannone, pp.185-195, 1998.
, Pont naturel, Bulletin, vol.32, pp.6-9, 1989.
, s The Minstrel and the French Connection, Scottish Literary Journal, t. XI, n°2, pp.36-55, 1984.
, Mélanges offerts à Georges Mailhos, édition François-Charles Gaudard, pp.291-301, 1999.
, Itinéraires d'un chrétien troublé », dans L'Envers du décor. Duplicité du paysage littéraire, textes réunis par Pierre Masson, pp.79-90, 2003.
, Bernardin de Saint-Pierre à Chateaubriand : un tournant dans l'histoire du voyage en littérature, Le Journal de voyage et Stendhal, pp.74-84, 1986.
, Journées d'études Les Mythologies du jardin de l'Antiquité à la fin du XIXe siècle, pp.12-13, 2006.
, Architectures de Chateaubriand dans les Mémoires d'outre-tombe », dans Littérature et architecture, textes rassemblés par Laurence Richer, pp.21-36, 2003.
, Les éditions de l'Amateur, collection « regards sur l'art, 2001.
, Essai sur les ambiguïtés d'une antipathie, 1987.
, Ecrivain engagé et ses ambivalences, 2003.
, Aux antres de Paros : néoclassicisme littéraire au temps de Chateaubriand, 2004.
, Ecriture et magie de Chateaubriand à Rimbaud, bibliothèque des idées, 1990.
, Le Paysage littéraire (anthologie), Paris, Amateur, collection « regard sur l'Art, 2001.
, Etre humains sur la terre, 1996.
, Paysage sonore et culture sensible dans les campagnes au XIXe siècle, 1994.
, Le Paysage romantique et l'expérience du sublime, Pays / Paysage, 2007.
, Les Jardins de Vulcain, partie I : « De la lecture de paysage à la compréhension d'un territoire, de la Maison des Sciences de l'Homme, 1995.
, Art et contemplation, 2005.
, Envers du visible. Essai sur l'Ombre, 2005.
, Sociopoétique de la promenade, 2000.
, paysage romantique et le mythe de l'homme primitif », Cahiers de l'Association internationale des études francaises, pp.99-113, 1977.
, De paysage en outre-pays, Seyssel, Champ Vallon, pp.346-359, 1974.
DOI : 10.3917/deba.065.0004
, De peuples en pays, ou la trajection paysagère, pp.320-329, 1997.
, 57-133) », in Romantisme, Revue du dix-neuvième siècle n°6, 1973.
, Les Pyrénées du regard à l'image (XVIIIe-XIXe siècles)
, notion de 'paysage' dans la critique thématique, pp.191-205, 1997.
, Pays et paysage : à propos d'une difficulté de la théorie de l'artialisation, pp.419-440, 2001.
, Manifeste de la peinture romantique du paysage, Romantisme, Revue du dix-neuvième siècle n° 11, « Au-delà du visible, 1976.
DOI : 10.3406/roman.1977.5099
, Le paysage dans la description littéraire au début du XIXe siècle, Revue des Sciences Humaines Ecrire le paysage, pp.127-142, 1988.
, « Y a-t-il un art du paysage ? Pour une théorie de l'acte esthétique, p.pp, 2001.
, Lieu et paysage : un engendrement réciproque, Le Paysage, état des lieux, pp.512-530, 2001.
, « Le paysage panoramique est-il le paysage sublime ?
, Perceptions et représentations, Groupe d'Histoire des forêts françaises, sous la direction d'Andrée Corvol, 1997.
, Une certaine manière de voir. La description entre récit de voyage et récit de fiction chez Bernardin de Saint-Pierre, 1996.
, Introduction à l'analyse du descriptif, 1981.
, De l'Antiquité à Roland Barthes : une anthologie, 1991.
, est-ce qu'une description ?, 1972.
, eau et les rêves, essais sur l'imagination de la matière
, Air et les Songes, essai sur l'imagination du mouvement
, Terre et les rêveries du repos, essai sur les images de l'intimité, 1948.
, Pages de sable, Essai sur l'imaginaire du désert, 2006.
, Du bouleversement des lettres dans la France postrévolutionnaire, 2007.
, Harmonies de la nature, Etudes de la nature, 1815.
, Voyage à l'Ile de France, 1983.
, Paysages de l'étagement perceptif???, p.37
, poétique de l'entre-deux??????. p. 68 a) Rome l'éternelle ????????????????, p.69
, p. 110 a) De la poésie du contraste aux charmes de l'harmonie??, p.110
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00687561
, p. 183 A. Villes, îles, pays : de l'énumération au parcours descriptif? a) Parcours spatial recréé??????????????, pp.183-184
, De l'alternance à la prolifération des points, p.291
, a) Paysage et continuité???????????????, pp.292-293
, Arrivées : de la concentration à la dilatation paysagère a) Aspects minimaux du paysage???????????, pp.306-306
, a) L'inscription du paysage dans le parcours effectué, pp.316-317
, p. 342 a) La concision au service de l'immensité, p.342
, p. 346 a) L'énumération : le paysage parcouru par les mots, p.347
, Concentration des effets picturaux, p.359
, p. 377 a) Les tableaux en diptyque????????????, p.377
, p. 381 a) La structuration paysagère du regard, p.381
, p. 387 a) Le paysage, terme d'appel de la digression intérieure, p.388
, p. 395 A. L'arbre, objet de la description minimale????, p.395
, a) Variations perceptives et focalisation progressive??, pp.397-398
, p. 410 A. Du panorama succinct à la vue organisée a) Variations panoramiques, pp.411-411
, a) Vues édéniques et anti-édéniques, pp.419-419
, p. 443 a) Le sombre et l'inhospitalier, p.443
, 454 A. La malédiction divine : l'exemple, p.454
, a) Paysages funéraires???????????????, pp.455-455
, p. 564 a) 1 er degré : allusions, comparaisons, analogies?????, p.564
, p. 607 A. Le paysage comme signe annonciateur de l'action à venir???, p.608