E. Au-début, L. Voulait-pas.-c'est-moi-qui, and . Lavais, Par contre, avec moi, elle se laisse faire, comme papa. C'était dingue, les deux. Les deux. Donc la toilette, des fois je lui disais 'Tu sais, maman, les infirmières

. Elle-se-tenait, . Puis-je-la-savonnais-comme, and . Ça, La prochaine fois, si c'est pas les infirmières, je te le referai'. 'Non, non les infirmières elles ont pas besoin, je me débrouille'. Peuchère, les infirmières elles se prenaient quelque chose, mon dieu. Comme là, les pauvres. C'est la toilette, je pense que c'est toutes les personnes âgées

P. Après and E. Pleure, elle s'excuse, elle est comme ça, elle s'excuse 'Pardon, pardon, je suis pas gentille mais je peux me débrouiller !' Q : Et votre père c'est pareil, vous l'aidiez?-Pareil ! [?] 'Mais je me débrouille'. Il se débrouillait

, Lui c'était pas parce qu'il avait pas sa tête, c'était qu'il voulait pas

A. Moi-je-continuais-À-le-laver, Quand je venais, je lui disais 'Bon, on t'a lavé? T'as voulu?' 'Non! J'ai pas voulu!' 'Bon t'es pas lavé je présume?' 'Ben non'. 'Bon ben on y va alors

, ils peuvent mettre à préserver de l'autonomie) et enfants. Pour ceux et celles-ci, la toilette est uniquement pensée au prisme de l'hygiène. Si iels entreprennent de laver ou nettoyer leur parent, c'est parce que le corps souillé ne peut être laissé dans cet état sans risques (sanitaires et hygiéniques). La toilette est alors décrite dans des termes techniques visant la salubrité. Les corps ne sont pas dépeints, seulement les actes de prise en charge. L'évocation des corps et de l'intimité est succincte, contrairement aux activités par exemple de soins à la personne, Encore une fois, des différences émergent entre la manière dont en parlent les aidant.es entre conjoint.es

. Jean-pierre, Des fois on joue à la poupée ! Quand on lui lave les cheveux avec l'aide-soignante et tout ça c'est des parties de rigolade hein! Surtout que les aidessoignantes c'est une équipe il y en a des toutes jeunes. Elles jouent à la poupée, elles rigolent

. La-«-toilette, des cheveux est vécue et présentée comme un moment convivial et gai, relié même à un retour en enfance des participants (jouer à la « poupée »), ce qui n'est pas le cas de la « toilette » du corps. Peut-être ici, étant donné le sentiment d'obligation que ressentent les aidant.es, y a-t-il des aides qu

C. , Elle est chez elle et complètement dépendante. C'est-à-dire que le fait d'avoir été à la clinique pendant trois jours, il y a perte de poids, manque d'appétit, des faiblesses dans tout le corps etc. Donc là, je suis en train de m'organiser parce que c'est la toilette le matin

, Claire M. présente ainsi les tâches des aides-soignantes qui passent chaque matin : Claire : Ces personnes lui mettent soit les bas de contention, soit font la toilette du matin. [?] Ils peuvent donner les médicaments, ils peuvent? ils sont là pour donner la douche, faire la toilette, habiller la personne, la déplacer, lui mettre les bas de contention s'il y a besoin, Sa mère porte deux poches urinaires (depuis deux ans) qui nécessitent un passage infirmier tous les deux jours et un passage en clinique toutes les six semaines

, elle a pris en charge la toilette le temps que quelqu'un d'autre (des professionnelles) le fasse et qu'alors les choses seraient « réglées » (c'est-à-dire « rentrées dans l'ordre » ?) Claire : Mais du coup, là, moi j'ai vraiment besoin de quelqu'un pour la toilette du matin. Q : Et quand vous dites que c'est vous qui avez besoin c'est qu'à un moment il a été question que ce soit vous qui le fassiez? Claire M. : Et bien là elle est rentrée avant-hier, hier c'était dimanche, on n'avait personne donc c'est moi qui ai assuré oui, plus ce matin, parce que le temps que les personnes soient au courant de la situation c, Lorsqu'elle est interrogée sur la décision de faire appel à des aides extérieures, elle répond de façon assez évasive qu

, De toute façon, tu ne peux pas faire tout toute seule, et quand tu vas reprendre le travail tu ne pourras pas tout faire, Cet arbitrage entre aide professionnelle et filiale semble avoir été fait en concertation entre mère et fille : Ah mais elle m'a dit tout de suite

, Le caractère chronophage de cette aide est d'abord mis en avant, notamment par la mère

, Je ne crois pas parce que? à un moment donné, même si je suis sa fille, il y a des choses difficiles. Voilà, faire la toilette à quelqu'un, on rentre dans l'intime de la personne et c'est vrai que? Voilà, avant-hier elle a eu besoin d'une bonne douche parce qu'elle sortait de la clinique et ce n'est pas toujours évident à la clinique, les douches, machin. Donc voilà, je l'ai douchée. Mais c'est vrai que c'est? j'imagine que pour elle il y a une certaine gêne quoi, Vous "l'imaginez" parce qu'elle elle ne vous l'a pas dit? Claire M.: Si. Elle dit

, De toute façon, à un moment donné? Et puis ma Maman elle a toujours été propre, bien habillée et tout. Donc je pense qu'à un moment donné elle ne se supporterait plus, de se laisser aller, etc. Q : Mais vous pensez que c'est plus par rapport à la perte d'autonomie ou c'est pour des questions de pudeur? Claire M. : Oh c'est tout, c'est un mélange de tout. C'est à la fois être lucide de ce qu'elle est devenue et de se rendre compte que plus rien peut-être ne sera comme avant et puis de me voir faire? Enfin, elle ne me le demande pas mais elle sait très bien que c'est moi qui ai fait ce travail-là alors qu'il y a des gens qualifiés pour et qui le feront parce qu'eux font ça tous les jours et eux ne vont pas se poser de questions. Q : Parce que vous vous vous posez des questions? la douche, toutefois, c'est la femme de Serge qui prend en charge, elle aussi issue d'une culture spécifique aux yeux de : Michèle : Ma belle-soeur de Guadeloupe ne travaille pas [?] elle est adorable, elle est ivoirienne et elle a proposé (hésitation) quand elle vient, c'est comme si c'était ses parents, elle les met à poil tous les deux, ils passent tous les deux sous la douche avec elle! Plus maintenant parce qu'ils ont de l'aide [professionnelle] mais leur mère, parfois même sans aide professionnelle, comme Jean. Bien sûr, on voit encore que lorsqu'il y a une femme valide à proximité, elle est citée comme prenant part également à cette tâche-ce qui n'est pas le cas pour les filles aidantes. Jean-Claude est ainsi parfois aidé par une amie habitant le village. Jean-Pierre, lui, cite son épouse lorsqu'il lui est demandé s'il intervient plus concrètement dans la toilette : « Mais après sinon nous au niveau médical on intervient un peu aussi. S'il faut la rechanger etc. avec V, notamment lorsque c'est un homme qui est chargé des soins intimes. Claire : Je pense qu'elle est prête à franchir ce pas, là

, Ces 4 fils ne s'attardent pas outre mesure sur l'explicitation de cette activité, mais indiquent clairement qu'il leur arrive régulièrement de s'en occuper. Si, souvent, les raisons invoquées sont une maisonnée peu étendue, des aides professionnelles pas autant sollicitées qu

. Jean-claude, Une fois qu'on avait pris le coup ça allait. Charles : Alors ça c'est quand je ne suis pas là moi et que l'infirmière l'aide pour faire la douche. C'est un lève-personne, Moi je faisais la toilette je la prenais je la mettais dans la baignoire, bon les infirmières elles ne pouvaient pas le faire

, Si un homme fait quelque chose c'est que (rires) il n'a pas ce qu'il faut où il faut, ça ne se fait pas. C'est comme ça. Plus maintenant, fort heureusement! Q: ça change? Michèle : Oui, la jeunesse actuelle oui, mais ça a été dur! Moi mes frères ils n'ont jamais pu ni aller faire les courses, ni faire la vaisselle

, Même si parfois, leur discours paraît plus centré sur la technique et ainsi assez détaché-peut-être davantage que les filles interrogées d'ailleurs, même si cela reste à creuser. la douche là-bas. [L'infirmière] la lève avec ça parce que toute seule elle n'y arrive pas. Quand j'y suis moi, tout seul, je le fais, mais elle non, Oui, vous voyez

, Ah non, tant que je peux le faire, il n'y a pas de problème. [?] on lui met des alèses vous savez, il faut changer tous les jours, parfois il faut changer les draps, il y a des alèses qui s'enlèvent, qu'on jette quoi, ça reste assez propre. Après il faut souvent, le matin ça a débordé, vous savez, il faut enlever les draps, il faut la laver, mais bon, ce n'est pas tous les matins, mais ça arrive. Q: Et ça vous avez l'impression-peut-être pas maintenant forcément, parce que la communication est devenue un peu difficile-mais est-ce qu'au début où c'est vous qui faisiez ça vous avez senti qu'elle ça la dérangeait?-Non, pas tant que ça. Q: Elle préférait que ce soit vous ou...?-ça ne la dérangeait pas tant que ça. Comme elle ne pouvait plus bouger de trop, si vous voulez c'est venu progressivement, au début elle marchait, après elle ne marchait plus. Au début, quand elle marchait elle arrivait à se tenir difficilement mais ce n, il est compliqué de comprendre dans quelle mesure sa mère ou Charles sont gênés ou non de cette situation de proximité corporelle forcée. Charles : Donc je m'en occupe, mais l'après-midi il n'y a rien à faire quoi

J. Lui-aussi-seul-enfant-À-proximité, Claude a pris en charge la totalité des soins à la personne dont sa mère a eu besoin, bien qu'il soit très soutenu par un réseau d'entraide familial et amical (son fils et son petit-fils, une « amie » du village ancienne aide-soignante et sa fille) : Jean-Claude : Il fallait la laver, la faire aller aux toilettes, la mettre au lit, la coucher, après bon, je lui mettais les couches, j'ai été obligée de lui mettre des couches après parce qu'elle ne pouvait pas rester comme ça, donc après il fallait changer la couche, la nettoyer

C. Faisais, Non, l'ADMR ils venaient pour faire le ménage, pour faire son lit, pour nettoyer à droite à gauche. C'est plus une aide

, Cette situation a duré jusqu'à ce qu'un médecin lui indique qu'il avait le droit d'être lui-même aidé dans cette tâche

. Jean-claude, Q : Comment ça s'est décidé les infirmières?-C'est le médecin qui a dit 'tu as droit'. Moi je faisais la toilette je la prenais je la mettais dans la baignoire, bon les infirmières elles ne pouvaient pas le faire parce que [interruption] Donc oui, je la mettais dans la baignoire. C'était tout un cinéma mais bon. Q: Ah bon? Parce qu'elle n'avait pas trop envie?-Un déjà elle n'avait pas trop envie et deux bon, elle n'était pas très souple alors il fallait mettre les jambes par-dessus, la soulever etc. Mais bon on y arrivait, j'y arrivais [?] Mais c'est normal, c'est quelque chose de normal, c'est tout. Voilà, c'est tout, je le voyais comme ça. Je le voyais comme ça, je ne voyais pas ça autrement. pu provoquer chez lui ou chez elle. Jean-Claude répète-peut-être pour se persuader-qu'il est « normal, Par contre après dans les derniers (hésitation) on va dire dans la dernière année, en gros, après c'est les infirmières qui le faisaient, elles faisaient la toilette

R. Jean, Passées les séances de kiné liées à l'hospitalisation, aucune autre forme d'assistance professionnelle ne semble lui avoir été fournie. L'aide liée aux parties intimes, aux fluides corporels et aux soins médicaux a donc été prodiguée par Jean. Jean : Il n'y avait [plus] personne qui venait [après les premiers temps] pour ma mère, dont on a vu l'aide apportée à sa femme, a aussi « gardé » chez lui sa mère pendant neuf ans

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.. .. Le-champ-de-l'étude,

?. .. De-quelle-aide-parle-t-on,

. , Tableau récapitulatif des personnes et situations rencontrées

. .. Situations-de-couple,

.. .. Situations,

. Qui-fait-quoi and ?. .. Comment,

. .. Le-réseau-familial,

. .. ,

Y. -a-t-il-un-«-style,

. , Sont-iels exceptionnel.les ? Quand le genre entrelace sens et vécu de l'aide chez les conjoint.es

. , Les choix limités

F. Dans-les, passer « naturellement » de suppléant.e à aidant, p.28

. , Quand et comment les fils aident-ils ?

. , Vie professionnelle des enfants aidants principaux

.. .. La-place-de-la-bru-ou-du-gendre,

. , Les filles qui n'aident pas-une figure des « mauvaises » filles ?

?. .. Et-les-fils,

. , Les perceptions et les vécus de l'aide et des incapacités, Les frères et soeurs de l'aidé.e qui n'aident pas (suffisamment)

L. and .. .. ,

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, La figure des mères « défaillantes » en contrepoint de celle des filles n'aidant pas, p.79

.. .. Le-poids-des-origines-socio-culturelles,

. Proximité and . .. Distance,

. , Prendre ses parents chez soi ou aller vivre chez ses parents ?

. , Lorsque les parents se rapprochent : la semi-cohabitation ou « décohabitation de proximité »

. , notamment lorsque le reste de la fratrie habite loin

. , Entre les descendants habitant près d'un parent habitant seul

. , Construire des liens/relations quasi-familiales avec d'autres : les aidants non familiaux 91 5

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. , Une question de classe ?

.. .. Quand-les-fils-font-la-toilette,

. .. Conclusion,

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