D. Peyrache-leborgne, suggère de lire le parcours comme une initiation esthétique, qui fait passer du pastoral au cosmique sublime et fait jouer les correspondances. 72 A., p. 870 : « l'oeuvre fantastique des sylphes, des fées, des génies et des gnomes réunis, p.916

. Landor-est-non-seulement-un-jardin-de-peintre, Arnheim, me semble-t-il, une peinture, et l'illustration des thèses de la deuxième génération « pittoresque » : un jardin qui ne cherche pas à imiter la nature. Peinture, donc, que ce jardin où tout parle à la vue, où tout dépend du « point de vue », où la « scène se révèl[e] à la vue comme des tableaux fondants [sic : pour évanescents] » (L., p. 949), où la couleur est si intense qu'elle en devient « monstrueuse », où tout, aussi, est théâtral, p.951