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. C'est-ce-qu'expliquent-jean-claude-carrière and O. Bonitzer, « Naguère, quand tout le cinéma se faisait en studio et que le décorateur, le directeur de la photo et l'ensemble des techniciens pouvaient exécuter fidèlement tout ce qu'on leur demandait (ou presque), l'écriture du scénario offrait un aspect strictement technique, tout était découpé, souvent dessiné plan par plan avec des indications précises d'objectif, de durée de plan, de mouvements d'appareil etc, pp.34-35

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, Par exemple, la règle numéro 5 stipule que « un roman policier sans cadavre, cela n'existe pas » tandis que les règles 9 et 12 posent qu'il ne doit y avoir qu'un seul assassin et un seul détective, vol.182

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, De telles matières ne peuvent qu'encombrer lorsqu'il s'agit d'exposer clairement un crime et de chercher le coupable [?] Je pense, cependant, que, lorsque l'auteur est parvenu à donner l'impression du réel et à capter l'intérêt et la sympathie du lecteur aussi bien pour les personnages que pour le problème, Selon la règle 16, « il ne doit pas y avoir, dans le roman policier, de longs passages descriptifs, pas plus que d'analyses subtiles ou de préoccupations « atmosphériques

, Le lecteur n'y cherche ni des falbalas littéraires, ni des virtuosités de style, ni des analyses trop approfondies, pp.52-53

. Op and . Cit, , p.34

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, Cette fiction rassemble tout ce qu'on aime chez cet écrivain : la précision du détail, l'empathie du héros pour les victimes, une intrigue admirablement ficelée, sans oublier une réflexion sur l'évolution sociale et les progrès scientifiques, vol.434, p.36, 2015.

, La règle 19 de Van Dine imposait que « le motif du crime doit toujours être strictement personnel. Les complots internationaux et les sombres machinations de la grande politique doivent être laissés au roman d'espionnage, Les 20 règles du roman policier », Québec français, p.60, 2006.

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. Le-vraisemblable, est donc ici un signifié sans signifiant, ou plutôt il n'a pas d'autre signifiant que l'oeuvre elle-même ». Gérard Genette, op. cit, p.76

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, Sur cette question, voir par exemple Maurice Godelier, L'Imaginaire, l'imaginé et le symbolique, 2015.

, Sur cette articulation entre valeur symbolique et valeur d'usage des livres et son effet sur les modes de classement et de valorisation, voir Gérard Mauger, 2010.

, La notion de taux de rotation, définie comme le nombre d'emprunts annuel d'un ouvrage, est dans les bibliothèques de prêt un indicateur statistique important qui sert notamment de base au désherbage, c'est-à-dire à l

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, Il s'agit en réalité des Crimes de l'année. La confusion dans l'intitulé est significative d'un rapport assez distancié à l'objet et, plus largement

, Les bibliothèques départementales de prêt sont des établissements dépendant des conseils départementaux et destinés à développer 208

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, Source : données internes communiquées par le Service du Document et des Échanges des bibliothèques de la Ville de Paris

, Sur les 2003 titres inscrits en 2005-2006 sur les listes de propositions d'acquisition de fiction envoyées aux bibliothèques du réseau parisien, vol.232

, Anaïs Bokobza a ainsi montré comment la traduction a participé à la légitimation du roman policier, notamment parce qu'elle porte sur un corpus choisi et donc repose sur une sélection. Voir Anaïs Bokobza, « Légitimation d'un genre : la traduction des polars », dans Gisèle Sapiro (dir.), Translatio. Le marché de la traduction en France à l'heure de la mondialisation, pp.287-306, 2008.

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, Voir à ce propos Édouard Pommier, pp.120-126

A. L'idée-se-retrouve-chez, mais aussi dans certains romans comme La Princesse de Clèves de M me de Lafayette, publié en 1678, où M. de Nemours dérobe le portrait de sa bienaimée pour conserver son image auprès de lui (t. II, pp.118-120, 1995.

A. Mérot, , p.20

, Cet apprentissage -qui se fait notamment par le biais de conférences et de cours de dessin -est de fait, surtout destiné aux futurs peintres d'histoire. On peut en outre noter le peu de conférences sur les autres genres picturaux, XIII des statuts de 1663-1664 précise en effet que seuls les peintres d'histoire et les sculpteurs peuvent enseigner, vol.262, p.49

, Lors de sa réception en 1700, Rigaud promet un tableau d'histoire qu'il ne remettra qu'en 1742, après avoir été nommé directeur (Christian Michel, Sur Largillierre, voir notamment Nicolas de Largillierre, pp.1656-1746, 2003.

L. Vrac and T. , École nationale des BeauxArts. Contrairement à Rigaud, Tournières a peint un certain nombre de tableaux d'histoire. Sur cet artiste, voir Robert Le Vrac Tournières, cat. exp, Dibutades ou l'invention du dessin, pp.1714-1716, 2014.

, Il n'est guère difficile d'être admis peintre d'histoire puisqu'en voilà un de reçu pour un bout de chandelle » (Abrégé de la vie des plus fameux peintres, pp.54-55

, Cette dernière peut lui demander de fournir d'autres toiles dont elle choisit le sujet : il s'agit des morceaux de réception -l'artiste est alors agréé, ce qui l'autorise à présenter des peintures aux expositions de l'Académie. Lorsqu'il apporte les toiles qui lui ont été demandées, il devient académicien si l'assemblée l'accepte. Sur la réception des portraitistes, voir Hannah Williams, Académie Royale: A History in Portraits, pp.77-117, 2015.

C. Michel, La réception de Watteau à l'Académie est par ailleurs caractéristique de cette ouverture puisque l'assemblée lui laisse choisir le sujet de son morceau de réception. En 1717, il soumet ainsi le Pèlerinage à l'île de Cythère (huile sur toile, 129 × 294 cm, Musée du Louvre). L'Académie le reçoit dans ses rangs comme peintre de « fêtes galantes, pp.79-89

, Sur les rangs hiérarchiques de l'Académie, voir Hannah Williams, op. cit, p.82

C. Michel, , vol.224, pp.115-116

, Lenormant de Tournehem, lance un concours afin de « sélectionner les meilleurs peintres d'histoire ». Les académiciens se seraient toutefois sentis humiliés « d'être ainsi soumis » à une telle épreuve, Au début des années 1750

. Michel, cette augmentation n'a toutefois pas pour but d'améliorer le statut des peintres d'histoire (Christian Michel, op. cit, pp.106-107

, Ses encouragements semblent avoir portés leurs fruits puisqu'entre 1777 et 1789, le nombre de peintres d'histoire agréés et reçus à l'Académie n'est pas négligeable. Sur la commande de 1777, voir Thomas Crow, pp.209-211

, La citation provient d'un mémoire adressé à Louis XVI le 12 mars 1785 à propos de la fondation d'un Club des arts prévoyant de donner des aides financières aux peintres de genres « mineurs » (Archives Nationales, O1 1918, pièce 18, La Société des amis des arts, pp.106-107, 2006.

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R. Démoris, Cet auteur étudie plus en détail les positions de l'abbé Du Bos, p.57

, Ce dernier indique que pour de Piles, l'intérêt d'une peinture réside dans « sa capacité à créer une illusion convaincante, p.11, 1990.

J. , T. Ii, . Paris, and . Ensba, On retrouve cette idée dans une conférence prononcée par Roger de Piles en 1706 (« De l'ordre qu'il faut tenir dans l'étude, Examen qu'il faut faire pour connaître ses dispositions », dans Conférences de l'Académie royale de peinture et de sculpture, p.26, 1993.

, Mémoires secrets, chroniques de la vie culturelle parisienne du XVIII e siècle, ont souvent été attribuées à l'amateur d'art Bachaumont. Néanmoins, plusieurs raisons tendent à prouvent qu'il s'agit d'une autre personne (Bachaumont meurt en 1771, tandis que les Mémoires sont publiés jusqu'en 1789). Voir Bernadette Fort, « Introduction », dans Les Salons des « Mémoires secrets, Les Lettres sur les peintures, sculptures et gravures de Messieurs de l'Académie royale, publiées dans Les, pp.9-23, 1999.

. Vigée-lebrun, Musée National des Châteaux de Versailles et Trianon. La citation provient de la lettre sur le Salon de 1787, publiée dans Louis Petit de Bachaumont, Les Salons des « Mémoires secrets, Marie-Antoinette et ses enfants, 1787, huile sur toile, vol.275, p.323

. Anonyme, Lettre à Monsieur de Poiresson-Chamarande

. Au,

, soit près de la moitié, tandis que les peintures d'histoire seulement 39,25%. En 1746, les portraits représentent environ 32,4% des tableaux exposées, tandis que la peinture d'histoire s'élève à près de 44%. De même, en 1761, les peintures d'histoire sont plus nombreuses : environ 36% contre 17% pour les portraits. La situation est différente dans les expositions de l'Académie de Saint-Luc où le portrait prédomine largement. Voir Àngela Julibert Jiménez, «Les Salons de l'Académie de SaintLuc (1751-1774)», La valeur de l'art : exposition, marché, critique et public au XVIII e siècle, L'exposition de 1704 semble être celle où la part du portrait est la plus élevée : ils recouvrent en effet 44,55% des oeuvres exposées (sculptures, miniatures et gravures exclues), pp.59-60, 2009.

L. Petit-de-bachaumont, , pp.56-57

L. Petit-de and O. Bachaumont, Roslin, Gustave de Suède dans son cabinet d'étude avec ses frères, 1771, huile sur toile, 162 x 203 cm, pp.73-75

D. Diderot, ». Essais-sur-la-peinture, T. Dans-oeuvres, . Iv, and L. Paris, Voir aussi l'article « Genre, Sur Diderot, vol.7, pp.67-112, 1990.

A. Mérot, , p.20

, Bien que certains, tel André Chénier, expliquent que cette hiérarchie « est ce qu'il y a au monde de plus futile et de 226 plus étranger à l'esprit et à la perfection de l'art », d'autres affirment encore que la peinture d'histoire « est l'ART proprement dit ». Voir Udolpho Van de Sandt, op. cit. ; sur la hiérarchie au XIX e siècle, voir Paul Duro, Giving up on History? Challenges to the Hierarchy of the Genres in Early 19th France, vol.28, pp.689-711, 2005.

, La période révolutionnaire n'est pas analysée en détail ici. Se référer à Jon Whiteley, « Art, hiérarchie et Révolution française », dans Majeur ou mineur ? Les Hiérarchies en art, pp.67-77, 2000.

, où elles se déroulent à partir de 1737, deviennent régulières cette même année. Elles rassemblent un public important et constituent un véritable événement social. Pour plus de détails, voir Thomas Crow, op. cit. ; Martin Schieder, « "Les portraits sont devenus un spectacle nécessaire à chaque Français, Les expositions de l'Académie royale de peinture et de sculpture, ou « Salons, p.43, 2013.

M. Schieder, , p.43

, Les enjeux de la critique d'art en sa naissance : les Réflexions de La Font de Saint-Yenne (1747) », dans Écrire la peinture : entre XVIII e et XIX e siècles, pp.23-38, 2003.

D. Kluge and . La, Font de Saint-Yenne (1688-1771), un penseur des Lumières », dans Penser l'art dans la seconde moitié du XVIII e siècle : théorie, critique, philosophie, histoire, pp.205-219, 2013.

, Il faut ici mentionner rapidement une pratique sociale très répandue alors : l'échange de portraits entre amis, membres d'une même famille ou amants. Nombreux sont ceux qui désirent conserver auprès d'eux l'image d'un être cher

, « Réflexions sur quelques causes de l'Etat présent de la peinture en France, pp.51-52, 2001.

C. Michel, , pp.317-320

. Anonyme, Lettre sur le Salon de 1755, adressée à ceux qui la liront, s.l., s.n., 1755, p.7

. Idem,

, La même idée est développée chez Louis-Sébastien Mercier, p.1264, 1994.

, Cette idée se retrouve dans plusieurs textes théoriques ou littéraires publiés précédemment, comme dans le Trattato dell' arte de Lomazzo (1584), pour qui la dignité du portrait diminue à cause des modèles ignorants. De même, en 1659, Sorel, dans sa Description de l'île de portraiture, imagine une île dont toute l'activité dépend du portrait et insiste sur la vanité des modèles, ces derniers pensant mériter qu'on conserve leur image (éd. critique par Michel Jeanneret et Martine Debaisieux, pp.132-133, 2006.

, Caractères des peintres françois, actuellement vivans, p.10, 1755.

. Ibidem, , p.77

, En 1769, l'auteur des Mémoires secrets dénonce aussi la « vanité de tous ces petits personnages, Sentiments sur quelques ouvrages de peinture, pp.56-57

L. Mercier, , p.1233

. Idem,

. Id,

. Id,

, Tocqué, Madame Dangé faisant des noeuds, 1753, huile sur toile, 83 x 63 cm, p.222

, Nattier, MarieZéphirine de France, v. 1751, huile sur toile, 70 × 82 cm, p.232

. Anonyme, Affiches, annonces et avis divers, Paris, s.n., mercredi 25 octobre 1768, p.171

, Voir Imola Kiss, « Considérations sur le portrait historié », dans Les genres picturaux. Genèse, métamorphoses et transpositions, Das portrait historié zwischen Grand Siècle und Zeitalter der Aufklärung, pp.103-123, 2010.

C. Cochin, Mercure du mois de juin de l'année 2355 », OEuvres diverses de M. Cochin, op. cit., 1771, t. I, pp.144-166

L. François-de-troy, . Festin-de-didon, and . Énée, , vol.160, pp.170-175, 1704.

, Il s'agit du moment où Ascagne, fils d'Énée, est présenté à Didon. Virgile, Énéide, livre I, pp.657-748, 1991.

, Sur la réception des portraits collectifs, voir Marie Trope-Podell, « "Portraits historiés" et portraits collectifs dans la critique française du XVIII e siècle, pp.40-45, 1995.

L. Petit-de-bachaumont, , p.297

. Labille-guiard, , vol.1785

. Idem,

. Imola-kiss, , p.105

T. Sur-de-piles and . Puttfarken, Roger de Piles' Theory of Art, 1985.

P. Roger-de, , p.127

. Ibidem, , p.129

M. Selon and . Schieder, cette conférence correspond à la position officielle de l'Académie en matière de portraits notamment car elle a été relue par Cochin au moins une seconde fois, vol.9, p.49

L. Tocqué and . Sur-la-peinture, , vol.2, pp.449-450, 2012.

L. Tocqué, , pp.462-463

, huile sur toile, 148,5 x 115,5 cm, Versailles, Musée National des Châteaux de Versailles et Trianon) et de Martin Desjardins (1692, huile sur toile, 141 x 106 cm, 1691.

D. Diderot, , p.245

, La séparation nette entre un public seulement intéressé par la ressemblance et l'apparence physique du modèle, et les connaisseurs, capables d'une vision moins superficielle, mais surtout de déceler les beautés d'un portrait est particulièrement développée par Cochin 229

, dans un texte intitulé « De la diversité des jugemens sur la ressemblance des portraits » et originellement publié dans le Mercure de France de 1759, vol.II, pp.71-87

D. Diderot, , pp.245-246

S. Paris and . Marbre-cramoisy, L'adjectif « médiocre » est souvent utilisé dans ce contexte : il se retrouve dans deux définitions du portrait, l'une par François-Marie Marsy, Cette idée se retrouve déjà dans le 7 e Entretien de Félibien (Entretiens sur les vies et sur les ouvrages des plus excellens peintres anciens et modernes. Quatrième partie, pp.475-476, 1746.

, avril 2014) évoque précisément toute cette problématique de réhabilitation de l'Académie dans les publications actuelles après que, dans une volonté de valoriser le « génie français, Emmanuel Faure-Carricaburu dans une communication tenue lors du colloque « Critique d'art et nationalisme» (Institut national d'histoire de l'art (INHA), pp.18-27

, Voir à ce sujet : De la physionomie humaine et animale : dessins de Charles Le Brun gravés pour la chalcographie du musée Napoléon en 1806, exposition, 2000.

G. Battista, D. Porta, G. De-humana-physiognomonia, and . Cacchi, , p.1586

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A. Félibien and . Préface, Conférences de l'Académie royale de Peinture et de Sculpture, pour l'année 1667, 1668.

A. Fontaine and O. , , p.57

, Académie, se faisaient recevoir dans le genre de l'histoire. C'est par exemple le cas de Jean-Baptiste Oudry qui avec son morceau de réception L'Abondance et les attributs, en tant que tableau allégorique à figure

, On peut envisager les Arts d'imitation sous deux points de vue ; i°. comme imitations des objets que l'Artiste a actuellement sous les yeux ; c'est la partie mécanique ou d'exécution ; ii° comme représentations des images qui sont formées par l'imagination ; c'est la partie idéale ou d'invention. » Daniel Webb, Recherches sur les beautés de la Peinture et sur le mérite des plus célèbres Peintres anciens & modernes, pp.4-5, 1765.

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. Idem,

. Ibidem, , p.90

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, Conférences de l'Académie royale de Peinture et de Sculpture, recueillies, annotées et précédées d'une étude sur les artistes écrivains, « Table des préceptes de la peinture sur l'ordonnance », dans Henry Jouin, pp.192-193, 1883.

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. Ibidem, , pp.62-63

. Idem,

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. Ibidem, , p.352

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«. Cependant, La représentation des animaux prend appui sur une longue tradition remontant à l'Antiquité, enrichie par des figures trouvées dans des livres de modèles ou par des commentaires comme ceux de Hoostraten, les deux pratiques restent bien différenciées

». Idem,

J. Croisille, Natures mortes dans la Rome antique : naissance d'un genre artistique, 2015.

. Ibidem, , pp.54-61

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. Samuel-van-hoogstraten, Inleying de Hoot Schoole der Schilderkonst : anders de zichtbaere werelt, p.1678

S. Koslow, , p.201

, Nous citerons en exemple la toile de Desportes Hallali de cerf, signée et datée 1742, conservée actuellement au Musée de peinture et de sculpture de Grenoble, qui mesure non moins de 2,87 mètres de hauteur par 3

, rejetés désormais comme offenses, non tant à la grandeur qu'aux impératifs nouveaux de raffinement et de délicatesse. A ces impératifs, Desportes comme Oudry ont répondu en excluant presque totalement de leur bestiaire les animaux utiles et domestiques, vaches, poules, cochons

, Comme leurs prédécesseurs les peintres du XVIII e siècle sont nombreux à s'inspirer du cycle des saisons : Giuseppe Arcimboldo a largement consacré son oeuvre aux saisons, Marco Ricci, peintre vénitien, s'inscrira aussi dans cette tendance comme certains compositeurs à l'exemple d

, Les allégories des arts et la personnification de l'inspiration artistique : revendiquer le statut d'artiste Sur le modèle de l'italienne Artemisia Gentileschi, pp.1593-1654

, Rosalba Carriera propose, en 1720, une Allégorie de la peinture ce qui amènera les historiens de l'art à penser que la peintre vénitienne avait eu recours au même stratagème en réalité les ambitions des deux femmes sont différentes, vol.14

R. Carriera, Allégorie de la peinture (1726), pastel sur papier, 45,1 x 35 cm

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R. Carriera and P. Diaro, Les Presses du réel, 1997 (1865), p.8

, Elle donne un portrait de Louis XV comme morceau de réception. Rosalba Carriera, Portrait de Louis XIV enfant (1720)

, Le procès-verbal de son admission met en valeur ses reconnaissances institutionnelles à l'étranger. Les trois plus célèbres Académies d'Italie

, Procès-verbaux de l'Académie Royale de peinture et de sculpture (1648-1793), publiés pour la Société de l'Histoire de l'Art Français d'après les registres originaux conservés à l'École des Beaux-Arts, pp.302-303

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. Ibidem, , p.131

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L. »-ludovico-ariosto and . Furioso, « Le donne son venute in eccellenza :Di ciascun arte, ove hanno posto cura, Canto XX, vol.2, issue.2

, accessible à tous les regards, renvoie bien sûr à l'enjeu politique de l'art aujourd'hui. Poser une oeuvre d'art dans l'espace public, sans aucune autorisation préalable, relève d'une détermination à transgresser l'interdit d'afficher et à laisser le regard individuel et collectif libre d'y adhérer ou d'y renoncer. L'espace public s'inscrit dans une dimension politique, largement démocratique. Il appartient par essence à ceux et celles qui l'habitent, qui le revendiquent

, Ou tout simplement de ne pas se laisser sidérer par l'apparition et s'interroger sur cet homme, dans son regard interrogateur, la composition des deux corps qui impacte le regard

. Ce, première strate d'une mémoire qui disparaîtra pour révéler l'invisible, qui devra s'effacer sans s'anéantir. Ce lieu est le fondement de tous les lieux à venir. Dans l'oeuvre d'Ernest Pignon-Ernest, le lieu n'est pas seulement un support, il est l'objet d'accueil d'une oeuvre en mouvement, qui le subjectivera. C'est sans doute dans ce sens que les figures collées par Ernest Pignon-Ernest sur les murs de la ville accélèrent le devenir-sujet du lieu. Dans son geste, le lieu engendrant la figure devient la matrice-genèse de toutes les figures pré-existantes et à venir, béante à l'apparition, à la naissance d'une figure inédite, inouïe, autrement déjà-vue. Le choix du lieu dans la démarche de l'artiste est délibéré : un lieu après le lieu, déjà habité, déjà vécu, un lieu-mémoire, superposition de voix, de sons, de paroles, d'histoires, de regards, pris dans la notion englobante d'un espace. Un dessin collé d'Ernest Pignon-Ernest réveille la sensation immédiate que quelque chose d'important est en train d'advenir, 1990.

. Naples, Donna con lenzuolo (femme avec drap), p.278, 1990.

. Naples, Donna con lenzuolo (femme avec drap), 1990.

. Un, Au coin de la rue, une silhouette de femme en papier secoue un drap presque blanc. Elle se tient sur le seuil d'une porte invisible, entre deux linteaux de pierre. Derrière elle, un trou noir, prêt à l'absorber. Au-delà d'elle, le vide. Pas tout à fait le néant, puisqu'il y a la profondeur du noir, l'absence de lumière. Ou peut-être est-ce cette profondeur des entrailles de Naples, la città-madre, Naples, la ville-mère, à l'histoire ponctuée de figures féminines : de la Sibylle de Cumes à Sainte-Lucie, de la Madone, mère du Christ à celle des Sept Douleurs ou encore à toutes celles du Caravage? Au même moment, à d'autres endroits, dans la même ville, une même femme plie un drap, un linceul blanc sur fond noir. Elle surgit d'une autre porte, Il sort d'un rai de lumière. Il fuit le soleil, on dirait. Ses pieds ne touchent déjà plus le sol, les dalles noires, rugueuses. Il vole

, Fragment de la lettre adressée par Karin Espinosa à Ernest PignonErnest le 28 octobre, 2013.

B. Salignon, Où l'art -l'instant -le lieu, Les Éditions du Cerf, p.143, 2008.

M. Heidegger, Remarques sur art-sculpture-espace, p.24, 2009.

, Les fragments en italiques dans le texte retracent mes impressions et sensations personnelles face aux oeuvres d'Ernest Pignon-Ernest. Ces récits constituent la base de la réflexion esthétique

, Les photographies qui illustrent cet article sont reproduites avec l'autorisation et l'aimable courtoisie de l'artiste

, Transcription des paroles d'Ernest Pignon-Ernest prononcées à l'occasion du collage en mai 2015 à Rome

. Ibidem, , p.39

G. Deleuze, Différence et répétition, Paris, Presses universitaires de France, p.96, 2014.

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, Maurice Merleau-Ponty, p.225

. Ibidem, , p.323

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. Idem, , p.71

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«. Le, un spectacle s'y produise ou pas. Le public qui représente la plus large bande passante culturelle, sans distinction de connaissances, de rôle, de fonction, d'âge et de classe sociale. », Michel Crespin cité par Philippe Chaudoir, La Ville en scènes. Discours et figures de l'espace public à travers les « Arts de la Rue, p.66, 2013.

, Le ministère de la Culture et de la Communication référence aujourd'hui treize Centre nationaux des arts de la rue : l'Atelier 231 à, p.295

. Pronomade-;-s)-en-haute-garonne, le Secteur Ouvert des Arts de la Rue (SOAR) à

. La-fabrique-fastidieuse,

. Ibidem,

. Ibidem,

R. Pinos, « Chalon dans la rue en préparation », Journal de Saône et de Loire, 2013.

C. Dussollier, Les Éditions L'Entretemps

, Poste occupé successivement par Frédéric Michelet (CIA), Dominique Houdart (Compagnie Dominique Houdart et Jeanne Heuclin) et Frédéric Fort (Annibal et ses Eléphants)

A. Gonon, , p.59

, Quelques textes de spectacle de rue ont été publiés : Les pendus de Kumulus et Nadège Prugnard, les partitions de l'orateur Tartar

, origine de la rencontre entre public et théâtre de rue se trouve une soif commune de liberté, d'échanges et de partages libérés de toute répression sociale. » Joël Cramesnil, « Point de vue de spectateur, Anne Gonon (dir), Actes de colloque « Les arts de la rue : quels publics ? », Vic-la-Gardiole, p.84, 2006.

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A. Goliot-lété and «. Avant, Cahiers du CIRCAV, vol.17, p.11, 2005.

, Des recherches ont déjà été menées dans ce sens. Je renvoie à la tentative récente de Mathias Lavin, 2008.

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, Par ailleurs, il est intéressant de constater l'insistance avec laquelle de Certeau utilise des exemples ou un vocabulaire cinématographiques pour exprimer sa pensée. Voir la référence à Charlie Chaplin, ibidem. p. 149, ou l'emploi des termes de « travelling, p.174

. Idem,

. Id,

, On peut penser, exemplairement, à la présence massive du mont Rushmore dans La Mort aux trousses, 1959.

A. Gaudin, P. Esthétique, and A. Colin, , p.32, 2015.

, La charge héroïque (She wore a yellow ribbon, 1949), La prisonnière du désert (The Searchers, 1956), Le sergent noir (Sergeant Rutledge, 1960) et Les Cheyennes (Cheyenne autumn, 1964), La poursuite infernale (My darling Clementine, 1939.

M. Lefebvre and . Entre, , vol.130, p.156, 2002.

, Ou encore Luc Vancheri, L'Amérique de John Ford, Pour plus de précisions sur les relations entre les deux personnages et les deux séquences voir Jean-Louis Leutrat, 1990.

. C'est-ce-qu'explicite-le-personnage-de-ma-jorgensen-lorsqu, elle commente la mort de son fils : « Plus tard, il fera bon vivre sur ce sol. Nos os doivent être enterrés ici pour préparer cet avènement

G. Deleuze, Image-mouvement, Critique, p.203, 1983.