, Ce portrait de la reine fit scandale. C'était un don du peintre, pas une commande (alors que la monarchie britannique continue de passer des commandes de portraits à divers artistes) 3

«. Le, R. Est-né-de-conversations-entre-lucian-freud, . Fellowes, and . Qui-fut-lui-même-portraituré-par-freud, Elles se sont tenues dans le palais de Saint James, entre mai 2000 et décembre 2001. C'est Lucian Freud, pourtant plus habitué à décrire la décrépitude des corps nus, qui a souhaité que la reine endosse la couronne avec le célèbre diadème? » « Le critique du Guardian, Adrian Searle, enthousiaste, y voit le plus beau portrait royal depuis 150 ans. Il célèbre la capacité de l'artiste à fouiller sous la peau, sous le maquillage, à dépeindre la couronne, posée comme une pierre, à transcrire cet « ennui stoïque des gens qui ont trop vu ». D'autres voix se sont élevées pour crier au scandale, Selon la BBC, qui rapporte ses propos, le photographe du journal spécialisé dans les affaires royales

, Bibliographie Amedeo Modigliani, l'oeil intérieur, 2016.

. Fin-de-siecle-faces, Portraiture in the Age of Proust, 1988.

H. Mcpherson, The Modern Portrait in Nineteenth-Century France, 2001.

C. Maingon, Le portrait divisionniste : un exercice de style, actes du colloque Le Portrait : formes, catégories et fonctions d'un genre, pp.27-37, 2007.

, Modigliani and his models, 2006.

L. Picasso and . Portrait, , 1996.

«. Le, R. Est-né-de-conversations-entre-lucian-freud, . Fellowes, and . Qui-fut-lui-même-portraituré-par-freud, L'artiste a exigé plus que les deux séances de pose concédées à l'origine par la reine. Elles se sont tenues dans le palais de Saint James, entre mai 2000 et décembre 2001. C'est Lucian Freud, pourtant plus habitué à décrire la décrépitude des corps nus, qui a souhaité que la reine endosse la couronne avec le célèbre diadème? » « Le critique du «Guardian», Adrian Searle, enthousiaste, y voit le plus beau portrait royal depuis 150 ans. Il célèbre la capacité de l'artiste à fouiller sous la peau, sous le maquillage, à dépeindre la couronne, posée comme une pierre, à transcrire cet «ennui stoïque des gens qui ont trop vu». D'autres voix se sont élevées pour crier au scandale. Le chroniqueur du «Sun», le plus fort tirage de la presse britannique, connu pour ses playmates dénudées de la page 3, n'y voit qu'un «travesti». Pour Richard Morrison, du «Times», le cou est celui d'un joueur de rugby et le menton -comme bleui par une barbe naissante -porte la typique «ombre de 18 heures». Selon la BBC, qui rapporte ses propos, le photographe du journal spécialisé dans les affaires royales, 2001.