, 6 kcal par heure et par kilogramme (MET) la quantité d'énergie dépensée lors de l'activité sexuelle, tandis qu'on trouve dans le rapport de l'union cycliste européenne « Cycle more often 2 Cool down the planet ! », que la production de nourriture équivalente à 1 kcal émet en moyenne 1.44g CO2. Pour un rapport de 30 minutes entre deux personnes d'un poids cumulé de 130kg, on atteint donc 561.6g, soit un surplus de 421g par rapport à une activité usuelle moins énergivore, estimée par un « Compendium of physical activities » à 1.5 MET. Un aller-retour Paris-New-York, selon la base carbone de l'Ademe, émet 2.6t CO2, soit l'équivalent de 6173 fois le septième ciel pour seulement deux vols. Excepté en cas de fécondation, Pour ce calcul, on se réfère à Frappier et al, « Energy Expenditure during Sexual Activity in Young Healthy Couples, 2017.

, une implémentation des préconisations d'Oblomoff à rester couchés, ou de celles de Bruno Latour qui utilise l'« engendrement » pour parler d'une direction orthogonale au « productivisme ». Ou alors renouer avec une position contemplative et réflexive qui contrebalancerait l'activité incessante et la connectivité ininterrompue. Claude Levi-Strauss concluait Tristes Tropiques sur une attitude contemplative qui « procure à l'homme l'unique faveur qu'il sache mériter : suspendre la marche, retenir l'impulsion qui l'astreint à obturer l'une après l'autre les fissures ouvertes au mur de la nécessité, Qui pourrait être à la fois une traduction de la « slow science