, certains (majoritaires) sont attribués à Corneille et certains autres aux comédies en vers de Molière, ou à d'autres corpus invités à la comparaison. Un curseur permet de sélectionner les marqueurs les plus forts (en rouge) ou ceux qui le sont moins

. Plutôt-du-corneille-comédie, à coiffe abattue, et sans les approcher il suit de rue en rue ; aux couleurs, au carrosse, il ne doute de rien ; to ut étoit à Lucrèce, et le dupe si bien, que prenant ces beautés pour Lucrèce et Clarice, il rend à

A. Mais and . Qu, avec moi le noeud d' hymen vous lie, vous serez marié, si l'on veut, en Turquie

, Mais là s'arrête ce que la statistique classique peut aussi expliquer. La déconvolution propose des expressions hapax (par exemple de rue en rue, il ne doute de rien, sans les approcher), dont la statistique classique par définition ne s'embarrasse pas. Ainsi le passage jugé le plus caractéristique de la pièce des Fâcheux est fait d'expressions en exemplaire unique, qui peinent à atteindre le seuil fixé pour l'hypothèse nulle (figure 17), Quant à l'expression galante de ces beautés on n'en trouve que trois occurrences dans le théâtre classique, toutes chez Corneille

, Graphique 17. Le passage tenu par la déconvolution comme spécifique des Fâcheux

, De même dans le second exemple la mention d'Alger dirige l'algorithme vers Molière parce que ce nom exotique apparaît trois fois dans les Fourberies de Scapin. Précisons que les noms propres qui désignent le personnage auquel on attribue la réplique ont été évacués à la saisie car ils ne