. Pour, C. Jean-paul, and . Montagnier, The polyphonic mass in France, 1600-1780 : the evidence of the printed choirbooks, pp.288-292, 2017.

, Pour le volume RES F-960, voir le microfilm BOB 8560 ; pour le volume RES F-960 II, voir BOB 8560 (début) et BOB 16074

, Dans les trois messes de ce volume des guidons ont été ajoutées à la main. Ce volume vient avec une partie séparée in-4° de Superius des six messes de Rousseau qui composent le volume RES F-960a-f, d'une écriture soignée, avec l'ex-libris « à la cathédrale de Besançon

, Catalogue des fonds musicaux conservés en région Centre. Tours et Paris, 1995, n° 85-87 avec reproduction du titre de la Missa In die, p.203, 1984.

. Manquent-le-titre, , pp.31-34

. Manquent-le-titre, , pp.27-28

, Les Agnus sont dits deux fois seulement, avec miserere nobis (donc sans dona nobis pacem)

L. De-fauxbourdons-a-quatre and . Parties, Contenant la Prose des Morts ; Miseremini, pour l'Elevation

. O-filii and . De-pâque,

, Vis-à-vis le Batiment de S te Marie, & les huit Tons des Ps. & Cantiques. [fleurs] Fait par Ch. Berthot, rue du Faubourg S . Jacques, N° 144, 2010.

. Offices-propres-a-l'usage, . De-l'eglise-paroissiale-de-s, and . Louis-en-l'isle, Raccommodés & augmentés des Répons brefs, Cantiques de Laudes & du Chant des Hymnes Noté en entier, par Berthot, rue du faubourg S. Jacques, N° 144. Vis-à-vis le Batiment de S te Marie, p.62

, (office de sainte Isabelle) sont pochées par Berthot et signées à la fin : Fait par Ch. Berthot, rue du faubourg S. Jacques, N° 144 vis-à-vis le Batiment de S te Marie, maison du sieur Chevreuil. A Paris. Contient p. 1-76 l'office de saint Louis roi de France, Six ou sept portées à la page. Poché par Cousin et Berthot. Seules les p, pp.87-110

, In festo institutionis Corporis Christi ; p. 111-155 l'office de saint François de Sales ; p. 157-170 l'office de sainte Isabelle

, la prose de saint Jacques (pochée par Cousin à Saint-Nicolas-des-Champs en 1787). Les mélodies qui sont communes avec l'office de propre de saint Louis, pp.1-8

D. S. Office-propre, R. Louis, and . De-france, Écrit jusqu'à la p. 198 seulement. Les p. 192-195 sont vides. Filigrane BOUCHET. Neuf portées de 4 lignes à la page, tracées en noir au rastrum, long. 73 mm, haut. 6 mm, interv. variable. Traits de construction visibles, Adoremus du S. Sacrement, pp.180-187

, table des matières. Les mélodies qui sont communes avec l'office de Saint-Louis-en-l'Île (n° 9) sont exactement similaires. Paris BnF (Impr.) : 8-Z LE SENNE-7615, p.243

, 11 -Un exemple de volume in-8° poché par Berthot : l'Office propre de S. Louis, 1805

. Officia-propria-sanctorum, V. Judoci, . De-paula, . Et-s, S. Jacobi-apostoli.-ad-usum-ecclesiae-parochialis et al., vis-à-vis le Batiment de S te Marie, en face d'un Chaudronier, maison du sieur Chevreuil. A Paris. M. D.CCC.V. Manuscrit au pochoir sur papier épais, 2°, 507 x 325 mm, 116 p. Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 233 mm, haut. 22 mm, interv. 30 mm. Contient p. 1-34 l'office de S. Jude (qui se termine par l'adresse suivante : Fait par Ch. Berthot, rue du faubourg S. Jacques, N° 144. vis-à-vis le Batiment de S te Marie, maison du sieur Chevreuil. A Paris. 1804.) ; p. 35-72 l'office de S. Vincent de Paul, , vol.144, pp.73-116

I. N. Festo-ss, . Petri, . Pauli, D. Sequentia-de-i.-in, . Fait-par-ch et al., Il contient aussi des sections pochées par Cousin, Renaudin, Flamand et Cicille. Paris AHAP : non coté. Relié en veau avec encadrement et losange en filets à froid, Fait par Ch. Berthot, rue S. Jacques, pp.1805-1814, 1807.

D. S. Office-propre and A. Le-majeur, Contient p. 1-62 l'office de la fête de S. Jacques le Majeur, p. 63-71 l'office de la fête de la translation de S. Jacques le Majeur. L'ouvrage est fait sur le même modèle que l'office de Saint-Louis de 1805

D. S. Offices-propres, A. Severin, E. T. De-s.-augustin, E. T. Evêque, . Doct et al., Huit portées de 4 lignes noires à la page, long. 98 mm, haut. 7,4 mm, interv. 11 mm. Ornementation : bouquet au titre, bandeau au début de chaque office et bouquet à la fin de chaque office, pp.85-124

B. Paris, Couverture veau à roulette, tranches dorées

D. S. Offices-propres, E. T. Louis, . De-s, and . Remi, Avec la Prose & le Répons du Salut de S

L. Messe and &. Le-salut-d, Actions de graces

L. Messe-de-m-r-dumont,

T. Le, D. M. Ergo, and . Lasceux, Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 255 mm, haut. 24 mm, interv. 37-40 mm. Contient p. 1-72 l'office de la fête de Saint-Louis, p. 73-134 l'office de la fête de Saint-Rémi, pp.176-179

J. Noël, Comme mentionné au titre, ce volume a été écrit pour l'église Saint-Antoine des Quinze-Vingts à Paris, qui en 1817 devait correspondre à la chapelle de l'hospice des Quinze-Vingts, les grands livres de choeur, tapuscrit, vol.21, 2004.

J. Chandora, , pp.1780-1844

. Jean-denis, Il est le fils aîné de Pierre-Denis, manouvrier et de Marie-Geneviève Quetier, mariés le 18 avril 1780. Sa mère est fille d'un maître d'école et soeur du maître d'école de Moissy-Cramayel. Il se marie le 7 brumaire An X (29 octobre 1801) à Draveil (Essonne) 73 avec Marie-Anne Château, née le 7 février 1777 à Draveil, vol.72

, comme chantre basse-contre à la place de Bresle [Braisle] (qui doit se retirer le 1 er mars prochain) et aux mêmes appointements. Le vote a été unanime en sa faveur et il a produit des certificats très avantageux. Le 19 août suivant, ses appointements sont portés à 1.100 Fr par an jusqu'à décembre et 1.200 Fr ensuite, le budget d'entretien du baschoeur ayant été un peu réduit par le Département de la Seine. L'état nominatif de 1816 75 qui suit montre que les huit basses-contres sont appointés entre 1.100 et 1.200 Fr par an ; celui des autres musiciens (organiste, 2 serpents, 3 musiciens non précisés) va de 400 à 900 Fr, le registre des délibérations capitulaires du 26 février 1816 relate qu'il est reçu, p.76

. Le-graduel-de-1827, Arras de 1828 le citent toujours comme chantre basse de l'Église de Paris, de même l'Indicateur de la Cour de France, de la capitale et des départements (Paris, V ve Demoraine et Bouquin, 1829)

, se marie à l'église Saint-Gervais avec Hyppolite Napoléon Pontieux 77 . Le 6 mars 1837, son fils Eugène Clément Joseph Chandora, commis papetier domicilié 1 rue Croix-Blanche, se marie à son tour avec Julie Honorine Pérot 78 ; ils ont un fils prénommé Eugène Victor Chandora né le 16 août 1839 79 . Le 26 août 1844, Jean-Denis Chandora, chantre, décède en son domicile du 56 quai de la Grève (actuel quai de l'Hôtel-de-Ville), âgé de 64 ans, Le 5 juillet 1834, sa fille Céline Françoise, ouvrière en dentelles domiciliée 46 rue des Blancs-Manteaux

, Il existe plusieurs factures qui évoquent son travail pour le chapitre de

, Bibliothèque ouvrages des XVI e , XVII e , XVIII e et XIX e siècles, réd. Françoise Bouleau-Koca et Brigitte Lainé, 2006.

. Ad-seine-et-marne, , pp.5-513

. Ad-essonne, E 961 Draveil, pp.261-262

L. Brunel, ses conséquences économiques et humaines ». Mémoires et documents de la société historique et archéologique de Corbeil, d'Étampes et du Hurepoix, vol.11, p.151, 1975.

E. Idem and . Pierrefitte-sur-seine,

P. Ad, Index des mariages, État civil reconstitué

. Idem, On peut suivre dans divers indicateurs commerciaux la carrière de ce fils papetier

P. Ad, État civil reconstitué

P. Ad, DQ8 905, f. 15v et V.2E 12487

. J. Die-xxxi, . In, . Sanct, . E. Germani-autissiodorens, . Écrit-par et al., , 1820.

. Manuscrit, Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 315 mm, haut. 33,5 mm, interv. 37 mm. Quelques frises, bandeaux et passe-partout constitués de petits pochoirs juxtaposés, vol.540, p.43

, Constitue la seconde partie d'un volume en trois parties, les deux autres étant copiées par Cousin en 1800 et 1801. Pavillons-sous-Bois

. Gradualis, . Ecclesiae, . P. Supplementum, J. Manu-&-industriâ, . Dionysii-chandora-unius-ex-ejusdem-ecclesiae-cantoribus et al., Six portées de 4 lignes rouges à la page, long. 43,7 cm, haut. 42 mm. Plain-chant carré, texte en didone, Titre dans un encadrement gouaché rouge avec frises. Quelques initiales gouachées (non pochées), la plupart dans des passe-partout. Quelques initiales avec miniatures gouachées très fines, certaines avec des bandes de papier doré, pp.29-36

. Virginis, Ad salutem in festo SS, festo Sanctae Clotildis, pp.79-87

S. In, . Vincentii, and . Paulo, Remensis episcopi ; p. 96-100 In vigilia omnium sanctorum, commemoratione omnium fidelium defunctorum, pp.120-129

, Ouvrages de plain-chant, Dédiés aux dames religieuses Augustines hospitalières de l'Hôtel

, A Joanne Dyonisio Chandora, ecclesiae metropolitanae Parisiens. Cantor. Anno Domini MDCCCXXVIII. » Manuscrit au pochoir sur papier, 270 x 260 mm, 152 p. Lettres coloriées, titre encadré avec trois bouquets de fleurs dont un fleurdelisé, en couleurs. Arras BM : Ms. Advielle 21. Demi-reliure en veau vert. Manuscrit détruit durant le bombardement de juin et juillet 1915

C. Motet-que-l'on and . Morts, Huit portées de 4 lignes brunes à la page, long. 266 mm, haut. 25,5 mm, interv. 29,5 mm. Plain-chant carré. Pochoirs à décor funèbre (crânes, os, larmes) dans la première partie, et frises dans le reste du volume. Incipit : Miseremini, saltem vos amici mei avec une alternance de récits et de parties à 3 voix (ténor 1, ténor 2, basse). À la suite : Diversi cantus symboli, pro annualibus et solemnibus majoribus en plain-chant, p.1832

A. Graduale-parisiense, R. Dionysii, and D. Et-eleutherii.-a-prima, Adventus Domini usque ad Feriam quartam in Capite Jejunii. Delineavit J. D. CHANDORA, ex-cantor Ecclesiae metropolitanae Parisiensis. Anno 1836. Manuscrit au pochoir sur papier, 2°, 620 x 460 mm

-. Ad-seine, 220 J 175-1. Reliure en veau marbré avec coins et attaches. Bouleau-Koca, 2006.

A. Graduale-parisiense, R. Dionysii, and . Et-eleutherii, A Feria quarta in Capite Jejunii usque ad Festum SS

J. D. Delineavit, . Chandora, and . Ex-cantor-ecclesiae-metropolitanae-parisiensis, Anno 1837. Manuscrit au pochoir sur papier, 2°, 620 x 460 mm, 322-144 p. Huit portées de 4 lignes rouges à la page, long. 364 mm, haut. 30,0 mm, interv. 40 mm. Les petites indications en rouges (italique et romain) sont tracées à la main. Quelques fleurons et frises

-. Ad-seine, Reliure en veau marbré avec coins et attaches, pp.220-175, 2006.

A. Graduale-parisiense, R. Dionysii, . Et-eleutherii, and S. S. Dominica,

J. D. Delineavit, . Chandora, and . Ex-cantor-ecclesiae-metropolitanae-parisiensis, Manuscrit au pochoir sur papier, 2°, 620 x 460 mm. Paginé 323-394 puis 146-232 p. Huit portées de 4 lignes rouges à la page, long. 364 mm, haut. 30,5 mm, interv. 39,5 mm. Les italiques en rouge sont tracées à la main. Quelques fleurons et frises. Contient la partie d'été et la début de la partie d'automne, pp.220-175, 2006.

, Voire jusqu'à 140 mm de côté (2 systèmes) comme dans le Graduel

, Il va jusqu'à 192 à 198 mm de côté comme dans RES VMA MS-1416, avec les armes royales : 3a Office de Saint-Augustin. s.d. Paris AHAP 3b Office de Saint-Thomas

. Idem, , vol.4

P. Bnf, , pp.8-11627

, Graduel et antiphonaire de Paris? Épinay-sur-Seine

. Épinay-sur-seine,

, Antiphonaire parisien, à l'usage? Épinay-sur-Seine 1810

. Épinay-sur-seine,

, Office propre de S. Jean l'Evangéliste, à l'usage de l'église Saint-Nicolas-des-Champs 1812

P. Bnf, , pp.8-1481

S. Saluts-du, S. Sacrement-a-l'usage-des-paroissiens-de, A. Nicolas-des-champs, and . Paris, Fait par Cousin, ce 18 Fevrier. 1797. A Paris. Rue Aumaire, N° 5. Manuscrit au pochoir sur papier épais, 202 x 134 mm, vol.176, pp.181-184, 1797.

. Contient-des-saluts and . P. Le-calendrier-liturgique, 28 : mois de janvier, février et mars ; p. 35 mois d'avril, mai et juin ; p. 43 mois de juillet, août et septembre ; p. 54 mois d'octobre, novembre et décembre. Suivent des saluts pour des fêtes particulières

B. Paris, Reliure en maroquin rouge à encadrements de palmettes extérieur et intérieur, pp.8-3577

D. Office-propre and . Paris,

, Fait Par Cousin à Paris. en 1800, vol.48

M. De and S. Vincent, Titre de départ. À la fin :] COUSIN. ce 8. Janv. 1801. Manuscrit au pochoir sur papier, 2°, 540 x 385 mm, [12] f. Neuf portées de 4 lignes rouges à la page, long. 321 mm, haut. 21,5 mm, interv. 28 à 29,0 mm. Aucune décoration hormis deux frises de départ

, Huit portées de 4 lignes rouges à la page, long. 255 mm, haut. 22 mm, interv. 34 mm, plain-chant incurvé. Contient l'office de Saint-Augustin. Un petit supplément de 8 p, Les manuscrits 2a et 2b constituent les sections 1 et 3 d'un recueil qui contient aussi l'office de saint Germain l'Auxerrois copié par Chandora (voir plus haut)

, 1-4 l'office de saint Thomas apôtre ; p. 5-9 l'office de la Présentation de la Vierge, pp.10-14

, La suite du volume contient, en pagination continue mais avec un papier et des pochoirs différents : les saluts du jour de Pâques et l'office de Notre-Dame des Victoires, Ces deux sections (ornées seulement d'une frise au départ, de capitales rouges et de bouquets) figurent dans un volume, poché ca. 1805-1814, qui contient aussi des sections dues à Berthot, Renaudin, Flamand et Cicille. Paris AHAP : non coté. Relié en veau avec encadrement et losange en filets à froid. Prov. église

. Offices-propres, D. E. Usage-de-l'eglise-paroissiale, and P. Vincennes-près, Fait par Cousin, Chantre à S. Nicolas des Champs à Paris. 1804

, Le texte sous la musique et les titres courants sont mss. Contient p. 1-22 l'office du Saint-Nom de Jésus ; p. 23-40 l'office de saint Vincent (l'hymne Adeste Christi milites de la p. 40 est signé Santeul, l'office du Rosaire. Paris BnF (Impr.) : 8-Z LE SENNE-11627. Reliure cartonnée couverte en parchemin de réemploi. Sur Gallica. Volume écrit pour une église de Vincennes non identifiée, pp.41-57

E. T. Graduel, A. Antiphonai-re, ;. Paris-appartenant-À-l'eglise-paroissial, P. Nicolas, C. Guillaume et al., , vol.438

, Sept à neuf portées de 4 lignes rouges à la page, long. 323 mm, haut. 24 mm, interv. 34 mm. Traits de construction visibles, Ornementation épisodique. Plain-chant incurvé

. Contient-le-graduel, Pages 436-437 : O salutaris hostia à 2 voix de M. l'abbé Dugué

M. O-salutaris-hostia-en-fa-pour-le-choeur-de and . Gossec,

A. Parisien, A. De-l'eglise-paroissiale-d'epinay-sur-seine.-restauré-par, and P. L. Cousin, Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 280 mm, haut. 24 mm, interv. 39 mm. Traits de construction visibles, Titre dans un encadrement de frises

. Contient, Pages 587-588 : Gloria patri dans les 8 tons, avec des pochoirs plus petits (en plain-chant carré)

. Épinay-sur-seine,

D. S. Office-propre, E. V. Jean, S. L'usage-de-l'eglise-de, . Nicolas-des-champs, and . Paris, Traits de construction au crayon. Chaque page est réglée en rouge. Six portées de 4 lignes rouges à la page, long. 127 mm, haut 10,9 mm, Titre dans un encadrement de frises au pochoir

G. Lazari,

, Titre dans un encadrement en frise. Traits de construction au crayon. Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 415 mm, haut. 38 à 39 mm, interv. 52 mm, MDCCLXXXIX

L. Misermont, Le serment à la constitution civile du clergé, le serment civique et quelques documents inédits des Archives vaticanes, p.181, 1917.

A. Paris and . N°-1,

G. Mdcclxxxix, Titre dans un encadrement en frise. Traits de construction au crayon. Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 415 mm, haut. 38 à 39 mm, interv. 52 mm. Contient les offices de la Conception de la Vierge (8 décembre) jusqu'à la messe votive du Saint-Sacrement

G. Mdcclxxxix, Titre dans un encadrement en frise. Traits de construction au crayon. Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 420 mm, haut. 38 à 39 mm, interv. 53 mm

A. Mdcclxxxix, Titre dans un encadrement en frise. Traits de construction au crayon. Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 420 mm, haut. 38 à 39 mm, interv. 53 mm. Contient les offices de la fête de la Sainte

A. Mdcclxxxix, Titre dans un encadrement en frise. Traits de construction au crayon. Sept portées de 4 lignes rouges à la page, long. 420 mm, haut. 38 à 39 mm, interv. 53 mm

, Le cuir porte des triples filets tracés en rectangle et losange. Le papier, de très bonne qualité, porte un filigrane « Strasburg Lily » sans contremarque ni nom de papetier, qui ne se retrouve pas dans les répertoires consultés. La décoration de ces cinq volumes est homogène et assez discrète, et quelques frises simples. Certaines de ces capitales sont élégamment rehaussées avec la même couleur plus claire. Octobre 1789 -Le 6 payé pour avoir fait relier le manuel de chant : 2 lt

, Novembre 1789 -Le 14 pour avoir fait relier le livre des Leçons : 12 lt

, Janvier 1790 -Le 9 payé pour avoir fait relier un missel pour les fêtes solennels et trois processionaux couvert en parchemin vert : 33 lt. -Le 17 pour avoir fait relier le livre des Saluts : 16 lt. Mars 1790 -Le 22

, Septembre 1791 -Du 6 octobre 1789 avoir payé la reliure de deux grands livres de chant à 55 lt la piece fait, les autres ayant été payés par Mr Daudet : 110 lt

, Ces mentions révèlent plusieurs projets simultanés : l'achat et la reliure de livres imprimés (Missel, Processionnal, Graduel et Antiphonaire, Épîtres et Évangiles

. Et-reliure-d'un-livre-des-kyrie,

, Ces fournitures ne se comprennent que pour effectuer des travaux au pochoir, qui incluent très probablement les volumes décrits plus haut. On peut même supposer que l'achat en octobre 1788 d'un antiphonier et graduel en 7 volumes concerne la source imprimée des copies de Piorette, l'achat de fournitures (vignettes, chiffres, notes) et d'encres de couleurs (rouge, bleu, blanc) et soies, noir de fumée

, Dans la mesure où les dépenses accordées pour ces volumes ne concernent que les fournitures et la reliure (à 55 lt le volume?) mais pas la copie elle-même, on doit bien en conclure que les copies de Piorette ont été faites au sein de la Congrégation

M. Carmelo, 1785 95 , se retrouve deux ans avant dans les liturgies pochées pour Chartres par Peaucellier 96 : Missale Sancti Lazari 1785 Peaucellier 1783

, Ces exemples pourraient être multipliés. À l'inverse, on peut supposer que certains des pochoirs pour le plain-chant, parce qu'ils sont relativement simples et n'intéressent qu'un nombre très réduits de pocheurs

L. Métier,

. Le-synoptique-ci-dessous-montre, et en gris les années où une source d'archive (facture, paiement) révèle une activité. Fig. 17 -Synoptique de l'activité des pocheurs parisiens de livres liturgiques On observe d'abord qu'il n'y a jamais plus de trois pocheurs en activité simultanément. D'autre part, la décennie révolutionnaire (1789-1799) accuse une baisse très sensible de la production de liturgies au pochoir. Si l'on admet que le livre de Berthot de 1791 copié pour l'abbaye Sainte-Geneviève a pu être commencé un ou deux ans plus tôt (la série commence en 1788) et que celui de 1797 par Cousin résulte d'une commande privée, les vies des pocheurs étudiés ci-dessus, en noir les années où il existe au moins un livre daté

, À compiler les archives retrouvées, il apparaît également que ces pocheurs ont tous exercé plusieurs métiers tout au long de leur carrière. Cousin, Peaucellier, Chandora, Brunard et Binet sont chantres (Peaucellier est même allé chanter dans des choeurs lyriques) et Bonnisselle quant à lui est serpentiste

, Paris Ars. : Ms. 1177 RES

B. Toutefois, P. Commencé-comme-domestique, . Lui-même, . Chandora, and . Instituteurs, Ils se positionnent entre les métiers du Livre, ceux de l'éducation, et le service du culte. Pour la copie proprement dite, leur statut professionnel est celui d'un artisan libre, puisque la copie au pochoir n'est pas soumise à maîtrise et qu'elle échappe également au régime napoléonien des brevets. Aucun des documents cités ne faisant allusion à une boutique ni à une quelconque enseigne, il faut croire que nos pocheurs travaillaient « en chambre », chez eux. Tout au plus devaient-ils louer une charrette pour aller livrer des volumes qui pouvaient dépasser la dizaine de kilogrammes? Ce métier de copiste/relieur/raccomodeur, finalement assez discret, était-il leur métier principal ? Le seul pour qui on peut le supposer est Berthot, car il a la carrière la plus longue et la plus productive, sans autre métier connu autre que domestique à son arrivée à Paris. Bonnisselle quant à lui se dit toujours graveur en géographie. Chandora est le seul dont la carrière de chantre (bassecontre à, Peaucellier encore est officier public durant quelques années (peut-être pas payé) et Bonnisselle est graveur géographe (probablement son activité majeure). Enfin Berthot, Peaucellier, Bonnisselle et Chandora sont relieurs ou raccommodeurs de livres

, Cette clientèle est essentiellement constituée par des fabriques de diverses églises ou par des communautés religieuses. Le tableau ci-dessous résume les institutions pour lesquelles ils ont travaillé, que celles-ci soit révélées par des livres pochés

, Mais du livre manuscrit, il reprend les caractères d'unicité et de durée de la fabrication. Il a donc été classé en privilégiant l'une ou l'autre de ces caractéristiques, dans des collections d'imprimés autant que dans des fonds manuscrits, Le destin particulier des fonds liturgiques durant la Révolution puis lors de la Séparation de 1905 a fait qu'on en trouve aussi souvent dans des fonds d'archives, eux-mêmes partagés entre les archives diocésaines ou les archives départementales. Ces livres sont donc très éparpillés dans les dépôts français

, Basilique de Saint-Denis?), ou d'offices propres pour tel ou tel saint, copiés à l'usage d'une église particulière placée sous son patronage. Quelle source le pocheur utilisait-il pour établir le texte, le plain-chant et la mise en page ? Copiait-il des liturgies manuscrites plus anciennes, mises à sa disposition par le chapitre ? Le plain-chant étaitil similaire à celui qui était parfois imprimé en grand format pour les chantres ? Les interactions entre les diverses sources du plain-chant à l'usage de ces églises ou de ces communautés, Si cette étude a permis d'identifier et de documenter les principaux pocheurs parisiens qui copiaient des livres liturgiques, il est un domaine qu'elle n'a pas abordé : l'origine du plain-chant copié