« Partir de ce que les gens vivent ». Théorie de l’exploitation, imbrication des rapports sociaux et difficulté de la convergence des luttes. Entretien avec Christine Delphy - Archive ouverte HAL Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Mouvements : des idées et des luttes Année : 2019

« Partir de ce que les gens vivent ». Théorie de l’exploitation, imbrication des rapports sociaux et difficulté de la convergence des luttes. Entretien avec Christine Delphy

Résumé

La centième livraison de Mouvements est aussi l’occasion de revenir sur ce que, depuis plus de vingt ans, la revue a publié et analysé, mais aussi sur ce qui lui a échappé. Théoricienne du féminisme matérialiste, Christine Delphy est l’auteure de travaux fondateurs analysant l’articulation des systèmes capitaliste, patriarcal et raciste afin de proposer une théorie générale de l’exploitation. Cofondatrice en 1977 de la revue Questions féministes (devenue en 1981 Nouvelles Questions féministes), Christine Delphy a plusieurs fois participé à la réflexion collective engagée par notre revue. Dans sa contribution de 2003 au dossier que Mouvements intitulait « Classes, exploitation : Totem ou Tabou ? » notamment, elle livrait une réflexion sur les angles morts de la théorie de la plus-value. Une quinzaine d’années après, comment réfléchir à l’imbrication des rapports de domination de classe, de genre et de race ?

Mots clés

Fichier non déposé

Dates et versions

hal-02445894 , version 1 (20-01-2020)

Identifiants

Citer

Catherine Achin, Irène Jami. « Partir de ce que les gens vivent ». Théorie de l’exploitation, imbrication des rapports sociaux et difficulté de la convergence des luttes. Entretien avec Christine Delphy. Mouvements : des idées et des luttes, 2019, 4 (100), ⟨10.3917/mouv.100.0127⟩. ⟨hal-02445894⟩
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