« Unsettling postscripts and epilogues in A. S. Byatt’s Possession and Ian McEwan’s Atonement » - Archive ouverte HAL Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Sillages Critiques Année : 2018

« Unsettling postscripts and epilogues in A. S. Byatt’s Possession and Ian McEwan’s Atonement »

Résumé

This paper proposes to look at two contemporary British novels that, contrary to traditional practice, use their final pages to unsettle the conclusion reached earlier, and leave the reader in a state of uncertainty. Both A. S. Byatt’s Possession, a Romance (1990) and Ian McEwan’s Atonement (2001) play games with their readers when, rather than being part of a deflating and decelerating process of conclusion, the closing pages prolong and encourage rather than put an end to “retroactive reading” and “retrospective patterning”. Indeed, the last textual sections of each novel point to discrepancies or indeed constitute disjunctures themselves. In order to fully appreciate the means and effects of the dissonance established by the final textual section of these novels, this paper first looks at postscripts and epilogues as unlikely places for disruption before considering how the final dissonance affects the sense of poetic justice previously reached. Finally, the paper examines how this last-minute reversal (or confirmation) of poetic justice is linked to the powerful figure of the storyteller.
Cet article s’intéresse à deux romans britanniques contemporains dont les dernières pages, contrairement à l’usage, remettent en question la conclusion atteinte plus tôt, et laissent le lecteur dans un état d’incertitude. Possession, a Romance (1990) d’A.S. Byatt et Atonement (2001) d’Ian McEwan jouent avec leur lecteur quand, au lieu de participer au processus de décélération de la conclusion, les dernières pages prolongent et encouragent la « lecture rétroactive ». En effet, les dernières sections du texte de chaque roman soulignent des contradictions voire constituent elles-mêmes des lieux de disjonction. Afin de mesurer les caractéristiques et les effets de la dissonance établie dans la dernière partie de ces romans, cet article s’intéresse d’abord aux post-scripts et aux épilogues comme lieux de perturbation inhabituels avant de considérer comment cette dissonance finale affecte le sentiment de justice poétique précédemment atteint. Enfin, cet article examine dans quelle mesure ce revirement sur la question de la justice poétique ou sa confirmation sont liées à la figure toute-puissante du raconteur/narrateur.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-02388445 , version 1 (01-12-2019)

Identifiants

  • HAL Id : hal-02388445 , version 1

Citer

Armelle Parey. « Unsettling postscripts and epilogues in A. S. Byatt’s Possession and Ian McEwan’s Atonement ». Sillages Critiques, 2018, 24. ⟨hal-02388445⟩
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