C. À-notre, Sépulcre de Cambrai constituent l'une des seules exceptions à la règle, avec des mentions relativement précises, telles que celle-ci : « Item a Poliot, eschoppier, pour une rayme de papier avecq livre et demie d'estoffes à faire encre [?] » (Archives dép. Nord, 3 H 1044, compte de l'année 1491-1492, non folioté, rubrique « Autres mises d'argent pour grosses pourveanches

. Dans-le-cadre-de-ses-recherches, Monique Zerdoun n'a repéré la présence que d'un seul encrier -ou plutôt que d'une seule « encrière

. Les, Pour mieux en comprendre le fonctionnement, il s'avérerait indispensable d'élargir le terrain d'enquête, en multipliant les comparaisons avec des documents produits en Île-de-France, à Paris même, mais aussi dans des localités secondaires proches de Chartres. Il ne serait pas inutile non plus de poursuivre les investigations en amont de la période envisagée, en vue de repérer un éventuel moment de bascule, au cours duquel les producteurs d'écrit abandonnent la fabrication d'encres selon des recettes qui leur étaient propres pour se tourner vers le marché. Les travaux menés au cours de l'année 2018 ne constituent donc pas un point d'aboutissement, La profession de parcheminier se rencontre plus fréquemment dans les archives. Pour le pays chartrain, voir par exemple la mention d'un parcheminier dans les archives de l'hôpital de Châteaudun : Lucien Merlet, Inventaire-sommaire des archives hospitalières antérieures à 1790 : hospices de Châteaudun, Châteaudun, 1867, p.9