J. Dans-de-récents-travaux, Vignes fait cependant l'hypothèse que toute la Brigade quitte Paris en 1553, après divers scandales

D. Le-départ, Du Bellay et son sentiment d'être exilé trouveraient peut-être là une explication. Voir J. Vignes en collaboration avec O. Halévy, « Paris 1553. Un exemple de "microhistoire" littéraire », Revue de la Bibliothèque Nationale de France, vol.32, pp.65-71, 2009.

O. Marot, T. Poétiques, G. Ii, C. Defaux, and . Garnier, Toutes les citations de Marot sont tirées de cet ouvrage, p.896, 1993.

. Ibid, , pp.116-118

. Ibid, , pp.1-6

. Ibid, , p.24

. Ibid,

. Ibid, , pp.40-41

. Ibid, , pp.49-52

. Ibid, , p.117

. Ibid and . De-monseigneur-le-daulphin?, Cette églogue a été composée peu après le 19 janvier 1544, date de la naissance du futur François II, pp.1-2

. Ibid and . Au-roy, , pp.18-28

D. Bellay, T. Oeuvres-poétiques, É. D. Ii, F. Aris, C. Joukovsky et al., , 1993.

. Ibid, , p.42

. Ibid, , p.43

. Ibid, , p.14

. Ibid, , p.43

. Ibid, , 2009.

. Ibid, , pp.9-11

. Ibid, Une image analogue est filée dans les tercets du sonnet 87, soulignant à quel point la métamorphose végétale est propre à rendre compte pour le poète de la paralysie provoquée par l'exil : J'ay voulu mille fois de ce lieu m'estranger, Mais je sens mes cheveux en fueilles se changer, Des bras en longs rameaux, p.49

. Bref, je ne suis plus rien qu'un vieil tronc animé, Qui se pleint de se voir à ce bord transformé

. Cf, . Marot, À. De-venise, and . La-royne-de-navarre, Et maintenant, tout ce que faire puys Sont pleurs, et plains, et ne sçay qui je suis, Fors seullement une plante esbranchée, Laquelle fut lourdement arrachée De ton jardin fertile et fructueux Par turbillons, et ventz impetueux Qui m'ont poulsé par sus les grans montaignes Jusqu'à la mer qui est joincte aux campaignes De l'Itallye, vol.1536, pp.89-98

D. Bellay, , p.49

. Ibid, , vol.36, p.57

. Ibid, , pp.8-14

. Ibid, , vol.21, pp.6-7

. Ibid, Monsieur d'Avanson, Conseiller du Roi en son privé conseil, p.35

. Ibid, , p.39

O. Marot, fin de l'épître « À la Royne de Navarre », été 1536, pp.191-196

D. Bellay, , pp.3-4

. Ibid, , p.12

, Nous empruntons cette expression à Geneviève DEMERSON, « Les obsessions linguistiques de Joachim Du Bellay », Joachim Du Bellay et la belle romaine, Paradigme, coll. L'Atelier de la Renaissance, p.23, 1996.

D. Bellay, , vol.22, pp.1-2

. Ibid, , vol.47, pp.5-6

. Ibid and . Monsieur, , p.67

. Ibid, , p.80

O. C. Marot and A. «-À-ung-sien, , vol.1544, pp.77-80

, Du-val) jadis me fit escrire De cet aveugle archer, qui nous aveugle ainsi : Puis, fasché de l'Amour, et de sa mere aussi, Les louanges des Roys j'accordai sur ma lyre. Ores je ne veulx plus telz arguments eslire, Ains je veulx, comme toy, poingt d'un plus hault souci, Chanter de ce grand Roy, dont le grave sourci Fait trembler le celeste et l'infernal empire. Je veulx chanter de Dieu. Mais pour bien le chanter, Il fault d'un avant-jeu ses louanges tenter, Louant, non la beauté de ceste masse ronde, Mais cete fleur, qui tient encor

. Ibid, , vol.180, p.129

. Ibid, enfer de son corps mon esprit attaché (Et cet enfer, Madame, a esté mon absence) Quatre ans et d'avantage a fait la penitence De tous les vieux forfaits dont il fut entaché. Ores, grâces aux dieux, ore' il est relâché De ce pénible enfer, vol.174, p.126

J. Voir-sur-ce-point and . Vignes, Deux études sur la structure des Regrets. II. La composition du recueil, ou la fureur perdue et retrouvée », dans Du Bellay et ses sonnets romains. Études sur Les Regrets et les Antiquitez de Rome réunies par Y. Bellenger, pp.107-136, 1994.

O. C. Marot and . Au-roy, , pp.42-52

. Ibid, . Au-tresvertueux-prince, . Françoys, and . De-france, , vol.1536, pp.74-78

. Ibid and . Dieu-gard-de-marot-À-la-court, , vol.1537, pp.61-66

. Ibid, Épistre envoyée par Clément Marot à Monsieur d'Anguyen, lieutenant pour le Roy de là les Montz », composée peu après le 14 avril 1544, date de la bataille de Cérisoles, pp.66-76

. Ibid and . Au-roy, , p.61

L. Ovide, I. Tristes, D. Dans-lettres-d'amour, A. Robert, and . Sud, 1-2 : Parve (nec invideo) sine me, liber, ibis in Urbem ; / Ei mihi ! quod domino non licet ire tuo ! -« C'est sans moi, pp.232-233, 2006.

. Hélas-!-À-moi,

D. Bellay and «. Livre, , pp.1-4

. Ibid and . Monsieur, , p.97

. Ibid, , vol.172, p.125

O. C. Marot and . «-À-la-royne-de-navarre, , vol.1536, pp.5-12

. Ibid, , pp.45-53

. Ibid, , vol.137, pp.153-182

D. Bellay, , pp.1-4

. Ibid, sonnets 174 à 188, pp.126-133

. Ibid, , vol.182, pp.13-14

. Ibid, , vol.130, pp.10-11

. Ibid, , p.12

. Ibid, , p.134

. Ibid, OEuvres poétiques, t. I, Suite de l'Adolescence clémentine, Epistre XVIII, « Au Reverendissime Cardinal de Lorraine, Nous remercions J. Vignes de nous avoir signalé l'imitation flagrante de Marot que constitue ce dernier vers : voir Marot, pp.1-3, 1993.

. Ibid, , vol.112, p.14

, 12 ou encore le lien qui est fait au sonnet 24 entre le malheur du poète et le fait qu'il soit « loing des yeux de, Voir le sonnet 47, dans lequel le poète souhaite à Vineus que « l'oeil de, p.51

. Ibid, , vol.16, pp.6-8

. Ibid,

. Ibid, , vol.20, pp.9-10

. Ibid, Le sonnet 162 érige également en modèle le vertueux Scipion préférant « se banni[r] de soimême en un petit village » (v. 4) que demeurer en une cour ingrate et vicieuse, vol.50, p.64

. Ibid, , pp.12-14

. Ibid, , vol.141, pp.5-8

G. Gadoffre, D. Bellay, . Paris, . Gallimard, and . Tel, , 1978.

, On en compte trois en l'espace d'un an, entre l'été 1535 et l'été 1536

R. Voir-par-exemple-l'-«-epistre-au, du temps de son exil à Ferrare », été 1535, p. 80, v. 1-5 : Je pense bien, que ta magnificence, Souverain Roy, croyra, que mon absence Vient par sentir la coulpe, qui me poingt D'aulcun meffaict : mais ce n'est pas le poinct

O. C. Marot and . Au-roy, nouvellement sorty de maladie, novembre 1535, p. 93, v. 63-66 : Combien qu'encor je te tien pour mon maistre, Qu'il est en toy de jamais rien ne m'estre, Mais il n'est pas certes en ma puissance

. Ibid and . Roy, du temps de son exil à Ferrare », été 1535, p.80

. Ibid and . Au-roy, Tel a couché encontre toy la lance, Que tu as fait plein d'honneur & chevance. Moy doncq, qui n'ay en nulz assaultx n'alarmes Encontre toy jamais porté les armes, Et n'ay en rien ton ennemy servy, vol.1536, pp.85-90

. Ibid and . Au-roy, , p.37

. Ibid and . Au-roy, , vol.1536, pp.147-150

. Ibid and . Au-roy, du temps de son exil à Ferrare, p.83

G. Defaux and M. Dans, OEuvres poétiques, tome II, vol.8, p.874

O. C. Marot and . Au-roy, , p.710

. Ibid and A. «-À-ung-sien, Pour citer cet article : Claire Sicard, « 'Tu t'en iras sans moi voir la court de mon prince, p.705

». , L. Bannissement, D. Siècles-en-europe, Y. Drouet, L. Brailowsky et al., , vol.94, pp.197-216, 2010.