. Cf, E. Ortografia-fonética, . De-la, and . Barra, , p.1897

?. , F. , M. , P. , V. (le-drae-définit-ce-terme-;-?-d et al., Ceci fait penser aux fricatives du classement moderne, ce qui est valable pour F et V, mais pas pour les autres. De plus, B et V sont et étaient deux graphies pour un seul phonème et le symbole V est selon l'API 23 un phonème que l'espagnol n'a pas -Lamientes « porque se forman lamiendo la lengua al paladar, Il justifie ses appellations : -Espiritales « porque se profieren sin ministerio de la lengua ni de los dientes, pp.14-26

G. Le, deux rôles qui seraient clairs pour tous : ga et ge. Tous deux sont gutturaux, en entendant par gutural le fait de toucher le bout le plus profond du palais ; or, pour le premier, il faut courber la langue afin d'atteindre la racine du palais, tandis que pour le second, le palais est atteint plus extérieurement, de plus ce son est plus doux

J. Le and . Était, selon l'auteur, prononcé plus violemment à l'époque ancienne que maintenant, puisqu'il s'est adouci en étant l'égal de la syllabe (ou lettre) ge. Sa prononciation ancienne était due aux échanges commerciaux avec les Arabes et consistait à l'articuler depuis la partie la plus interne de la gorge

, les traités d'orthographe -sauf celui de Correas -s'adressent à un public contemporain. De ce fait, les auteurs espèrent que les exemples donnés vont être lus, comme s'il s'agissait d'outils audio

, des connaissances approximatives, voire non pertinentes, des traits phonétiques des phonèmes de la part de ceux qui se sont lancés dans leur description articulatoire

;. De-la)-barra-eduardo and . Antonio, CD-Rom Textos clásicos sobre la ortografia castellana, Série VIII. Lingüística y antecedentes literarios de la Península ibérica, Coll. Clásicos Tavera, 1999. -BUENO Diego, Arte nuevo de enseñar a leer y escribir perfectamente, Zaragoza, éd. Domingo Gascón, 1690, María José Martínez Alcalde (éditeur), CD-Rom Textos clásicos sobre la ortografia castellana, Serie VIII. Lingüística y antecedentes literarios de la Península ibérica, Néanmoins, à ce stade de la description des langues, où le but était de les fixer, nous pouvons affirmer que ceux qui se sont intéressés à leur orthographe (lexicographes et grammairiens) étaient de bons phonéticiens ; d'ailleurs, ce sont eux qui nous ont transmis, tant bien que mal, le rapport existant entre l'écrit et l'oral. BIBLIOGRAPHIE Auteurs étudiés : -ALEMAN Mateo, vol.1897, 1609.

C. Orozco-sebastián-;-tesoro-de-la-lengua-castellana-o-española, E. De-felipe-maldonado-révisée-par, M. Camarero, . Castalia, .. Madrid et al., Epítome de la ortografia latina y castellana, 1614, María José Martínez Alcalde (éditeur), CD-Rom Textos clásicos sobre la ortografia castellana, Serie VIII. Lingüística y antecedentes literarios de la Península ibérica, María José Martínez Alcalde (éditeur), 1611.

N. Lidio, . Jiménez, A. Manuel, A. John, E. Spanish et al., Nuevo tesoro lexicográfico del español (s. XIV-1726), vol.1706, pp.1726-1737, 1990.

;. -orthographia-castellana and . Custodio, CD-Rom Textos clásicos sobre la ortografia castellana, Serie VIII. Lingüística y antecedentes literarios de la Península ibérica, Coll. Clásicos Tavera, Articles et ouvrages consultés -FRADEJAS RUEDA José Manuel, Fonología histórica del español, vol.II, p.1741, 1993.

B. Mercedes and . Saorin, Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis, est membre du laboratoire CALHISTE-EA 4242 (Cultures, Arts, Littératures, Histoire, Sociétés et Territoires Etrangers) de cette même université

, Ses axes de recherche sont la syntaxe, la linguistique comparative (espagnolfrançais) et la linguistique diachronique, Recherches Ibériques et Ibéro-américaines, coll. « Mémoires et travaux », n°3, 2008.