. Ainsi, les bienfaits de la protection des espaces littoraux portent désormais au-delà de la conservation des écosystèmes pour favoriser l'adaptation des êtres humains au milieu et assurer leur sécurité

. Cependant, Ainsi les défenseurs de l'adaptation au changement climatique critiquent-ils les associations environnementales jugées incapables de relativiser la défense des écosystèmes face à l'intérêt humain : Enfin, quand aujourd'hui, on découvre dans une parcelle un batracien remarquable, on nous dit : « Vous allez pas dépoldériser, il y a un batracien que nous n'avons encore pas vu. » Il y en a un qui a sorti ça en pleine réunion, je me suis dit : qu'est-ce qu'on sauve ? Le batracien ou la commune ? Mais

, Ces derniers s'interrogent sur la plus-value environnementale que représente l'adaptation au changement climatique. Ainsi, dans la baie des Veys, les responsables de la RNB critiquent le projet de dépoldérisation 22 tant il impose une transformation drastique de la gestion engagée en faveur de l'accueil des oiseaux migrateurs. Cette critique ne porte pas directement sur l'ambition de la dépoldérisation, Souhaitée par certains défenseurs de l'adaptation, la soumission des actions écologiques aux intérêts humains est dénoncée de manière subtile par les gestionnaires des espaces littoraux protégés

. Mettre, une continuité du patrimoine environnemental face à des enjeux de pouvoir. Cette 22. Dans la baie des Veys, le CdL prévoit de démanteler un polder situé dans la commune de Sainte-Mariedu-Mont et protégé au sein de la RNB