, habiter comme pratique des lieux géographiques », EspacesTemps. net, Travaux, 2004. J'ai également appuyé ma réflexion sur les lectures de Michel LussauLt, Chris younès et Thierry Paquot, Habiter
, et de Thierry Paquot, « Habitat, habitation, habiter : Ce que parler veut dire, 2007.
, Informations sociales, vol.123, issue.3, pp.48-54, 2005.
, Elle est donc dès le départ ancrée dans la quotidienneté de la vie sociale. C'est toujours dans cette voie que s'est inscrite la journée d'étude organisée le 22 septembre 2014 à l'Université Paris DiderotParis 7 par les représentantes des doctorants du laboratoire « Identités, Cultures, Territoires » (ICT) et intitulée « Habiter, lieux de vie et façons de vivre, La notion d'habiter est entrée dans les sciences sociales notamment grâce au deuxième tome de L'Invention du quotidien de Michel de Certeau, vol.6, pp.9-124, 1990.
, Anthropologie de l'espace -Habiter, fonder, distribuer, transformer, 2 e éd, 2007.
, cette notion est longtemps demeurée relativement peu employée en géographie. Elle a été adaptée à la géographie et largement mobilisée notamment par Fabrice Ripoll et Vincent Veschambre. Fabrice riPoLL et Vincent vesChamBre (dir.), L'appropriation de l'espace. Sur la dimension spatiale des inégalités sociales et des rapports de pouvoir, et Augustin Berque, La mésologie, pourquoi et pour quoi faire ?, Nanterre, Presses universitaires de Paris Ouest, vol.195, pp.295-304, 2000.
, « puisqu'elle figure dans le lexique, est présente dans 39 entrées (dont 22 fois en référence à l'espace), apparaissant même dans certaines des entrées majeures », elle n'apparaît cependant « jamais centrale ». Il note : « de manière significative, il n'y a pas d'entrée appropriation et à quelques exceptions près, que si « la notion d'appropriation semble souvent utile aux auteurs » du Dictionnaire de la géographie et de l'espace des sociétés, sous la direction de Jacques Lévy et Michel Lussault, pp.115-116
, , pp.1955-2018