, Renvoie à la notion d'écoute causale définie par Pierre Schaeffer, où c'est l'origine physique du son, c'est-à-dire sa source

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R. Odin, dans sa sémio-pragmatique, précise les différents modes de lecture mobilisés par le spectateur. La fictionnalisation consiste à voir un film comme un film de fiction et à mobiliser les savoirs afférents

R. Odin, De la fiction, pp.63-72, 2000.

, La mise en phase est un des processus mobilisés par le spectateur lorsqu'il assiste à un film de fiction. « Par mise en phase, j'entends le processus qui me conduit à vibrer au rythme de ce que le film me donne à voir et à entendre. La mise en phase est une modalité de la

R. Odin, , p.37

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, Loïc Prian, entretien réalisé par Rémi Adjiman le 21 mars 2012 à Paris

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, Valérie Deloof, entretien réalisé par Jean-Michel Denizart le 10 juillet, 2015.

, Selim Azzazi, entretien réalisé par Rémi Adjiman le 6 avril 2012 à Paris

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, Dans la tête d'un monteur son, film réalisé en 2010 par les étudiants du département SATIS d'Aix-Marseille Université

, Aux systèmes multicanal type 5.1 ou 7.1 se rajoute depuis 2012 de nouveaux systèmes, type Dolby Atmos, qui peuvent diffuser le son dans un espace comprenant jusqu'à 64 canaux et permettant de prendre en compte la verticalité

S. Bardet and . Jean-michel,

, On peut tout particulièrement pointer que c'est chez David Lynch que les nappes sonores ont été amenées, en premier, à une tel niveau d'expression. De nombreux ouvrages les ont analysés comme : Guy Astic, 2004.

, Au sujet de cette question

R. Adjiman and . Sons, images et narration au cours de la projection, Rémi Adjiman et Bruno Cailler (dir.), pp.101-138, 2005.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01650042

, La notion de son « inécouté » renvoie à nos deux intentions d'écoute : entendre et écouter. Nous pouvons entendre les sons sur 360°, mais nous n'écoutons que dans une seule direction de l'espace. Les sons inécoutés sont donc les sons que nous percevons sans leur prêter attention