. La-généalogie-de-la-famille, d'abord établie par mes soins, a été complétée et corrigée par M. Gerdolle, du Cercle généalogique de Nancy, que je remercie vivement

P. Labrude, Les apothicaires membres de la famille Harmant, une grande famille médicale de Nancy des XVII e et XVIII e siècles, 2018.

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, Vandoeuvre-les-Nancy, carton 131, documents 7552 et 7632, et carton 134, document 3255. Ces documents ont été transférées aux archives départementales en, 2017.

P. Labrude, Le Collège royal de médecine de Nancy, les apothicaires et l'exercice illicite de la pharmacie en Lorraine par les membres du Clergé pendant la seconde moitié du XVIII e siècle, vol.364, pp.417-430, 2009.

A. Roos and . Op.-cit, , p.172

, Vandoeuvre-les-Nancy, carton 137, document 7647, et carton 169

E. Hatton, Académie de Stanislas) de 1750 à 1793. Son histoire, son action sur la mentalité nancéienne, thèse de doctorat d'université en lettres, Nancy, 1952, 2 volumes dactylographiés, La Société royale des sciences et belles-lettres de Nancy, vol.2, p.49

J. Coste-;-né-À-villes-en-michaille and . Dans-le-bugey, Médecin-chef de l'hôpital militaire de Nancy de 1772 à 1775, il est admis à la Société royale des sciences et belles-lettres en 1774 et fait avec l'apothicaire Willemet des recherches botaniques qui seront primées et donneront lieu à la publication d'un ouvrage. A l'issue de son séjour nancéien, il poursuit une brillante carrière dans le Service de santé militaire. A son sujet, Coste Premier médecin des armées de Napoléon, pp.35-66, 1997.

A. Roos and . Op.-cit, , p.129

E. Hatton and . Op.-cit, Né à Metz en 1734, ce magistrat, élu en 1751, également membre de la Société royale de Metz, p.11

P. Labrude, . Un-pharmacien, and . Botaniste-lorrain, Mémoires de l'Académie de Stanislas, vol.19, pp.22-36, 2004.

, Extrait de la délibération du Collège royal du 5 janvier 1767-Liste de MM. du Collège royal de Nancy, 1767, Règlements et statuts médicaux du 18 e siècle

A. Roos and . Op.-cit, , p.243

, Sept autres documents indiqués dans une thèse n'ont pas été retrouvés par l'auteur de cette communication à l'occasion de la préparation de celle-ci, Les questions relatives au jardin botanique ont été relatées par le professeur J. Floquet dans deux numéros de La Lettre du Musée, vol.44, 2008.

H. Deloupy and N. Le-collège-royal-de-chirurgie-de, , pp.98-99, 1938.

D. A. Godron, Notice historique sur les jardins des plantes de Pont-à-Mousson et de Nancy, Mémoires de l'Académie de Stanislas, vol.4, p.26

. Dans-le-plan-du-jardin-dédié-À, Monseigneur le Duc de Choiseul", dit "plan Beaupré", inséré entre les pages 36 et 37, la serre se trouve contre le mur du pan coupé, à l'angle de la rue Neuve-des-Casernes et du chemin de la Grille

F. Trépardoux, Philippe-Nicolas Pia (1721-1799) échevin de Paris, pionnier du secourisme en faveur des noyés (seconde partie), vol.316, pp.374-384, 1997.

A. ;. Larcan, . Harmant, and N. De, Histoire de la Société royale de médecine, avec les mémoires de médecine et de physique médicale, tirés des registres de cette société, Histoire des idées et développement de la réanimation respiratoire au XVIII e siècle, vol.7, pp.168-172, 1785.

L. Hn-(hahn and L. , Harmant (Dominique-Benoît), Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, Masson, Asselin et Houzeau, Paris, 1886, 4 e série, vol.12, pp.475-476

F. Metz-noblat, . De, and L. Thomas, Livres-archives, pp.471-472

, L'auteur signale une seconde fille que je n'ai pas trouvée dans le dossier des archives départementales, p.68

. Archives-départementales-de-meurthe-et-moselle, , vol.36

A. Petiot, Les Lorrains et l'Empire, Dictionnaire biographique des Lorrains et de leurs descendants au service des Habsbourg de la Maison d'Autriche, Mémoires et documents, Versailles, p.235

, Mademoiselle Harmant se prénommerait Marie-Anne Stanislas, et elle aurait épousé le chirurgien Jean-Baptiste Lamoureux, ce qui est faux. Il doit y avoir confusion partielle de prénom avec une soeur de Dominique Benoît

L. , Lamoureux est, selon Pillement (référence 3), qui s'appuie sur le contrat de mariage du 10 février 1767, une demoiselle Armand

F. Cité-dans-hacquin, Un tel mariage me semble de toute façon impossible en raison des moeurs de l'époque et du caractère de D.B. Harmant : d'un côté une famille en vue dont certains membres jouissent de l'anoblissement, et de l'autre, un fils de brodeur, seulement chirurgien, membre d'une profession qui n'est pas en meilleur terme avec celle des médecins et, comme nous l'avons vu, avec le docteur Harmant. Une telle union n'aurait pourtant pas été socialement mauvaise, Histoire de l'art des accouchements en Lorraine des temps anciens au XX e siècle, thèse de doctorat en médecine, p.116, 1978.

C. Courbe, Promenades historiques à travers les rues de Nancy au XVIII e siècle, à l'époque révolutionnaire et de nos jours, pp.402-404

A. Roos and . Op.-cit, , p.69

A. Larcan, J. Floquet, P. Labrude, and B. Et-legras, Le patrimoine artistique et historique hospitalo-universitaire de Nancy. Etablissements hospitaliers et Facultés de soins (médecine, pharmacie, odontologie), Collège royal des médecins, jardin botanique, Société royale des sciences et belles-lettres, pp.76-77, 2012.