N. Au-même, Enfin, l'ensemble du comblement peut être daté de la fin du ii e s. ou de la première moitié du iii e s. À Rezé toujours, rue Saint-Lupien, A. Plouhinec a fouillé en 1963 un autre puits (diamètre : 0,60 m-0,90 m ; profonètre : 0,60 m-0,90 m ; profon-0,60 m-0,90 m ; profonm-0,90 m ; profon-0,90 m ; profonm ; profonm ; profon-; profon-profondeur : 4,95 m), dans lequel ont été recueillis « des rondelles ou disques de bois, d'un diamètre moyen de 65 mm, d'un aspect assez analogue à celui des bondes de barriques, mais pourvus d'un trou central. Plusieurs exemplaires de ces disques de bois portent, Alain Plouhinec a par ailleurs observé un « cep de vigne assez bien conservé, p.131, 1961.

. Marlière, Deux autres mentions proviennent de l'agglomération antique de Blain. En 1872, au chemin des Noyers, la fouille d'un puits (diamètre : 1 m ; profondeur : > 3 m) a permis d'observer « une bonde et des fragments de douves (?) de barriques », dans un contexte qui réunit des éléments datables de l'ensemble du i er s. apr, Le comblement intervient à la fin du ii e s. ou dans la première moitié du iii e s. Ces éléments, considérés initialement comme des bouchons d'amphores vinaires (Bousquet, p.168, 1965.

. Marlière, En août 1900, au Bottier et à l'occasion de la construction d'une gendarmerie, J. Revelière assiste à la fouille d'un puits (diamètre : 1,50 m ; profondeur : 6,50 m), dans lequel il recueille « une sorte de piquet d'environ 1 m de long ressemblant un peu à un pied de vigne (?) (et) une bonde et des douelles de barrique ». Les fragments de céramique associés situent l'ensemble dans le courant du i er s., avec une obturation définitive dans la seconde moitié de ce siècle, p.178, 1903.

. Marlière, , p.55, 2002.

À. Enfin, ;. Rouen, and . Lequoy, rue des Arsins, c'est un fond de tonneau qui a été identifié, mais non décrit avec précision, dans une maison reconstruite après un, p.119, 2002.

, Marlière d'un important centre de fabrication de tonneaux au niveau de l'estuaire de la Loire reste fondée, en appui sur une logique de distribution commerciale de marchandises, sur l'existence avérée de nautes à Nantes (CIL, XIII, 3105, 3114) ou encore sur une inscription évoquant des tonneliers (Marlière, Malgré quelques révisions relevant des interprétations (Rezé) ou des datations (Blain), l'hypothèse émise par É, pp.236-238, 2001.

. Santrot, Les éléments recueillis à Blain, à Rezé et à Rouen plaident en tout cas, s'il en était besoin, pour une utilisation de tonneaux dans l'ouest de la Lyonnaise. S'y ajoute la découverte en 1823, au sein de l'agglomération antique de Saint-Just-sur-Dive (Maine-et-Loire), à la frontière entre Andécaves et Pictons, d'un ensemble d'outils, daté des ii e -iii e s., d'un charpentier et tonnelier (Provost, 1988b, En revanche, nous devons évidem-39 et 1993, p. 213), pp.170-174, 1993.

, AMPHORES Des ateliers de production d'amphores ont été mis en évidence dans plusieurs cités avoisinant celles qui correspondent à notre cadre d'étude, notamment chez les Pictons (fig. 129), Une partie des amphores recueillies dans un Fig. 138 -L'inscription de Nantes, 2000.

, contexte de quartier à vocation artisanale et domestique, de type Dressel 2/4, a vraisemblablement été produite sur place, entre la fin du i er s. et le milieu du ii e s., avec des céras., avec des céramiques communes tournées et modelées. D'autres formes, plus diversifiées, ont été fabriquées ailleurs, 2000.

, ), ont confirmé l'existence d'une production et d'une diffusion importantes de Dressel 2/4 et de Gauloise 4 à engobe blanc, ainsi que, pour le premier type, d'un nouvel atelier de fabrication au sein de l'agglomération de Gourgé, L'une des amphores, variante de la forme Gauloise 4, a révélé des traces de poix témoignant sans doute de son utilisation pour le transport du vin (Formenti, p.241, 2000.

, apparaissent dès le deuxième quart du i er s., se font plus abondantes dans le troisième quart du i er s, 2008.

. Pirault, Enfin, l'atelier de la Bourderie, en périphérie sud de l'agglomération de Rezé/Ratiatum (Loire-Atlantique), a également produit, vers le milieu du ii e s. et aux côtés de céramiques communes et de figurines en terre cuite, des amphores de transport d'une capacité de 18 à 40-45 litres, caractérisées par un col en entonnoir et un engobe rouge, mais des analyses récentes semblent indiquer qu'elles transportaient des céréales non transformées si l'on en juge par la présence d'amidon dans les fonds, pp.173-174, 1997.

. Centre, des Turons et des Bituriges), des centres de fabrication d'amphores sont désormais bien attestés à Chartres, 1993.

C. Mougon, , 1986.

. Schweitz, La découverte récente, à Rennes (fouilles de la place du parking Hoche), de nombreuses amphores Dressel 2/4 et Pascual 1, principalement datées du début à la fin du i er s. (Labaune, 2008), souligne d'ails. (Labaune, 2008), souligne d'ailleurs ici l'importation de vin du Centre et donc l'apparition précoce de vignobles dans ce secteur, Sans entrer dans le détail, la production d'amphores régionales semble bien débuter ici dès l'époque tibérienne (amphores de type Pascual 1 et Dressel 2/4) et se poursuivre, avec un ample répertoire de formes, jusqu'à la fin du iii e s, pp.125-127, 1986.

. Dans-l'ouest-de-la-lyonnaise-;-la-sarthe, cité des Cénomans), seuls les ateliers de La Bosse ont produit et diffusé à l'échelle de la cité, durant la seconde moitié du ii e s. et le iii e s., une petite quantité d'amphores qui s'appas., une petite quantité d'amphores qui s'apparentent à la forme Gauloise 12 ou à des types originaux (Guillier, 1997, les attestations d'ateliers de fabrication d'amphores restent rares, p.250