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J. Verlaguet, Doat 2911 : Ce testament de Henri II, daté de 1301, nous est connu par une copie du 15 août 1302. Il a également fait l'objet d'un vidimus en 1408, insistant sur les clauses concernant le Carladès (Ibid, Doat 2963 et 3074-extrait avec généalogie partielle des comtes de Rodez et d'Armagnac-)

. Dans-le-cantal and . Sud-de-mauriac,

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, Voir Figure n° 2

, Voir Figure n° 2

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. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A, vol.80

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. Bernard-guillemain, , pp.195-218

. Ibid, A 72, f° 40r°-41r° (5 juillet 1323). Voir Figure n° 7

. Ibid,

. Ibid,

. Ibid, Brengarius Mancipii de Bornazello domicellus, filius Petri Mancipii militis

. Ibid,

. Ibid, A 72, f° 149v° (1340) : venerabilis vir dominus Ramundus Mancipii de Bornazello legum professor

. Ibid,

. Ibid, A 73, f° 54r°-56r° (3 décembre 1347). Voir Figure n° 7

A. Landès-mallet, , p.284

. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A, vol.71, pp.38-39, 1310.

. Ibid,

B. Derouet, , p.390

. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A, vol.80

. Ibid, , pp.350-351

. Ibid,

. Ibid, A 80, f° 458r°-459r° (14 mai 1399). Voir Figure n° 5

B. Derouet, Parenté et marché foncier à l'époque moderne : une réinterprétation, Annales, Histoire, Sciences Sociales, 56 e année, p.350, 2001.

. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne,

L. Néanmoins, . Frérage-usité-en-bretagne, and . En, Normandie dans les familles nombreuses institue clairement un héritier préférentiel, souvent l'aîné, qui peut bénéficier du préciput des deux tiers et qui exerce une autorité sur ses frères ou cohéritiers afin d'assurer la cohésion lignagère (Robert Fossier, La société médiévale, p.292, 1994.

. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A, vol.73

, un fief doté de pouvoirs juridictionnels, l'indivision ne consiste pas seulement à s'en partager les revenus, mais aussi à en assumer individuellement les charges. Or, cette situation peut se révéler trop complexe pour être maintenue bien longtemps. Aussi, l'indivision n'est souvent qu'une étape temporaire avant un démembrement ou une reconcentration entre les mains d'une des branches familiales à la génération suivante

, Bertrand de Capluc fait donc une reconnaissance au vicomte Gaston de Fézensaguet pour les deux tiers des forteresses de Balme Rousse et du Fournel 80, En, vol.1323

. Après, E. Deux-fils, and M. Ratier, toujours habitants de Millau, rendent un aveu commun le 12 avril 1348, toujours pour la moitié du castrum 82. Cependant, à la génération suivante, l'indivision est abandonnée en faveur d'une partition. En 1350, le fils d'un des deux frères

, Même si dans les reconnaissances de 1384-1386 la primogéniture féodale l'emporte aussi pour eux, un quart de ces roturiers recourent au partage ou à l'indivision. Au début du XIV e siècle, ces pratiques bien que minoritaires étaient déjà plus répandues dans ce milieu que dans celui des nobles 84. A la fin du XIV e siècle, un marchand de Rodez, originaire d'Entraygues, Pierre de Firminhac, nunc habitator Civitatis Ruthene, reconnaît des biens féodaux dans la paroisse Saint-Félix-de-Rodez, hérités de son père Astorge de Firminhac qui était prêtre et qui les avait achetés du noble Bégon La Roque : « per dominum Austorgium de Firminhaco presbitrem, patrem meum, a nobili Begone La Roqua, domicello, et que michi pertinent causa donationis facte per dictum patrem meum » 85. Il a un frère, Dans nos sources, des familles non nobles apparaissent. Dès la fin du XIII e siècle, des marchands, des officiers, des notaires, des prêtres, voire des ruraux enrichis acquièrent des fiefs ou des parts de fief

. Ibid,

. Ibid,

. Ibid, A 71, f° 99rv° (4 septembre 1323) : Stephanus Raterii senior de Amilhano, dominus pro medietate castri de Sancto Verano, filius et heres universalis domini Stephani Raterii de Amiliano condam

. Ibid, Stephanus et Marquesius Raterii fratres ville Amiliani, vol.12, pp.52-53

. Ibid, A 74, f° 67v°-68v°, vol.4

D. Lett, et A.-M. Landès-Mallet, op. cit, pp.270-271
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01173244

. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A 80, f° 30rv° (27 juin 1384) et f° 186v°-187r°

. Ibid,

, Ces indivisions cachent parfois la réussite plus affirmée d'un des rameaux de la même maison. En 1341, les frères Raimond et Jean Hébrard du Bourg de Rodez, fils de feu Gaillard Hébrard, marchand du même Bourg

. Ibid, A 76, f° 71rv° (10 juillet 1362) : ut tutor et tutorio nomine liberorum Hugonis Deodati condam

. Ibid, A 71, f° 82rv° (27 novembre 1316) et f° 168r° (15 septembre 1323) : filius et heres condam Bertrandi de Galtairesco domicelli

. Ibid, A 71, f° 42v° (29 mars 1311 n. s.), f° 86v°-87r° (27 novembre 1316) et f° 162r° (15 septembre 1323)

. Ibid, A 71, f° 35v°-36r° (23 décembre 1310) et f° 161v°-162r° (15 septembre 1323)

. Ibid, A 71, f° 41v°-42v° (29 mars 1311 n. s.), f° 84v°-85r° (27 novembre 1316), f° 160v°-161v° (15 septembre 1323) et A 74, f° 38r°-39r° (9 avril 1348). Voir Figure, vol.8

, On aurait affaire ici à une forme de bilatéralité « imparfaite » : Anna Bellavitis, Famille, genre, p.45, 2008.

. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A, vol.73

. Ibid, A 80, f° 184v°-185v° (27 février 1392 n. s.) et f° 273r°-274r°

. Ibid, A 72, f° 155rv° et f° 155v° (26 février 1341 n. s.) : filii et heredes deffuncti Galhardi Ebrardi mercatoris Burgi Ruthene. Les reconnaissances féodales révèlent aussi les conflits entre frères et soeurs. En 1323, Bernard Daval, frère d'Hélène Daval

. Soulhols, Hélène Daval, fait mention de cette contestation, alors même qu'il reconnaît tenir des domaines importants en fief franc et libre et en moyenne justice, de facto en complément de légitime 106. Les filles sont considérées comme majeures, en fait nubiles, à douze ans. Mais, elles 96 Ibid, vol.76

. Ibid, Durantus et Guillelmus Nathas fratres de Burgo Ruthene, filii et heredes Duranti Natas vita functi, vol.22, pp.67-68

. Ibid,

A. Landès-mallet, , p.161

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. D. Arch and . Du-tarn-et-garonne, A 80, f° 160v°-161v° (5 mai 1386) et f° 187v°-189r°

. Ibid, A 80, f° 160v°-161v° (5 mai 1386) et f° 192r°-193v°

A. Landès-mallet, , pp.75-320

. Ibid, La proportion est similaire dans la bourgeoisie vénitienne, puisque les dots au premier mariage sont faites d'immeubles dans 26% des cas, et richesse des femmes à Venise au XVI e siècle, Clio Histoire, femmes et sociétés, p.90, 1998.

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, de Bagnars et d'autres biens dans celles de Florentin et de Ginolhac dans la baylie d'Entraygues, dont quelques uns nomine Beatricis de Candezas uxoris mee, a qua, nomine dotali, habeo mansos, territoria, possessiones et redditus (Arch. départ. du, vol.72

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