, ancienneté et de l'importance de leur origine, 2007.

T. Respectivement and . Vi, , p.333, 2012.

, OECT 9 42, vente d'une prébende en 187-175, qui fait allusion à l'invervention, en 209-208, de ces deux personnages, p.334, 2012.

, BiMes, vol.24, issue.54, p.339, 2012.

, BaM beih, vol.2, p.118

, Tablette inédite BM 114408 citée par Monerie, p.340, 2012.

. Monerie, , p.347, 2012.

«. Antiochos, . Dieu-Épiphane, and . Sauveur-de-l'asie, Le terme ktiv sth" -« fondateur » -qui est accordé au souverain, peut avoir deux sens : il peut désigner un fondateur de cité ou bien un bienfaiteur dont les largesses sont telles qu'elles équivalent à une deuxième fondation de la cité 160 . Mais, comme L. Robert l'a rappelé à plusieurs reprises 161 , ce mot peut aussi s'appliquer, à partir de la basse époque hellénistique, à un fondateur d'édifices. Or, si l'on en croit les données archéologiques, le théâtre de Babylone a été remanié au début du II e s. 162 . Peut-être cette restauration de grande ampleur est-elle à mettre au crédit d'Antiochos IV. Si Antiochos IV n'a pas fondé la cité grecque de Babylone, il lui a donc témoigné un intérêt particulier. En divers points de son royaume, Antiochos IV a offert aux notabilités désormais hellénisées un cadre de vie grec -celui de la cité. Le parallélisme entre les évolutions repérées à Jérusalem et à Babylone est à cet égard frappant. À l'époque hellénistique, les Grecs ont une idée claire de la manière dont une cité doit s'édifier. Les lettres royales envoyées par Eumène II aux habitants, puis aux citoyens de Tyriaion en Phrygie après 188 la font connaître en détail 163 : pour le souverain attalide, une agglomération qui envisage de devenir une cité, doit se doter d'un corps civique et de ses propres institutions ; il lui faut aussi adopter des lois, mettre en place un Conseil, des magistrats et répartir la population civique en tribus, ) 159 et fournit une date précise, celle de la 146 e année de l'ère séleucide, p.509, 2005.

, 2-4 : Basileuv onto" j Antiv ocou q»eou` j Epifanou"¼ swthro" th" j Asiv a" kai ktiv s»tou kai; euj ergev tou¼ th

, En ce sens, Théophane et Pompée ont été regardés comme des fondateurs par la cité de Mytilène : voir Robert, pp.49-52, 1969.

. Voir and . Bull, , p.116, 1948.

D. Le-théâtre, Babylone a été remanié à cette époque. Voir à ce sujet Bergamini, 2011.

, Peut-être est-ce à ces travaux financés par le roi que fait allusion OGI 253. Nous en reprendrons l'analyse dans une étude à venir

. Voir, Eumène aux habitants de Tyriaion, qui décrit la formation d'une polis : SEG 47, 174. Se reporter à l'editio princeps de Ricl et Jonnes (1997) et surtout à l'étude critique de Ph. Gauthier, p.509, 1999.

, Il est bien connu à Jérusalem par la description qu'en donne, sur un ton indigné, l'auteur du Deuxième livre des Maccabées 165 . Babylone possède également le sien 166 . Les autres institutions propres à la cité apparaissent peu, tant dans les textes concernant Jérusalem que dans ceux provenant de Babylonie. Mais au début du II e siècle, la documentation cunéiforme commence à mentionner des pu-li-te-ei 167

;. Ameling and . Ma, rapproché l'inscription de Tyriaion de 2 Macc, vol.4, pp.9-12, 2003.

. Macc, l'auteur de 2 Macc. refuse avant tout le gymnase et considère comme particulièrement dangereux les projets éducatifs de Jason, parce qu'ils auraient conduit à effacer un des « marqueurs d'identité » qui sépare Juifs et non-Juifs. Ce n'est pas l'interprétation de Kennell, vol.4, p.111, 2005.

, n°1) mentionne une palestre et l'éphébie : inscrite sur argile, elle donne la liste d'éphèbes et neoi victorieux à différentes épreuves, Voir en dernier lieu la réédition et le commentaire de Merkelbach et Stauber, pp.114-115, 2005.

. Le and . Dans-la-chronique-de-bagayasha, Van der Spek donne une première transcription à l

, chronique de la communauté grecque. Mais il ne s'agit que de traces, BCHP, vol.14

B. Chronique-de, BCHP, vol.18

S. Roussel, Elle est peut-être le signe que des descendants des soldats d'Alexandre se sont installés dans la ville de Mésopotamie et y ont mis en place des institutions typiques de leur région d'origine. Celles-ci se seraient maintenues, sous une forme difficile à préciser, jusqu'à l'époque parthe, 1942.

, Les tablettes cunéiformes qui nous sont parvenus, émanent -rappelons-le -d'une petite partie de la population babylonienne. Leurs rédacteurs n'avaient pas à s'intéresser à des sanctuaires consacrés à d'autres dieux que les leurs