D. Cassius and H. Romaine, XLIX, 16, 1. Mais la cooptation n'a pas eu lieu juste après la guerre de Sicile, comme l'indique Dion Cassius

C. and V. , , 1978.

, Rüpke pensait que Cotta aurait pu succéder à son père Corvinus en tant qu'augure, pp.802-803, 2005.

J. Dans-son-Étude-prosopographique-des-amici-principis, Crook mentionne Aurelius Cotta (n o 49, p.153, 1955.

. Nous-n-'utilisons-pas-le-terme-d-'aula, Caesaris qui serait ici anachronique, puisque sa première attestation date du début du principat de Claude. Certes, le terme d'aula est utilisé par Tacite, mais c'est parce qu'il emploie la formulation de son époque pour une réalité plus ancienne, et Fr. Hurlet, pp.195-203, 1999.

. Fr and . Hurlet, , p.144, 2000.

, Tacite, issue.1

. Suétone, . Tibère, and . Lxx,

. Ovide and . Pontiques, 181. R. Syme, p.90, 1978.

A. Winterling, , pp.161-194, 1999.

. Fr and . Hurlet, ) a montré l'influence des sénateurs, à l'époque julio-claudienne, p.175, 2001.

. Papyrus-d-'oxyrhynchos, Messallinus a occupé une place de premier plan également sous le principat de Tibère, 2435.

C. Suétone and X. Fos, , p.774

. Ovide, . Pontiques, and . Ii, , pp.1-4

. Tacite and V. Annales,

. Bücheler, . Cil, and . Xiv, M(arcus) Aurelius Cottae / Maximi l(ibertus) Zosimus / accensus patroni / libertinus eram, fateor, / sed facta legetur / patrono Cotta nobilis umbra mea, / qui mihi saepe libens census donauit / equestris, qui iussit natos / tollere quos aleret, / quique suas commisit opes / mihi semper et idem dotauit / natas ut pater ipse meas, / Cottanumque meum produxit / honore tribuni, quem fortis / castris Caesaris emeruit . / Quid non Cotta dedit? Qui nunc / et carmina tristis haec dedit, tumulo conspicienda meo. / Aurelia Saturnina Zosimi. «Marcus Aurelius Zosimus, affranchi de Cotta Maximus, 1949.

J. Le-concède, C'est lui qui m'a, de bon coeur, gratifié plusieurs fois d'une fortune égale à celle d'un chevalier; lui qui m'a autorisé à reconnaître mes enfants, pour pouvoir les élever; lui qui m'a toujours confié l'administration de ses richesses et a aussi doté mes filles comme un véritable père; il a fait obtenir à mon petit Cottanus le grade de tribun [légionnaire] , grade dans lequel Cottanus a servi avec bravoure l'armée de César. Que Cotta ne nous a-t-il point donné? C'est lui qui

O. Salomies, , p.86, 2008.

S. Demougin, , p.232, 1992.

S. Demougin, , p.654, 1988.

C. S. Sur-ce-type-de-recommandation and . Demougin, , pp.304-305, 1988.

, Contrairement à certains (voir notamment nous ne pensons pas qu'il fut tribun des cohortes prétoriennes, p.60, 1968.

, Sur le terme d'honores, introduit dans l'armée, voir S. Demougin, p.283, 1988.

S. Demougin, , p.81, 1988.

. Chr and . Badel, , pp.169-170, 2005.

C. 'est-le-cas-notamment-de and E. Galletier, Cette poésie versifiée est très prisée au I er s. grâce, entre autres, à l'élégie romaine, Z. Popova, p.57, 1922.

E. Galletier, , p.154, 1922.

. Macrobe, Saturnales, I, 9, 14. Il a été augure pendant cinquante-cinq ans

, De la nature des dieux, I, Cicéron, p.15

D. Palombi, , p.65, 1995.

A. La-forme, Ilua est également acceptée par l'édition, p.37, 1990.

. Ovide and I. Pontiques, 216. A. M. Andermahr, pp.83-84, 1488.

H. Sur-ce, V. Broise, and . Jolivet, , pp.747-761, 1987.

, Sur les mentions de l'éloquence de Cotta, cf. A. Balbo, p.23, 2007.

L. Sources-sont-nombreuses-À-en-faire-l-'écho and H. , Art poétique, 366-373 de son vivant. Le souvenir de son éloquence perdure après sa mort, voir notamment : Quintilien, Institution oratoire, X, 1, 113. Quintilien établit une correspondance entre la nobilitas et l'éloquence de Messalla Corvinus : at Messala nitidus et candidus et quodam modo praeferens in dicendo nobilitatem suam

. Ovide, . Pontiques, and . Iii,

, Sur l'importance de l'éloquence et sur l'hérédité de cette uirtus, consulter Chr, Badel, pp.173-175, 2005.

. Ovide and I. Pontiques, Le discours aurait été tenu devant la iudicio centumuirali (vers 23-24), pp.3-16

. Ovide, . Tristes, and . Iv, , pp.1-8

, Tacite, issue.2

. Juvénal, . Satires, and . Vii, Cf. R. Syme, pp.94-95, 1986.

. Perse, . Satires, and . Ii, Quin damus id superis, de magna quod dare lance/ Non possit magni Messalae lippa propago? «Que ne donnons-nous aux dieux ce que ne pourrait leur donner sur un grand plat la progéniture aux yeux malades du grand, Ce passage est également cité dans les Institutiones grammaticae (II, pp.71-72

, Commentum Cornuti in Persium in Satiram II, pp.71-72

. Pline-l-'ancien and . Histoire-naturelle, , pp.27-52

. Ovide and I. Pontiques, Redde uicem, nec rara tui monimenta laboris/ Accipiant nostrae grata futura manus. «Paie-moi de retour et que mes mains reçoivent souvent les témoignages de ton travail, qui me seront toujours agréables» Nous ne connaissons que ces ouvrages spécifiques. Nous ne savons pas s'il a écrit de la poésie ou des traités, pp.35-36, 1956.

. Ovide, . Tristes, and . Iv, , pp.11-12

, Pour de plus amples informations sur ce point, cf, pp.416-417, 2000.

. Juvénal and V. Satires, , p.52, 1956.

. Ovide and I. Pontiques, «Tu es devenu un ami, pour moi tu le fus à ta naissance, que je t'ai donné dans ton berceau mes premiers baisers, et que, pour avoir toujours honoré ta famille depuis mes tendres années, je suis par force un fardeau pour toi depuis longtemps», pp.71-74

. Ovide, . Pontiques, and . Ii, , pp.81-82

, C'est son premier recueil de lettres d'exil (ce n'est pas un exil proprement dit car il conserve ses biens, il est préférable de parler de relegatio) Elles sont composées en trois ans et demi

, Contrairement au premier recueil, les noms des destinataires sont énoncés. Les épîtres sont rédigées entre 13 et 16. 240. Ovide, Pontiques, I, pp.27-28

R. Syme, Syme invite à minimiser les relations entre le mécène et le poète. Effectivement, elles ne sont pas exclusives car Ovide a participé à différents cercles littéraires : R. Syme, 242. R. Syme, pp.75-76, 1978.

. Ovide, Pontiques, I, 5; I, 9; II, 3; II, 8; III, 2 et III

I. Dans-la-lettre,

D. Voisin, , p.415, 2000.

P. I. Ovide,

. Ovide, . Tristes, and . Iv, , pp.7-8

2. R. Syme, par Tacite en est l'expression la plus visible. L'historiographie s'est donc détournée de ce noble, alors que son cas montre l'adaptation de l'antique noblesse aux profondes mutations opérées. Cotta illustre parfaitement les fondements de la nobilitas romaine et son moyen de gouverner, décrits par R. Syme : «Les nobiles maniaient et détenaient trois armes, la famille, p.26, 1967.

, Cyrielle LANDREA

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