, Graphique, vol.8
, Blanc à partir des comptes d'affectation du revenu primaire des SNF, 2010.
, le taux de croissance annuel moyen des salaires « super brut » des SNF a été de : (1,92 1/28 -1) = 1, 35%. Celui du Cac, vol.4054, issue.1, pp.28-29, 1988.
, ses conclusions, concernant les sociétés du CAC 40, donnent une vue de l'évolution qui n'est pas très éloignée de notre analyse portant sur l'ensemble des SNF. Les critiques qui lui sont adressés (celles de P. Gattaz dans sa conférence de presse du 15 mai 2018, ou de Hervé Joly : « Les actionnaires, petits ou gros, sont-ils si bien traités » dans Acteur de l'économie, la Tribune) sont souvent indigentes, trahissant l'ignorance de leurs auteurs des bases de l'analyse macroéconomique, Conclusion Si on peut reprocher au rapport Oxfam un choix pas toujours très pertinent des indicateurs utilisés Leurs critiques sont encore plus « biaisées et politique » pour reprendre les mots du président du Medef. Reste que pour porter un jugement éclairé sur les évolutions de la part des dividendes des sociétés du CAC 40, il faudrait reprendre leurs données dans le cadre unifié et précis de la comptabilité nationale. Emmanuel Blanc, 2018.
, Indice d'évolution de la moyenne annuelle (cours le plus haut et le plus bas) du Cac40 et indice de l'évolution du salaire moyen des SNF Indice DI/n Indice moy, p.40