L’esthétique loufoque chez Éric Chevillard - Archive ouverte HAL Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue @nalyses Année : 2011

L’esthétique loufoque chez Éric Chevillard

Résumé

Les récits d’Éric Chevillard appartiennent sans conteste à la catégorie des « fictions joueuses » décrites par Bruno Blanckeman (2002, p. 61) en ce qu’ils entretiennent un rapport ambigu avec la littérature, souvent détournée au moyen de la parodie, du pastiche ou d’une esthétique loufoque. Cet article propose un petit essai de typologie du loufoque chez Éric Chevillard au travers de trois œuvres, Du Hérisson (2002), Le Vaillant Petit Tailleur (2003) et Oreille rouge (2005), dans lesquelles on identifie cette pratique du détournement générique. Il met ainsi en évidence trois traits majeurs du loufoque : l’incongru, le détournement des topoï et l’écriture sérielle.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-01720183 , version 1 (28-02-2018)

Identifiants

  • HAL Id : hal-01720183 , version 1

Citer

Servanne Monjour. L’esthétique loufoque chez Éric Chevillard. @nalyses, 2011, 6 (2), pp.195--218. ⟨hal-01720183⟩
22 Consultations
0 Téléchargements

Partager

Gmail Facebook X LinkedIn More