«. Le-terme-appartient-À-la-théologie-catholique,-selon-laquelle-le-prêtre-célébrant-l-'eucharistie-est, C. ». Voir, «. Balzac, and ». , (« à moins que ce ne soit la farce elle-même qui écrive, comme en personne ») et Rimbaud le fils, 89 : « être la poésie personnellement ». 15 Corps du roi, « Corps de bois, pp.34-45, 2004.

L. Échenoz, Occupation des sols, Minuit, p.7, 1988.

. Est-capable.-d-'où-sa-«-théologie-de-la-métaphore-31, Qu'est-ce qui relance sans fin la littérature ? Qu'est-ce qui fait écrire les hommes ? Les autres hommes, leur mère, les étoiles, ou les vieilles choses énormes, Dieu, la langue ? Les puissances de l'air le savent. Les puissances de l'air sont ce peu de vent à travers les feuillages 32 ». Par son insignifiance même, « ce peu de vent » exprime l'impossibilité de montrer ce que vise le texte. Ce procédé est déjà dans la Bible 33 . Le sublime est la basse continue du style de Michon. Il ne fait que de rapides apparitions dans l'oeuvre d'Échenoz 34 . Le premier poursuit la tradition héroïque de la modernité

L. , «. , and ». Évoque-l-'imaginaire-de-simon, Rendue évidente par l'adjectif « composite », la référence à Flaubert s'impose. Mais si pour Flaubert, « la laideur muette » des choses a les « profondeurs d'expression » du « visage d'un imbécile », il n'est pas sûr qu'Échenoz s'attarde beaucoup à l'exploration de telles profondeurs. La question posée est insoluble : faut-il respecter le beau bâtiment moderne ou le soumettre à l'emprise d'une déconstruction consciente de ses impasses ? En réalité, le style d'Échenoz a tranché : il pratique la citation comme un hommage

. En-cela-Échenoz-rejoint-michon, consolatrice, en pratique, ils ne le rejettent pas tout à fait : ce serait couper la branche sur laquelle ils sont assis. L'oeuvre reste donc pour eux cet événement d'où l'art procède. Or tel est bien le principe cardinal de la fable moderne, la source de sa légitimation : à l'horizon de toute action humaine

. Voir-aussi-michon, écriture absolue, textes rassemblés et présentés par Agnès Castiglione, Saint-Étienne, p.110

L. Seigneur-dit-et-tiens-toi-sur-la-montagne,-devant-le-seigneur-;-voici and L. Seigneur-va-passer, Il y eut devant le Seigneur un vent fort et puissant qui érodait les montagnes et fracassait les rochers ; le Seigneur n'était pas dans le vent Après le vent, il y eut un tremblement de terre ; le Seigneur n'était pas dans le tremblement de terre Après le tremblement de terre, il y eut un feu ; le Seigneur n'était pas dans le feu. Et après le feu le bruissement d'un souffle ténu. Alors, en l'entendant, Élie se voilà le visage avec son manteau ; il sortit et se tint à l'entrée de la caverne, pp.11-13

. Je-marche-jusqu, je trouve que je suis trop fatigué Je décide de rebrousser chemin. » (Jérôme Lindon, op. cit., p. 63) Ces dernières phrases reprennent l'épigraphe du livre : « Un jour de neige, c'est lui qui descendit tuer le lion dans le réservoir Entre le vieux prophète, l'éditeur et l'auteur s'instaure un jeu de miroir qui relève du sublime. 35 La phrase est-elle volontairement incorrecte ? Est-ce une coquille ? On comprend mal le sens, 20) » (id