. Il-n-'aime-guère-les-discours-de-victoire, Dès qu'une victoire se dessine quelque part, il a envie de se porter ailleurs (s'il était dieu

. Le-texte-m-'évoque-le and . De-deleuze, Comme tout grand amoureux de la langue, Barthes rêve à son dehors, à un ailleurs. Pour s'autoriser ce « délire », il a cru bon de reprendre un mythe : celui de l'origine viciée de la langue, compromise avec le pouvoir. Ce n'est qu'une variante laïque, sectorielle, du péché originel. Les intellectuels qui ont marqué les fameuses années 68 ont aimé le délire. Ils savent les chemins qu'il ouvre à la pensée. Aujourd'hui, les esprits, réalistes ou chagrins

L. 'honnête-homme-sait-vivre, Il se garde bien de s'en enquérir et encore moins de l'y obliger En dehors de ces situations limites, l'imposture relève de la petite monnaie de la polémique. La littérature moderne invite quant à elle à une compassion critique qui est aussi une forme de quiétisme. Il s'agit de se laisser envelopper par la faille que révèle le texte à l'occasion de son discours sur l'imposture ; de laisser agir et « s'élargir » en soi le défaut d'une énonciation ? jusqu'à trouver la vérité qu'il masque et vers laquelle il conduit. Pour cela, il ne faut ni refuser l'imposture