Y. En-sept-ans-de-vie-À-la-rue, Le Roux a connu deux personnes qui sont parvenues à réintégrer la société. D'après lui, ils étaient jeunes (l'âge est une donnée essentielle), motivés, et ils ont bénéficié d'un excellent parrainage individuel. Les tuteurs qui les ont épaulés ont été suffisamment habiles et disponibles pour les responsabiliser peu à peu (Le Roux, Lenderman, 1998, 178) Mais si les personnes qui viennent au secours de ceux qui sont dans une situation précaire, n'ont en tête que le souci de « normaliser » la vie des gens en situation de précarité, et ne cherchent pas à comprendre leurs modes d'action, il est fort possible que l'aide qu'elles pourront apporter sera inefficace. Les gens vivant en situation précaire savent déjà quelles sont les normes sociales et espèrent un jour vivre en les respectant, du moins en partie

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