. Principale-optative, C'est le vers 1597 : de mal fu soit ses cors espris

. La-forme-de-sa-diatribe-est-tout-aussi-conventionnelle-que-le-fond, Puis dist : « Cil qui sont entechié De si tres orrible pechié Pueent estre tot esmari ! Je meïsmes m'en esmari Quant j'en oï ore parler

T. La-variante-proposée-dans-le-manuscrit, Le roi Arthur se sent dans l'obligation de se justifier sur ses pratiques sexuelles : que n'ai cure de tel deduit et affirme que les plaisirs de Sodome ne sont pas de son goût Le fait que le roi breton se voit contraint de s'expliquer sur ses inclinations sexuelles réduit l'aura légendaire, inaltérable, qui l'entoure habituellement. On peut d'ailleurs aussi gloser dans le même passage la variante qui affecte la conjonction de coordination ou remplacée par et entre les termes feme et amie. Dans le manuscrit T, Arthur semble admettre l'amour à l'égard d'une épouse légitime comme à l'égard d'une amie, c'est-à-dire hors des liens matrimoniaux, Ces deux relations paraissent échapper à la condamnation morale du roi, et peut-être même du scribe, qui envisagerait que les relations hétérosexuelles puissent s'épanouir en dehors du mariage et de la bénédiction de l'Église. Dans le manuscrit V, la conjonction de coordination et entre les substantifs feme et