. Tous-deux-insistent-sur-la-rougeur, On notera que ces traits sont loin de connoter l'efféminement dont sont crédités aussi les danseurs. C'est que l'image du danseur efféminé et précieux, fantôme de l'aristocratie dont la danse était l'art par excellence, est constamment doublée, parfois dans la même critique (chez Gautier surtout) par celle de l'homme grossier, l'homme du peuple

L. Paradoxalement and . Danse, qui est féminité et beauté, rend les hommes efféminés, mais ne les rend pas beaux pour autant Elle les rend même encore plus laids : « parmi les hommes très laids il faut mettre au premier rang un homme qui danse 57, Jules Janin, p.49

R. Burt, The male Dancer ? Bodies, Spectacles, Sexualities, pp.22-24, 1995.

P. Perrot, ». Le-jardin-des-modes, J. Dans, and . Aron, Misérable et glorieuse : la femme du XIX e siècle, pp.101-116, 1980.

L. Janin, 29 avril 1833. 55 Ibid., 10 mars 1834. 56 T, Journal des débats, pp.10-1834