A. Collas and L. , ascension sociale des notables urbains. L'exemple de Bourges 1286-1600, à la fin du Moyen Age. La politique et l'espace, 2013.

. Voir-le-colloque-organisé-par-la-shmes-les-Élites-urbaines, . Au-moyen-age, S. H. Xxviie-congrès-de-la, P. Paris-de, E. Braunstein et al., les activités civiles et la vie urbaine dans l'espace francophone (XIIIe-XVe siècles) », dans Histoire urbaine « Les nobles et la ville dans l'espace francophone (XIIe-XVIe siècles) ou pourquoi poser un problème résolu depuis trois cent ans », dans Histoire urbaine, 2007, n°3, p. 153-170 ; A. COLLAS, L'ascension sociale des notables urbains, op. cit 5 C. VINCENT, Les confréries médiévales dans le royaume de France : XIIIe-XVe siècles Par ailleurs, la question de l'intégration urbaine étant un thème qui va de pair avec la notion d'étranger, Ea., « Structures et rituels de sociabilité à la fin du Moyen Age : bilan et perspectives de recherche », art. cit. Voir également Le mouvement confraternel au Moyen Age. France, Italie, Suisse. Actes de la table ronde de Lausanne Les immigrants et la ville. Insertion, intégration, discrimination (XIIe-XXe siècles), pp.115-129, 1985.

W. C. Quertier, R. Chilà, and N. , Au risque de l'étranger. Le protéger et s'en protéger dans les sociétés littorales de l'Europe atlantique au Moyen Age et à l'époque moderne, dans Annales de Bretagne et des Pays de l'Ouest, 2010, tome 117, n°1, PLUCHOT (dir.), 'Arriver' en ville. Les migrants en milieu urbain au Moyen Âge, 2000.

Z. and «. Le-jouteur-dans-la-ville, Un aspect des rapports entre noblesse, ville et bourgeoisie en Allemagne au bas Moyen Age, pp.161-167, 1987.

. La-thèse-d, Andrée Scufflaire permet de compléter nos informations 33 Son inventaire des fiefs directs tenus du comte de Hainaut fait apparaître plusieurs fois trois membres de la famille Rasoir

. Colart-est-cité-deux-fois,-en-tant-qu-'acheteur-et-en-tant and . Qu, héritier de biens situés à Saint-Saulve. Ses possessions sont estimées à 250 et 300 couronnes du roi. Les quatre possessions de Gilles ne sont pas estimées Celles de Jehan en revanche font état d'un patrimoine colossal. Ses possessions sont au nombre de 21 et sont évaluées à 6000 livres pour Beuvrages, 4500 livres pour Maing ou encore 1265 livres pour Quévy-le-Petit. Les descriptions fournies ne laissent aucun doute sur l'envergure des fiefs : « « Ville, terre, château et revenus de Beuvrages », « Château et forteresse dit le château Desprez ; maison, granges, écuries et édifices, basse-cour, jardins, fossés, clôtures, bois, aulnaies 34 et saussaies 35, La maison de le porkerie : maison faite de plusieurs édifices, prés, pâturages et terres labourables ». Par ailleurs, les transactions des fiefs de Beuvrages et Maing comprennent également l'intégralité des droits de haute

. Ainsi, en se portant acquéreur de ces seigneuries et des droits attenants

-. Delzant, . Relire, B. Interpréter-la-ville-dans, . Patrick, and . Genet-jean-philippe, Les stratégies d'insertion du pouvoir seigneurial urbain dans l'espace civique (Italie centrale, XIVe-XVe siècle), Marquer la ville. Signes, traces, empreintes du pouvoir (XIIIe-XVIe siècle), pp.287-307, 2013.