. Une-scholie, 6-9) ? entre le sunamfÒteroj ou sugkatatetagm?noj ¥nqrwpoj et l'¢kat£taktoj ¥nqrwpoj Ð kaqÒlou: « Ð l?gwn " Ð Kor?skoj ¥nqrwpoj " tÕ sunamfÒteron lamb£nei, tÕn sugkatatetagm?non tù Kor?skJ ¥nqrwpon ka?tÕnka?tÕn Kor?skon, ?n d tÍ " ¥nqrwpoj ?teroj Kor?skou " tÕn ¢kat£takton ¥nqrwpon tÕn kaqÒlou [celui qui dit " l'homme Coriscus " parle de <l'homme> pris ensemble, l'homme coordonné à Coriscus, c'est-à-dire Coriscus lui-même, dans l'énoncé " l'homme <est> autre que Coriscus " <il parle>, en revanche, de l'homme incoordonné, c'est-à-dire de l'homme universel] » (ANONYMUS, Commentarium II, p. 43, 15-19 = PS.-ALEXANDER II (MICHAEL EPHESIUS), In Aristotelis Sophisticos elenchos commentarium Au sujet de la distinction et de sa fortune, cf. A. C. LLOYD, « Neoplatonists'Account of Predication and Medieval Logic, Le néoplatonisme, Éditions du CNRS Commentators and Commentaries on Aristotle's « Sophistici elenchi SIMPLICIUS, Commentaire sur les « Catégories » d'Aristote, Chapitres 2-4, ed. P. HOFFMANN, Les Belles Lettres, pp.11-14, 1907.

. Petrus-hispanus-portugalensis, . Tractatus, and . Vii, Et fit talis paralogismus secundum Aristotelem : « Coriscus est tertius ab homine ; sed ipse est homo ; ergo, est tertius a se » [Selon Aristote un paralogisme de cette sorte se produit : « Coriscus est tiers par rapport à homme ; mais il est lui-même homme ; par conséquent, il est tiers par rapport à lui-même, p.142

». Munich and B. Staatsbibliothek, il est indispensable de se tourner ailleurs pour restituer ses prémisses Commentarium in Sophisticos elenchos : « Et notandum quod auctor non ponit nisi solutionem huiusmodi paralogismorum dicens [Il est à remarquer que l'Auteur ne reporte que la solution d'un tel paralogisme, là où il dit " ET QUONIAM ETC Clm 14246, f. 39ra ; Admont, Stiftsbibliothek, 241, f. 78rb) ; « " QUONIAM QUIS HOMO " , id est aliquis homo EST TERTIUS " , id est diversus a se ipso. Et per hoc habetur conclusio primi paralogismi QUONIAM QUIS HOMO " , c'est-à-dire un certain homme ; " EST TERTIUS " , c'est-à-dire différent A SE " , de lui-même. Et nous avons là la conclusion du premier paralogisme, ANONYMUS MONACENSIS ET QUONIAM ETC. ET AB UNOQUOQUE ET AB UNOQUOQUE, issue.39, pp.241-78

A. Bavaricus, Lectura super librum elenchorum : « Primus paralogismus formatur sic : " ab homine Coriscus est alter ; Coriscus est homo ; ergo, alter a se

E. Conclusionem-solum-ponit-cum-dicit, . Quoniam, and . Quis, id est aliquis est homo tertius a se et paralogizetur sicut dictum est [Le premier paralogisme prend la forme Coriscus est autre qu'homme ; Coriscus est homme ; par conséquent, il est autre que lui-même " . Aristote ne reporte que la conclusion 13937, f. 59r). (40) L'état du corpus de l'Aristote latin au moment où cette interprétation se met en place est ? sinon significativement déficitaire ? du moins amputé de toute indication subsidiare pouvant l'éclairer sur le point en question, 41) Cf. les références dans la note 2 ci-dessus