Pouvoirs et contestations à Byzance (963-1210), pp.261-285, 1990. ,
DOI : 10.4000/books.psorbonne.3837
The Glory of Byzantium (cat. expo) New York, Metropolitan Museum of Arts, pp.210-213, 1997. ,
L'auteur place la différence entre les deux soeurs sur le plan de l'apparence physique : « La princesse (Zoé) qui venait après elle (Eudocie) et qui tenait le milieu des trois, celle que j'ai vue moi-même quand déjà elle était entrée dans la vieillesse, était absolument royale de caractère, superbe de corps, d'un esprit tout à fait imposant et digne de respect [?]. Celle qui venait après celle- 11 Iôannès Skylitzès, pp.374-409 ,
The Empire in Crisis (?) Byzantium in the 11 th Century (1025-1081) Constantin Diogénès se révolte avec le soutien des Bourtzai et des Daphnomélai, c'est-à-dire les familles militaires qui ont participé à la guerre, pp.119-138, 2003. ,
quelques mois après la mort de Michel IV (décembre 1041) le coup d'Etat de 1042 n'écarte que les proches parents de Michel V. Zoé fut alors recluse dans un monastère d'où Michel V finit par la sortir sous la pression de la rue, p.117 ,
il soit plus facile de sortir Théodora de sa prison du Pétrion, située à l'intérieur de Constantinople, que de franchir la mer pour ramener Zoé est une explication donnée par les traducteurs de l'oeuvre de Jean Skylitzès ,
et avec un point de vue différent, Éric Limousin, Obtenir l'autorité du prince à Byzance au XI e siècle », dans Quaghebeur Joëlle PUR, pp.139-154, 2007. ,
Female Founders Fondation, 2008. ,
Il est connu par Jean Skylitzès, une mention dans une lettre de Léon de Synades, Épistoliers byzantins du X e siècle), lettre n°26 et un sceau Die byzantinischen Bleisiegel mit Familiennamen aus der Sammlung des Numastischen Museums Athen, pp.167-169, 1930. ,
And the Governance of Empire, pp.976-1025, 2004. ,
Iôannès Skylitzès, Synopsis?, op. cit, pp.44-388 ,
t. I, 3-II, pp.54-69 ,
7-10; Iôannès Skylitzès, Synopsis?, op. cit., p. 416, l. 70-72 : « Pendant trois jours entiers, elle réfléchit à cela, puis elle adopta pour fils le neveu de l'empereur, qui portait lui aussi le nom de Michel ? c'était le fils de cet Etienne qui avait compromis la situation en Sicile ? et qui, étant césar semblait montrer de l'énergie et de l'habileté pour les affaires. Auparavant, elle le lia par les serments les plus effrayants pour qu'il la tînt sa vie durant comme maîtresse, souveraine et mère, p.88 ,
t. I, 4-IV, p. 67, l. 5-10, Paphlagonians in Byzantine High Society Byzantina mikra Asia, pp.141-150, 1998. ,
t. I, 5-V-VII, p. 88 ; Iôannès Skylitzès, p.345 ,
t. I, 5-XVI, pp.95-96 ,
passe en revue les différents prétendants : Constantin Artoklinès puis Constantin Monomaque. A cette liste, pp.422-423 ,
apparition des juges (1 ère 1/2 du X e siècle) », dans Byzantina mikra Asia, pp.57-66, 1998. ,
Catalogue des monnaies byzantines de la Bibliothèque Nationale, II : De Philippicus à Alexis III, p.651, 1970. ,
The Empire in Crisis (?) Byzantium in the 11 th Century (1025-1081), pp.119-138, 2003. ,
« Partis et contestations : une vie politique ? » dans Ducellier Alain et Balard Michel, Constantinople 1054-1261, pp.71-83, 1996. ,
The Argument of Psellos' Chronographia, 1999. ,
Imperial Marriages and Their Critics in the Eleventh Century : The Case of Skylitzes, pp.167-169, 1992. ,
au tournant de son destin », dans Cinq Etudes sur le XI e siècle, pp.251-312, 1977. ,
The Byzantine historians on Politics and People from 1042 to 1081, Byzantion, vol.722, pp.381-402, 2002. ,
Histoire de l'Etat byzantin, 1996. ,
The Cambridge History of the Byzantine Empire (500-1492), p.583 ,
DOI : 10.1017/CHOL9780521832311
apparition des juges (1 ère 1/2 du X e siècle) », dans Byzantina mikra Asia, pp.57-66, 1998. ,
amorce de la décadence de la famille macédonienne, cette impératrice, aveuglée par la satisfaction de ses plaisirs personnels, n'arrivant pas à maintenir l'unité de la famille et son maintien au pouvoir Au mieux, l'historiographie fait de Zoé le jouet de ses maris successifs. Or, l'examen précis des oeuvres de Jean Skylitzès et Michel Psellos montre bien que derrière l'habillage rhétorique, les historiens sont conscients que Zoé représente un choix politique, un héritage des pratiques traditionnelles de la famille macédonienne : l'alliance entre la dynastie et la population de Constantinople, Seulement, les élites économiques et administratives de la ville commencent à séparer leurs intérêts de ceux de la dynastie dans les années, pp.1040-1060 ,