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W. Grajetski, ) relève que l'existence réelle de ces six maisons n'a pas été démontrée, pp.35-36

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V. J. Osing, ». Die-worte-von-heliopolis, and D. M. Görg, Fontes atque pontes, et n. c : tj n m.nf « le souverain de ce qu'il a créé, pp.352-712, 1983.

K. Jansen-winkeln, Inschriften der Spätzeit I. Die 21 122 : r sn m.nf « pour faire vivre ce qu'il a créé ». 65 On admettra qu'il s'agit des hommes, même si ceux-ci sont généralement « façonnés, 2007.

J. Zandee, G. A. Cit-voir-toutefois, T. Gaballa, R. Memphite, . Müller-wollermann et al., 1 : r nr.w rm 71 Wb II, 37 ; O. PERDU, « Socle d'une statue de Neshor à Abydos Il évoque notamment l'hymne à Sésostris III de Kahun, lequel devait être récité à l'occasion de cérémonies particulières (M. COLLIER, St. QUIRKE, The UCL Lahun Papyri : Religious, Literary, Legal, Mathematical and Medical, BAR-IS 1209) ; Sinouhé B 206-214, 69 G. LEFEBVRE, Le tombeau de Pétosiris etc, et, pour l'époque tardive, un exemple topique sur la statue A93 du Louvre. Posener mentionne au passage l'étude de J. BAILLET, Le régime pharaonique dans ses rapports avec l'évolution de la morale en Égypte, pp.71-75, 1912.

I. Vu-les-circonstances-et-le-contexte-historiques-qui-permirent-À-nectanébo and . Er, Peu de témoignages dans les sources égyptiennes relatent cet événement, on songe pourtant à celui qu'a laissé Amonhapy de Séma-Béhédet, propriétaire de la statue Caire JE 47291 76 Celui-ci, peut-être le précepteur du futur pharaon, précise en effet : wf m n wwf snf m-m wnw.tf (?) dhn.twf r n mt nswt-btj pr-k-R s R nb .w Nt-nbf « alors qu'il était le prince de sa région, il fut choisi parmi ses pairs (?) il fut élevé à la souveraineté de l'Égypte, roi de Haute et Basse Égypte, seigneur du Double-Pays, Kheperkarê, le fils de Rê, le seigneur des couronnes, Nakhtnebef ». () Les « seigneurs d'Héliopolis » forment un groupe de divinités 77 dont le mort souhaite souvent partager le menu 78 , mais auxquels il peut également vouloir être associé : CT II, 288- 289b (= Spruch 154), w tp t m r.t-nr r nb.w wnw pr.t r pt wb dwt « Demeurer sur la terre, devenir un esprit-akh dans la nécropole, avoir accès aux seigneurs d'Héliopolis, sortir vers le ciel et ouvrir la Douat » ; et suivre les pérégrinations : tjk w n nb wnw « tu descendras le courant parmi les seigneurs d'Héliopolis. » 79 On verra également la prière de l'échanson royal Neferrenpet (Louvre E. 14241) qui réclame, pour son ba, la liberté d'aller et de venir et de s'associer aux seigneurs d'Héliopolis 80 . () Ici, deux interprétations s'offrent à nous : ou bien on considère que m b qualifie les « seigneurs d'Héliopolis », comme en Urk. IV, 1362 : « les seigneurs d'Héliopolis sont en fête » 81 , et l'on traduira « puisse mon ba suivre les seigneurs d'Héliopolis qui sont en fête ». Ou alors, on admet qu'Onnôphris demande la possibilité pour son ba de suivre les « seigneurs d'Héliopolis » à l'occasion d'une fête dont le nom n'est pas conservé. Dans ce cas, dans la mesure où les nb.w-wnw peuvent s'identifier aux B.w-(n)-wnw, Neith pour le maintien du nouveau souverain sur le trône prend un sens plus prégnant sous toute réserve, à la vue des traces infimes encore Peftchaouemaouyneith [Louvre A93]). On pourra aussi rapprocher ce thème de la pensée exprimée dans l'Enseignement loyaliste : G. POSENER, L'enseignement loyaliste. Sagesse égyptienne du Moyen Empire, CRHP II Hautes Études Orientales 5, 1976.

K. , K. H. De-meulenaere, and L. Iv, Die politische Geschichte Ägyptens vom 7. bis zum 4 Jahrhundert vor der Zeitwende, Nektanebos I, pp.173-175, 1953.

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P. , I. Régen, I. Annales-héliopolitaines-et-fragments-de-sésostris, . Er-réemployés-dans-la-porte-de-bâb-al-tawfiq, D. Au-caire et al., Mythes et légendes du Delta d'après le papyrus Brooklyn 47.218 XIV, 3, on lit : r.tw b.wf t mn.tjw m b.w n B.w-(n)-wnw « On lui fait ses festivités parmi les Occidentaux Voir aussi les fêtes héliopolitaines auxquelles demande à être associé Djedatoumiouefânkh : J.-P. CORTEGGIANI, « Une stèle d'Héliopolis d'époque saïte (a) Comme D. Devauchelle l'a montré 87 , la désignation Apis-(Sokaris)-Osiris doit être distinguée de celle plus courante d'Osiris-Apis : « Apis-Osiris est une figure d'Osiris, il est le dieu des morts dont il porte les titres » 88 . C'est à cette occasion que, dans cette entité divine, Sokaris intervient, Hommages à Serge avec son épithète memphite habituelle (« dieu grand seigneur de la Chétayt ») 89 . (b) À propos de la Chétayt de Sokaris à Ro-Setaou Egyptological Studies in Honor of Richard A. Parker et plus particulièrement p, pp.238-137, 1979.

. De-ce-bel-ouchebti-fragmentaire, en fritte ou « faïence » verte, seule la partie supérieure est conservée

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R. El-sayed, O. Cit, G. , E. Leospo, L. Collezione-egizia-del-civico-museo-archeologico-di-come-comparer-avec et al., et p. 89. (b) Wb II, Biographische und religiöse Inschriften der Spätzeit aus dem Ägyptischen Museum Kairo, pp.85-372, 1994.

W. , «. Kniefigur, and . Opferbecken, Überlegungen zur Funktion altägyptischer Plastik », Müncher Jahrbuch der bildenden Kunst 36 À la liste qu'il a établie de ces monuments, outre le présent exemple, on pourra en ajouter deux autres, un provenant de Memphis : Chr, et l'autre, très fragmentaire, conservé à Tanis : P. MONTET, « Inscriptions de Basse Époque trouvées à Tanis », Kêmi VIII, pp.17-38, 1946.

«. Propos-de-ce-terme-qui-signifie-plutôt, ». D. Meeks,-compte-rendu-de, and J. K. Hoffmeier, Sacred in the Vocabulary of Ancient Egypt. The Term sr, with special Reference to Dynasty I-XX, dans JEA 77, pp.199-202, 1991.

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