C. Amour and . Tyran-de-ma-vie, « la Nature en donne une partie, et le commerce du monde l'autre, mais principalement les profondes méditations Sur la justesse, voir le premier dialogue de Méré, publié pour la première fois la même année que les Fables. (89) E. Bury, « À la recherche d'une synthèse française de civilité : l'honnêteté et ses sources », Pour une histoire des traités de savoir-vivre en Europe, dir. Alain Montandon, Veut que je change de sujets : Il faut contenter son envie. (87) Ibid Voir aussi p. 79 et suivantes. (88) Ibid. des Publications de la Faculté des Lettres et Sciencs Humaines de Clermont-Ferrand Nous préférons cette traduction à celle de Benito Pelegrin dans Gracián, Traités politiques, esthétiques, éthiques, pp.65-66, 1969.

. Voir-marc-fumaroli, L. 1684-baltasar-gracian, . Homme-de-cour, . Roubaud, F. Paris et al., Introduction à L'Homme de Cour M. Fumaroli étudie les enjeux et les partis politiques et religieux qui déterminent la réception de Gracián, ainsi que sa lecture par les mondains via le filtre de l'honnêteté à la française, pp.7-246, 1971.

M. Fumaroli and L. , Âge de l'éloquence (93) E. Bury, « À la recherche d'une synthèse française de civilité, cit. : voir les analyses consacrées à Méré, pp.683-207, 1980.

«. Méré and . Discours, A mon sens la plus grande preuve qu'on a de l'Esprit, et qu'on l'a bien fait, c'est de bien vivre et de se conduire toûjours comme on doit. Cela consiste à prendre en toutes les rencontres le party le plus honneste, et à le bien soûtenir ; et le party le plus honneste est celuy qui paroist le plus conforme à l'estat de vie où l'on se trouve. / Il y a des rôlles plus avantageux les uns que les autres : la Fortune en dispose, et nous ne les choisissons pas ; mais de quelque nature que soit celuy qui se presente, on est toûjours bon Acteur quand on le sçait bien jou?er, Il faut avoir de grands égards pour s'en acquitter comme on doit. » (95) Voir A. Génetiot, « Image et imagination dans les Fables, pp.66-123, 2013.

A. Welfringer, «. Politique-des-fables-de, and L. Fontaine, (97) A. Welfringer, « " Je reviens à mon texte " : politique des Fables à la croisée des interprétations », Lectures de La Fontaine. Le recueil de 1668, Voir aussi Le courage de l'équivoque, pp.123-130, 2009.

E. Tesauro, L. Politica-di-esopo-frigio-dedicata-al-serenissimo-principe-gioseppe-emanuel-di-savoia, I. Ivrea, and S. Francesco, (100) Paola Cifarelli, « D'un usage politique de la fable au XVII e siècle : Jean Ballesdens et Emanuele Tesauro », [in] Jean Ballesdens, Les Fables d'Ésope Phrygien, Denise Ericò, pp.563-580, 1646.

F. Népote-desmares and «. Au-terme-d, une lecture des Fables : l'image du roi et du poète », art. cit., p. 128 : « [?] le poète ne se contente pas en effet d'expliquer ce que sont un vrai roi et un vrai poète, il y affirme aussi que tout homme est roi et poète à partir du moment où il accepte de se laisser envahir par l

«. Dans, Introduction à L'Homme de Cour », M. Fumaroli montre tout l'effort du XVII e siècle pour proposer une version chrétienne du machiavélisme