M. Sonnet and L. , 348 p. 3 Martine Sonnet, « Education et Première Communion au XVIII e siècle » dans La Première Communion : quatre siècles d'histoire 4 Mémoires de Madame Roland, ouvr. cité, p. 223. 5 L'édition de référence citée dans cet article est celle des Lettres de Madame Roland publiées par Claude Perroud [?] avec la collaboration de Mme Marthe ConorCollection de documents inédits sur l'Histoire de France) Pour ne pas alourdir les notes, les citations de lettres sont repérées dans le texte par la date de la lettre et éventuellement la spécification de la ou des destinataires quand il ne s'agit pas de Sophie (cas le plus fréquent) Pour des raisons pratiques, l'intégralité des lettres à d'abord été lue dans l'édition Dauban, éducation des filles au temps des Lumières Lettres en partie inédites de Madame Roland (Mademoiselle Phlipon) aux demoiselles Cannet [?] avec une introd puis les extraits retenus ont été vérifiés, corrigés er rétablis en dates s'il y avait lieu avec l'édition Perroud, pp.115-131, 1913.

B. Diaz and «. L-'épistolaire-et-la-connivence-féminine, lettres de Manon Phlipon aux soeurs Cannet (1767-1780) », dans La lettre au XVIII e siècle et ses avatars, pp.141-157, 1996.

B. Diaz and «. De-la-lettre-aux-mémoires, les fonctions autobiographiques de la lettre dans la correspondance de jeunesse de Mme Roland (1767-1780) », dans Femmes en toutes lettres : les épistolières du XVIII e siècle, éds, Studies on Voltaire and the Eighteenth Century, SVEC-04 »), pp.211-227, 2000.

. Mémoires-de-madame-roland, M. Jean-marie-goulemot, and R. Phlipon, lectrice exemplaire », dans Lectrices d'Ancien Régime, éd. Isabelle Brouard-Arends, Les lectures de Mme Roland à partir de ses Mémoires sont également étudiées par Suellen Diaconoff, Through the Reading Glass : Women, Books, and Sex in the French Enlightenment, pp.211-215, 2003.

N. Pellegrin, Lire avec des plumes ou l'art ? féminin ? ? de l'extrait à la fin du XVIII e siècle », dans Lectrices d'Ancien Régime, ouvr. cité, 12 Martine Sonnet, « Geneviève Randon de Malboissière et ses livres : lectures et sociabilité culturelle féminines dans le Paris des Lumières, pp.113-129

«. Le-savoir, ». , M. Dell-'academia-delle-scienze-di-torino, and C. Di-scienze-morali,-storiche-e-filologiche, 16 Lettre du 12 octobre 1762 Une jeune fille au XVIII e siècle 17 Les sieurs Cajon, musique vocale, Mignard, guitare, Watrin, par-dessus de viole, et un maître de violon, non nommé, ainsi que le Père Collomb l'accompagant à la basse de viole Martine Sonnet, « L'éducation musicale des filles au XVIII e siècle, entre famille et couvent » communication au Congresso della Società Italiana delle Storiche : Nuove frontière per la storia di genere, Napoli, 28-30 gennaio 2010 20 Une autre grande épistolière de la fin du XVIII e siècle, grande lectrice elle aussi et très grande musicienne, Madame Audouyn de Pompery, dans ses lettres à son cousin Kergus emploie le même terme de « disette » appliqué aux partitions : « Sans vous, mon cher cousin, je serais dans une grande disette de musique The Eighteenth Century : Theory and Interpretation, Madame Audouyn de Pompery, A mon cher cousin? Une femme en Bretagne à la fin du XVIII e siècle. Correspondance de Mme de Pompery avec son cousin de Kergus, suivie des lettres du Soissonnais Geneviève Randon de Malboissière et ses livres (?) », ouvr. cité, p. 134. 26 Sur cette idylle et son rousseauisme : Lesley H. Walker, « When Girls Read Rousseau : The Case of Madame Roland Geneviève Randon de Malboissière et ses livres (?) », ouvr. cité, p. 136. 28 Ces représentations de lectrices dans la littérature sont étudiées par Sandrine, pp.1746-1766, 2000.

D. Aragon, 732 p. 29 Vers 1760, Paris, musée des Arts décoratifs. 30 Sur les concours académiques au XVIIIe siècle : Daniel Roche, Le siècle des Lumières en province. Académies et académiciens provinciaux, Les concours Et Jeremy L. Caradonna « Prendre part au siècle des Lumières : le concours académique et la culture intellectuelle au XVIII e siècle 31 L'académie couronne finalement un discours signé du comte de Costa, prêtenom possible du marquis Claude-François-Adrien de Lezay-Marnezia, d'après, pp.1656-1856, 1680.

M. Quérard, L. France-littéraire-ou-dictionnaire-bibliographique?, T. 5. Paris, and . Firmin-didot, 32 Siméon-Prosper Hardy, Mes loisirs ou Journal d'événemens tels qu'ils parviennent à ma connoissance (1753-1789) Presses de l'Université Laval 836 et 808 p. 33 Martine Sonnet, L'éducation des filles au temps des Lumières, ouvr. cité. 34 Nicole Pellegrin, « Le genre et l'habit : figures du transvestisme féminin sous l'Ancien Régime 35 Par exemple quand Geneviève écrit à Adélaïde Vos livres sont [?] envoyés [?]. La grammaire est très bonne : lisez surtout l'usage des temps, c'est ce qui vous est de plus utile dans le moment présent, Histoire, femmes et sociétés Lettre du 19 mai 1764, citée dans Martine Sonnet, « Geneviève Randon de Malboissière et ses livres (?) », ouvr. cité jouée avec succès par les Comédiens Français en 1768 et publiée chez la Veuve Duchesne en 1770 et 1772 d'après, pp.287-1753, 1833.

M. Quérard, L. France-littéraire-ou-dictionnaire-bibliographique?, T. 8. Paris, and . Firmin-didot, 39 M. de Sevelinges d'Espagny, receveur des tabacs à Soissons, où il rêvera de convaincre Manon de le rejoindre. 40 Quant à moi, j'ai le projet de me remettre dans mon particulier à cultiver ma géographie, ma guitare ; je chercherai à faire usage de ces talents en me procurant quelques écolières, afin de m'occuper utilement et d'augmenter d'une manière honnête les moyens de satisfaire les besoins que mon coeur me donne (1 er novembre 1779) 41 Gabriel-Léopold Bexon 43 Après avoir mentionné la tiédeur de l'accueil fait à Irène : Tu sais, ou tu ne sais pas, que l'Irène de Voltaire ne fait pas fortune au théâtre ; on la dit faible, décousue, sans chaleur (31 mars après-midi 1778, 351 p. 42 Martine Sonnet, « Geneviève Randon de Malboissière et ses livres (?) », ouvr. cité Geneviève Randon de Malboissière et ses livres (?) », ouvr. cité, pp.472-509, 1836.