Théodore Roosevelt, ou une vie heureuse
Résumé
Lorsqu'on se mit à lui apprendre à lire, on s'aperçut que le petit Théodore n'y voyait pas et ses parents lui offrirent une paire de lunettes rondes. Toute sa vie, il se souvint de ce jour où le monde, dans toute sa beauté, était apparu au garçonnet qu'il était. Jeune homme, il se laissa pousser l'épaisse moustache qui était de mise à l'époque. En vieillissant, sa forme élancée céda la place à un certain embonpoint. Son visage prit alors son apparence définitive : deux lunettes rondes sur une tête elle-même arrondie, barrée d'une grosse moustache aux coins retombants mais cachant mal un grand sourire ouvert. Et derrière les deux verres, deux yeux étincelants de certitude de soi, d'intelligence, d'humour, de douceur mais aussi de fermeté, et même d'envie de bousculer les choses.
Fichier principal
pages_61_A_66_-_Dumez_H._-_ThA_odore_Roosevelt_ou_une_vie_heureuse_-_Libellio_vol._8_nA_1.pdf (823.64 Ko)
Télécharger le fichier
Origine : Accord explicite pour ce dépôt